Biscuits très chocolat

Pour une vingtaine de biscuits (selon la taille):

100 g. de beurre
125 g. de sucre
50 g. de Van Houten (cacao en poudre non sucré)
200 g. de farine
1 œuf

 

Mélanger le beurre bien mou avec le sucre, puis ajouter le reste des ingrédients un à un. Le mélange obtenu est très sableux, il faut le travailler avec les mimines pour obtenir une à-peu-près bouboule de pâte.

Mettre la dite bouboule au frigo pour 2 heures (ou plus, hein, ça va pas se mettre à muter au bout de 2 heures et 5 minutes ).

Préchauffer le four à 180°C (th.6), étaler la bouboule à 1/2 cm. d’épais (une cartouche de DS, en gros), se lâcher avec les emporte pièces divers et variés et enfourner pour 13/15 minutes (ils doivent être fermes au toucher dans le four, mais pas durs).

Laisser refroidir sur grille, et s’il vous en reste, il parait que ça peut se garder 1 semaine dans une boîte hermétique. Il parait, parce que perso, y’en a pas qui ont survécu plus de 24 h.

C’est très chocolaté, assez peu sucré, ça va très très bien avec le café et surtout, ça supporte la cuisson sans déformation, donc, on peut s’amuser à faire des cookies Vador pour un anniversaire VIP, par exemple, et tout à fait au hasard.

biscuits choco 2

La recette vient d’un bouquin de chez Larousse , alors bien sûr, il y a pléthore de variations sur des sablés au chocolat, j’ai simplement pris celle où il y avait la plus grande proportion de cacao… Et je ne regrette pas !!

Rochers coco

Pour une quarantaine de rochers :

4 blancs d’œufs
250 g. de sucre
400 g. de noix de coco râpée (pas trop fin si possible, plutôt genre copeaux)
Préchauffer le four à 120°C (th.3/4).

Préparer une casserole et un saladier résistant à la chaleur qu’on pourra poser dessus.

Remplir à moitié la casserole d’eau bouillante, poser le saladier dessus et y verser les blancs d’œufs pour les battre en neige tout en les chauffant (on monte en fait la meringue au bain-marie). Dès que les blancs sont bien gonflés, ajouter petit à petit le sucre. Ça permet d’obtenir rapidement une belle meringue dite « italienne ». Ça fait très technique dit comme ça, mais en fait, c’est rien du tout, faut juste bien caler le saladier sur le dessus de la casserole, et ça se fait en 5 minutes montre en main.

Enlever le saladier de la casserole et continuer à battre jusqu’à ce que ça soit refroidi.

Ajouter doucement la coco à la spatule.

Sur une feuille de papier cuisson, faire de petits tas de la taille d’une grosse noix à l’aide de deux cuillères à café et enfourner pour 25/30 minutes, jusqu’à ce qu’ils soient dorés, mais pas trop, sinon, ça vire au parpaing en refroidissant. Attention, ils ne s’étalent pas du tout, donc ils auront la même forme en entrant dans le four qu’en en sortant.

La recette me vient de mon inimitable môman, mais je n’obtiens pas du tout le même résultat qu’elle, probablement parce que j’avais de la coco râpée très fine, et que j’en ai mis moins qu’elle a priori, du coup mes rochers n’ont pas gardé le côté « corail mutant » qu’ont les siens. Ceux-ci sont plus que mangeables, mais j’avoue que les siens sont plus moelleux, donc si vous pouvez, chopez de la coco « grossière », pas trop sèche, ça sera mieux. J’ai noté le poids de coco corrigé, si vous voulez exactement ceux de la photo, mettez 250 g.

A priori, ça se garde quelque temps en boîte métal, mais bon, comme souvent, 24 heures après, y’en avait plus, donc ….

Bredele

Pour une quarantaine de biscuits (variable selon la taille):

200 g. farine
150 g beurre ramolli et coupé en morceaux
150 g. de sucre
100 g. de poudre d’amandes
1 cuillère à café de cannelle moulue
1 sachet de sucre vanillé
1 œuf

 

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Mettre les ingrédients dans un saladier, dans leur ordre d’apparition à l’écran, en pétrissant au fur et à mesure.

Laisser reposer 1 h.

Étaler sur 5 mm d’épaisseur, faire des découpes à l’emporte-pièce ou au couteau, et cuire sur une feuille de papier cuisson, par fournées de 13 minutes.

Laisser refroidir sur grille, et les conserver, le cas échéant, dans une boite métallique.

Attention à la cuisson ! En une minute, les biscuits peuvent passer de dorés à « Oh, t’en as fait au chocolat ? »

Cette recette, récupérée sur un « torchon-recette » (une de mes nombreuses faiblesses) à Strasbourg, m’a vraiment épaté, surtout le dosage de cannelle, qui est tip-top. Et bien sûr, le fait qu’on sente bien le beurre est un vrai plus de mon point de vue. Et je suis toujours preneuse de recettes qui me permettent de sortir mes emporte-pièces du tiroir

 

 

Cannelés (recette Baillardran)

Pour 10 cannelés:

1/2 l. de lait
2 gousses de vanille
250 g. de sucre
125 g. de farines
6 jaunes d’œufs
50 g. de beurre
5 cl. de rhum

 

La veille, préparer la pâte à cannelés, faire bouillir le lait avec les graines de vanille et les gousses vidées, et laisser infuser.

Pendant que ça infuse, mélanger la farine et le sucre et ajouter les jaunes d’œufs.

Verser le lait encore bien chaud sur le mélange, ajouter le beurre coupé en petits morceaux qui va fondre tranquillou et le rhum. Fouetter jusqu’à obtenir un mélange bien lisse, et laisser reposer au frais.

Le jour même, préchauffer le four à 220°C (th.7/8), et remettre un coup de fouet à la préparation.

Graisser les moules à cannelés. Pour les moules avec des formes un peu complexes, comme ceux-ci, je fais fondre un bout de beurre au cro-ondes, et j’en verse dans les moules, un peu de tournicotage et on a un beau graissage régulier.

Les poser sur une plaque, et les remplir avec la préparation, jusqu’en haut ou presque.

Laisser cuire 15 minutes à 220°C et baisser à 160°C (th.5/6) pour 45 minutes supplémentaires. Le dessus doit être bien brun.

Démouler à chaud et servir quand on veut. Il faudra ajuster un peu le temps de cuisson selon que vous préfériez les cannelés très croustillants ou plutôt moelleux, avec une heure au total, j’ai eu une cuisson médium très sympa !

La recette est celle fournie avec les moules de chez Baillardran, parce que y’a pas, pour des vrais cannelés, il faut des moules en cuivre, le silicone ne donne pas du tout les mêmes résultats. En plus, l’objet est joli, ce qui ne gâche rien. J’ai hésité à poster cette recette justement parce qu’elle nécessite un matériel très spécifique, et que je préfère partager des recettes type « saladier-casserole-fourchette », mais bon, en elle-même elle est simplissime, et le résultat vaut carrément la dépense (et très vite rentable, avec un moule vendu 8 euros, pour un cannelé souvent vendu 3 !)

Ricciarelli aux fraises

Pour 16 bidules qui riment avec raviolis :

300 g. d’amandes entières (ou effilées si vraiment vous trouvez pas)
200 g. de sucre en poudre
2 blancs d’œufs
150 g. de fraises
Le zeste d’une orange
Sucre glace

Préchauffer le four à 150°C (th. 5/6).

Passer au robot ou au hachoir les amandes, de façon à avoir des bouts assez conséquents mélangés à de la presque poudre. Ça a pas l’air clair, dit comme ça, mais en le faisant, ça le devient ^^.

Ajouter délicatement la moitié du sucre, le zeste d’orange et les fraises coupées en petits morceaux. Dois-je préciser qu’il faut les équeuter ? C’est précisé dans la recette originale , mais franchement c’est prendre les gens pour des quiches …

Dans un autre saladier, battre les blancs en neige fermes. Ajouter petit à petit l’autre moitié de sucre, toujours au batteur, jusqu’à obtenir une belle meringue lisse et brillante.

Incorporer dééééélicatement le mélange aux amandes à la meringue, et déposer de petits tas sur une plaque recouverte de papier cuisson à l’aide de 2 cuillères à soupe. Attention, ça va s’étaler un peu à la cuisson. Saupoudrer d’un peu de sucre glace

Enfourner pour 18/22 minutes (les riccia…ricina, les trucs doivent être dorés, mais pas cramés).

Dès la sortie du four, remettre une couche de sucre glace et attendre un peu avant de les déposer sur une grille, pour qu’ils finissent de refroidir peinards.

Attention, tant que c’est tiède, c’est immangeable à la main, ça part en vrille. Ce problème passager peut se régler, en cas de fringale ou de cher et tendre peu patient, à l’aide d’une cuillère.

Sinon, c’est juste délicieux, ça croque grâce aux morceaux d’amandes, c’est frais grâce à l’orange et c’est goutû grâce aux fraises. Parfait pour l’été !

Petits Rouquins

Pour une vingtaine de petits gâteaux:

80 g. de beurre
80 g. de sucre roux
5 cl. d’eau
220 g. de farine
1/2 sachet de levure (ou 1/2 cuillère à café de bicarbonate)

Dans une casserole, faire fondre le beurre et le sucre dans l’eau. Porter à ébullition et laisser refroidir tranquillou en remuant de temps en temps.

Dans un saladier, mélanger la farine et la levure. Y incorporer petit à petit le beurre+sucre fondus en mélangeant à la main (pour les pressés, vous voyez maintenant pourquoi fallait laisser refroidir ) jusqu’à obtenir une belle boule de pâte.

Mettre la pâte au moins 1 heure au frigo.

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Etaler la pâte sur 3/4 mm d’épaisseur, découper à l’emporte pièce ou avec un verre, ou au couteau et enfourner sur une feuille de papier cuisson pour 15 minutes. Attention, si comme moi vous utilisez du sucre TRES foncé, à ne pas les laisser cramer. C’est d’ailleurs à cause de mon sucre très très foncé, voire ultra-méga-roux que j’ai préféré appeler ces biscuits des « petits rouquins », au lieu du basique « petits bruns » (pardon )

J’oubliais !! Pour ceux qui sont en hyper-ventilation depuis le début de la recette, les découpe-cookies star wars, c’est

Raider à tomber

Pour une trentaine de Raiders maison (hautement variable selon la taille des découpes) :

Pour le sablé :
120 g. de beurre mou
180 g. de farine
1/2 sachet de levure
60 g. de sucre

Pour le caramel:
125 g. de beurre
125 g. de sucre
2 cuillères à soupe de miel
1 boite de lait concentré sucré (397 g.)

Pour le dessus :
200 g. de chocolat au lait (après de nombreux essais, le choix maison c’est du Milka)


Le sablé :
Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Pétrir le beurre mou et la farine jusqu’à obtenir une consistance sablonneuse. Ajouter le sucre, bien mélanger, toujours avec les didis, et verser dans un moule (carré si possible) recouvert de papier cuisson.

Bien tasser (avec le fond d’un verre, ça aide pas mal pour que ça soit régulier), piquer un peu le dessus à la fourchette et enfourner pour 25/30 minutes (il faut que ça soit assez doré).

Le caramel :
Pendant que le sablé commence à refroidir, touiller les ingrédients du caramel dans une casserole sur feu moyen/doux (5/10 pour ma table de cuisson) avec énergie, et surtout sans s’arrêter (ça crame très vite si on fait pas gaffe) jusqu’à obtenir une pâte qui se décolle bien des bords et d’une belle couleur dorée. Ça a pris grosso modo 8/10 minutes pour obtenir le résultat de la photo.

Étaler de suite sur le sablé encore tiède et bien lisser, ça va figer assez rapidement.

Le chocolat :
Si le caramel a assez figé, essayer de le piquer avec un cure-dents pour augmenter l’adhérence entre les deux couches, parce qu’à la découpe, c’est le chocolat qui avait le plus tendance à se désolidariser. Faire fondre le chocolat au lait (au micro ondes, ça va tellement plus vite) et verser délicatement sur le caramel, en répartissant bien.

Pour avoir un résultat bien lisse sur le dessus, tapoter les bords du moule pour enlever les traces de cuillères et/ou de versage.

Dès que le moule n’est plus chaud, zou, au frigo pour que ça finisse bien de durcir, minimum 2 heures (l’idéal, c’est la veille).

Découper en carrés sans hésitations, ni atermoiements pour avoir des découpes nettes et zoulies. Attention, l’animal ne se laisse pas faire !

Servir de suite. Par contre, si on vous demande combien il y a de calories là-dedans, faites l’ignorant et changez rapidement de sujet. C’est un coup à se fâcher avec vos amis (s’ils ont diététiciens, ils pourraient même vous envoyer un tueur serbo-croate aux fesses)

Le vrai nom de ces trucs, c’est Millionnaire shortbread. Mais vu que ça ressemble furieusement à des Twix/Raider, je ne pouvais décemment pas éviter le jeu de mots pourris.

Mais, honte sur moi, j’avais pas de figurine de Lara Croft sous la main pour la photo …

J’oubliais de préciser, mais au vu des ingrédients, ça semble évident : c’est une tuerie intersidérale. Sérieusement.

Sablés funky

Pour une quarantaine de petits sablés

160 g. de beurre mou
160 g. de sucre
2 œufs
380/400 g. de farine
1/2 cuillère à café de levure
1 cuillère à café d’extrait de vanille ou 2 cuillères à soupe de cacao ou 1 cuillère à café d’extrait d’amandes ou le zeste (fin!) d’une orange ou d’un citron

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Tout mettre dans un saladier et pétrir gaiement jusqu’à obtenir une pâte souple et pas collante sur les didis (sinon, rajouter un peu de farine).

Là, soit on étale la pâte au rouleau et on découpe, soit on façonne des p’tites galettes à la main, soit on utilise un moule à shortbread ou à spéculoos, soit … on utilise sa presse à biscuits (MOUHAHAHA POWAAAAAAAAA ), et on enfourne sur une feuille de papier cuisson pour 9 à 12 minutes selon l’épaisseur des machins.

Ils ne doreront pas, ou très peu, alors attention à ne pas les laisser cramer ! Ils doivent être encore souples sur le dessus en sortant du four.

On peut les aromatiser facilement. Attention, si l’arôme est liquide, il faudra probablement remettre un peu de farine pour garder une bonne texture de pâte. C’est le cas ici, où j’ai mis une cuillère à café d’arôme banane, puis j’ai divisé la pâte en deux, et j’ai « coloré » une des moitiés avec une cuillère à soupe de cacao non sucré.

En dehors du fait que je poussais des gloussements hystériques dignes d’un savant fou en faisant mumuse avec mon joli joujou à faire de jolis biscuits, j’avoue que le goût est sympa et surtout, ils sont d’une texture très douce et pas sableuse du tout, ça se mange tout seul

Macarons abricot (Bredele)

Pour 30/40 macarons

65 g. de poudre d’amandes
60 g. de sucre glace
1 blanc d’œuf
1 cuillère à soupe de confiture d’abricots (plus un peu pour la déco)
40 g. de sucre en poudre
Sucre cristallisé (pour la déco)

Préchauffer le four à 150°C (th.5).

Tout mélanger. Faire des petites boules de la taille d’une noisette sur une feuille de papier cuisson (à la poche à douille, ou le sac congélo troué dans un coin le cas échéant). Ça semble très petit, mais pas de panique, ça va s’étaler/gonfler à la cuisson.

Avec le manche d’une cuillère en bois (ou de tout autre ustensile de même gabarit, comme un crayon à papier… le genre SANS la gomme au bout) trempé au préalable dans le sucre glace, faire des petits trous au milieu des bibilles et y mettre un peu de confiture d’abricots.

Saupoudrer le tout de sucre cristallisé et zou, au four pour 13 minutes.

Laisser sur le papier cuisson et les décoller une fois refroidis, mais délicatement, car, comme de vrais macarons, ces enfoirés collent aux fesses !!

J’avoue que je ne sais pas si ça se conserve bien … On a tout emmené à nos boulots respectifs le lendemain . En tout cas, mieux vaut ne pas les stocker trop « empilés », sinon, ça colle !

 

 

Spritz au chocolat (Bredele)

Pour une trentaine de spritz :

100 g. de beurre
60 g. de sucre en poudre
1 blanc d’œuf
125 g. de farine
1 cuillère à café rase de levure (1/4 de paquet)
25 g. d’amandes en poudre
25 g. de cacao amer non sucré

 

Préchauffer le four à 150°C (th.5).

Dans un saladier, mélanger le beurre mou et le sucre jusqu’à obtenir une crème, rajouter le reste et bien mélanger.

Remplir une poche à douille, former des cercles sur une plaque recouverte de papier cuisson et au four pour 12 minutes.

Laisser refroidir sur grille et conserver dans une boîte en fer.

Alors, je me doute que tout le monde n’a pas de poche à douille, mais y’a une astuce : vous chopez un sac à congélation, vous le remplissez bien avec la pâte, pour qu’il n’y ait pas de poche d’air à l’intérieur et vous coupez un coin au ciseau. Pour éviter les débordements, je conseille chaudement la fermeture hermétique du sachet à l’autre extrémité (noeud ou pince). La pâte à spritz est assez dense, pour pouvoir passer facilement d’un biscuit à l’autre j’avais une paire de ciseaux à portée de main pour couper le flux de pâte entre chaque tournicotis.

Les premiers, faut être honnête, y’a que votre mère qui pourra les trouver beaux, mais le coup de main vient assez vite, faut persévérer 😀

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