Cookies 19 – Abricot & chocolat blanc

Pour 24 cookies :

125 g. de beurre mou
120 g. de sucre en poudre (en mixant sucre roux et sucre blanc si on veut)
1 œuf
200 g. de farine
1/2 cuillère à café de bicarbonate de soude ou 1/2 sachet de levure chimique
150 g. d’abricots secs coupés en petits morceaux
150 g. de chocolat blanc coupé en morceaux (du Copaya pour le petit goût de coco en plus)

Préchauffer le four à 160°C (th. 5/6).

Mélanger le beurre mou et le sucre jusqu’à obtenir une crème. Ajouter l’œuf, puis la farine et le bicarbonate.

Incorporer les abricots et le chocolat, faire des petites boules de la taille d’une grosse noix (ou d’une noisette tchernobylienne) et les poser sur une plaque recouverte de papier cuisson. Attention, ça s’étale pas mal !!

Cuire 12/13 minutes (les cookies seront encore mous à la sortie du four mais vont durcir rapidement).

Ils sont pas mal tièdes, mais meilleurs froids, car plus goûtus !  La qualité des abricots secs est importante, trop durs vous auriez l’impression de machouiller des bouts de cartons, ceux que j’avais chopé étaient très moelleux, et ça rendait tip-top une fois cuits.

Attention de ne pas confondre Copaya et Coraya, je garantis pas le succès avec des cookies au surimi !!

Tourte Pêche-Abricot

Pour 6/8 personnes :

2 pâtes brisées
1 kilo de pêches et d’abricots au sirop, égouttés (soit une grosse boîte de chaque, grosso modo)
40 g. de maïzena
100 g. de sucre en poudre
1/2 cuillère à café de noix de muscade râpée, ou 1 cuillère à café de mélange pour pain d’épices/spéculoos
1 œuf

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Dans un moule à tarte, étaler la 1ère pâte brisée, et la badigeonner du blanc d’œuf mélangé à un peu d’eau. Dès que le four est chaud, enfourner pour 2/3 minutes, juste le temps que le blanc d’œuf durcisse et « étanchéise » le fond de tarte. Pour faire le décor « gruyère » comme sur la photo, étaler la 2ème pâte, y faire des petits trous (ici avec l’extrémité d’un tube de vanille) et le mettre au frigo à plat, histoire qu’elle soit bien ferme et plus facile à étaler sans qu’elle se déforme.

Dans un saladier, mélanger la maïzena, le sucre et les épices. Y verser les fruits égouttés coupés en grosses lamelles, et mettre le tout dans le fond de tarte précuit. Pour être sûre qu’ils soient bien égouttés, je les avais mis dans une passoire le matin, pour faire le gâteau le soir. En cas de manque de temps, un passage à l’essoreuse à salade fait l’affaire (c’est barbare-land, ici ).

Recouvrir de la pâte restante, bien appuyer sur les bords pour souder le tout, et badigeonner du jaune d’œuf battu avec un peu d’eau.

Enfourner pour 35/40 minutes, la pâte doit être dorée et on doit voir blobloter les fruits à travers les trous.

Servir tiède, parce qu’à la sortie du four, c’est un tantinet chaud bouillant.

C’est probablement la nostalgie du Tang pêche-abricot qui m’a donné envie de combiner les deux fruits, en tout cas c’est très bon, très fruité, faut juste faire attention à pas trop charger en muscade ou épices. Sinon, à la découpe, j’ai été agréablement étonnée, ça se tenait bien, j’anticipais un peu un dégoulinage en règle (merci la maïzena) !

 

Gâteau Lyonnais

Pour un gâteau de 6/8 personnes :

200 g. de beurre mou
150 g. de sucre
1 sachet de sucre vanillé
4 œufs
300 g. de farine
1/2 sachet de levure
1 petite boite (2/4) de poires au sirop
1 grosse boite (4/4) d’abricots au sirop
150 g. de pralines roses
Préchauffer le four à 180°c (th.6).

Mélanger le beurre avec les sucres jusqu’à obtenir une crème. Ajouter les œufs, puis la farine et la levure, et bien mélanger.

Dans un moule à manqué beurré ou en silicone, étaler 1/3 de la pâte.

Recouvrir avec les poires coupées en fines lamelles.

Ajouter le 2ème tiers de pâte, et étaler une couche d’oreillons d’abricots.

Étaler avec harmonie les pralines préalablement explosées au casse-noisettes ou au pilon, ou au pic à glace, ou même à la main pour les martialistes avertis.

Pas de panique si ça fait des minis-miettes de pralines, elles vont fondre et colorer la pâte, et les gros morceaux assureront le croquant.

Recouvrir du reste de pâte et au four !!
gateau lyonnais 2
Au bout de 10 minutes, baisser la température à 160°C, puis 15 minutes plus tard, baisser encore à 150°C et laisser 30 minutes. Là, éteindre le four, mais laisser le gâteau dedans sans ouvrir la porte encore 15 minutes.

Une fois sorti, bien le laisser refroidir, et le servir à température ambiante, vaut mieux éviter le frigo qui fait perdre le côté croustillant des pralines.

Bien sûr, on peut utiliser des pralines « de base » marrons, mais avouez que le côté « Y’a des trucs roses dans le gâteau !! », c’est choupi-kawaï en diable.

En tout cas, à table visuellement il claque, et au goût il ne déçoit pas !

Macarons abricot (Bredele)

Pour 30/40 macarons

65 g. de poudre d’amandes
60 g. de sucre glace
1 blanc d’œuf
1 cuillère à soupe de confiture d’abricots (plus un peu pour la déco)
40 g. de sucre en poudre
Sucre cristallisé (pour la déco)

Préchauffer le four à 150°C (th.5).

Tout mélanger. Faire des petites boules de la taille d’une noisette sur une feuille de papier cuisson (à la poche à douille, ou le sac congélo troué dans un coin le cas échéant). Ça semble très petit, mais pas de panique, ça va s’étaler/gonfler à la cuisson.

Avec le manche d’une cuillère en bois (ou de tout autre ustensile de même gabarit, comme un crayon à papier… le genre SANS la gomme au bout) trempé au préalable dans le sucre glace, faire des petits trous au milieu des bibilles et y mettre un peu de confiture d’abricots.

Saupoudrer le tout de sucre cristallisé et zou, au four pour 13 minutes.

Laisser sur le papier cuisson et les décoller une fois refroidis, mais délicatement, car, comme de vrais macarons, ces enfoirés collent aux fesses !!

J’avoue que je ne sais pas si ça se conserve bien … On a tout emmené à nos boulots respectifs le lendemain . En tout cas, mieux vaut ne pas les stocker trop « empilés », sinon, ça colle !

 

 

Poulet à l’abricot épicé

Pour 4 personnes

4 gros blancs de poulet
1/2 pot de confiture d’abricots
1 très sérieuse dose de poivre (concassé si possible, ou au moulin)
1 p’tit peu de beurre

En option : noix de muscade moulue, tabasco (utilisés lors du test)

Faire revenir à la poêle sur feu moyen à vif (7 sur 10 sur ma table de cuisson)dans un peu de beurre les blancs de poulet, 3/4 minutes de chaque côté jusqu’à ce qu’ils soient un peu colorés.

Pendant la cuisson, mélanger la confiture d’abricots au poivre et aux autres épices. Ma confiture étant un peu épaisse, je l’ai mise 20 secondes au cro-ondes, et après j’ai dosé le poivre et les autres épices au pif, en en rajoutant jusqu’à ce que je sois contente du résultat (hot, hot, hot!). L’avantage de la confiture « chauffée », c’est déjà qu’elle s’étale mieux, et que, pour tester le niveau d’épices, comme on est déjà plus proche de la température finale, donc on risque moins la mauvaise surprise sur le plat fini.

Sortir les blancs de la poêle, les piquer à la fourchette ou au cure-dents (pour que le glaçage pénètre mieux) et les badigeonner généreusement avec la moitié de la confiture customisée.

Remettre sur la poêle à feu plus doux (5 sur 10) pour 5 bonnes minutes, les retourner délicatement et étaler le reste de la confiture sur la 2ème face des blancs. Laisser finir la cuisson 5 minutes, toujours à feu tranquillou. Il faut juste éviter que le jus de cuisson ne caramélise trop.

Servir tout de suite, avec les légumes de votre choix. J’ai opté pour des haricots surgelés précuits, ça faisait ça de moins à gérer à côté de la poêle !

Pour les sceptiques, ça ne donne pas un sucré-salé trop explosif, c’est assez délicat même, et ça conserve tout le moelleux du blanc de poulet sur la cuisson. Et surtout, ça claque pas mal, pour très peu d’efforts, mais je le referais probablement en coupant les blancs en morceaux avant les badigeons !

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