Kvaefjordkake (aka le Gâteau norvégien)

Pour 8 personnes:

180 g. de beurre mou
160 + 200 g. de sucre en poudre
6 œufs
6 cuillères à soupe de lait
135 g. de farine
1 sachet de levure
3 sachets de sucre vanillé
30 cl. de crème fleurette
1 pot de custard toute faite (merci M&S) ou une préparation pour crème vanille en sachet ou une préparation pour une dose de crème anglaise ou 3 pots de danette vanille ou une crème maison comme ici 
Des fraises (minimum 250 g. y’a pas de maximum par contre)
Des amandes effilées

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Recouvrir le fond d’un moule rectangulaire format dossier – un peu plus grand qu’un A4 – de papier cuisson. Le plat à gratins se détourne très bien pour ça.

Mélanger le beurre mou avec 160 g. de sucre puis le battre jusqu’à obtenir une belle crème claire (au fouet électrique, si possible, mais c’est faisable à la mimine).

Ajouter les jaunes d’œufs un à un en alternant avec le lait, une cuillère à la fois. Ajouter la farine, la levure et 1 sachet de sucre vanillé.

Mettre dans le fond du moule papierisé.

Dans un autre saladier, battre les blancs en neige puis ajouter les 200 g. de sucre et les 2 sachets restants de sucre vanillé petit à petit.

Verser cette meringue directement sur le fond de gâteau déjà étalé, décorer de quelques amandes effilées (là j’en avais pas, mais j’en mettrais la prochaine fois) et zou, au four pour 20 minutes (je ne sais pas si c’est mon four qui a eu un hoquet, mais moi il y est bien resté 40/45 minutes pour que le gâteau du fond prenne  ).

Une fois cuit, sortir le gâteau du four, puis du moule et le laisser refroidir pépère.

Une fois le gâteau bien refroidi, on le coupe en deux, et on installe une moitié dans le plat de service.

Battre la crème fleurette en chantilly légère, puis incorporer cette chantilly à la custard/crème anglaise/danette.

Parsemer le dessus du gâteau de fraises coupées en deux, puis étaler avec tout l’amour qu’elle mérite, et une spatule, une partie de la crème sur le gâteau. Mettre les fraises en premier évitera les glissements de terrains comme sur la photo ^^. Poser délicatement la deuxième moitié sur le dessus et refaire fraises+crème.

Remettre au frais jusqu’au moment de servir.

S’il reste de la crème (parce que le volume de départ est impressionnant quand même), pas de souci, on en remet une cuillère sur chaque part coupée au moment de servir, il ne devrait plus en rester beaucoup après, et il y aura probablement un convive dévoué qui la finira à la cuillère  .

De la meringue, du gâteau, des fraises et de la crème, une telle ode à la décadence se devait d’être ici. On a goûté ce gâteau en Norvège (en version sans les fraises) où il était appelé « meilleur gâteau du monde » (décadent et modeste!), et en effet après quelques recherches, c’est bien sous ce nom qu’il est le plus connu en Norvège.

Quelques jours après notre retour, j’ai donc expérimenté ce gâteau sur mes cobayes KohLantais. Je l’avait laissé en dehors du frigo pour un manque de place, du coup il était à température, on perd un peu, je trouve, mais sinon, c’est aussi bon que c’est imprononçable. Bon d’un autre coté, fraises, crème … Ouate else ?

 

Poulet à la moutarde

AVEC DE LA CRÈME 

Pour 2 personnes :

  • 2 gros blancs de poulet
  • 3 groooosses cuillères à coupe de moutarde « fins gourmets » maille (du goût mais pas de quoi arracher la tronche, des graines pour faire joli mais sans avoir l’impression de cuisiner un porridge)
  • Le même volume de crème fraîche (de la vraie, pas liquide)
  • Sel, poivre, sauce Worcestershire

Couper les blancs de poulet en morceaux (de la taille d’une SD card à peu près).

Les faire revenir dans une poèle avec du beurre à feu vif, les saler, les poivrer (perso, j’ajoute toujours un peu de sauce worcestershire à ce moment-là, mais c’est pas obligatoire).

Une fois les morceaux biens dorés, ajouter la moutarde , bien mélanger, ajouter ensuite la crème, baisser le feu et laisser mijoter minimum 15 minutes.

L’avantage, c’est qu’on peut laisser mijoter beaucoup plus (mon max, c’est 35 minutes) sans que le plat y perde (ô joie du timing approximatif).

Je sers ça le plus souvent avec des patates sautées. La plupart du temps, la sauce se fait mettre une raclée à coups de pain. Mais quand il en reste, je m’en sers le lendemain pour des pâtes, et si ça fait court, on peut remettre un peu de crème et zou.

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