Cookies Banane/Cahouètes vegan (23)

Pour un vingtaine de cookies:
225 g de flocons d’avoine
2 bananes (grosso modo 250 g)
125 g de beurre de cahouètes (dakatine ou menguys, comme vous voulez mais que du 100 %)
2 bonnes cuillères à soupe de sirop d’érable
1 cuillère à soupe d’huile neutre
100 g de chocolat noir cassé en morceaux façon pépites
Quelques noix de votre choix pour la déco, (ici on est #TeamPecan)

Préchauffer le four à 180°C (th.6).
Dans un saladier, écraser à la fourchette les bananes, ajouter le beurre de cahouètes, le sirop d’érable et l’huile.
Si vous avez des flocons d’avoine entiers, les passer vite fait au mixer/moulin à épices / broyeur quelconque pour ne pas avoir de gros flocons, mais pas de la farine non plus, puis les ajouter au mélange.
Terminer en ajoutant le chocolat.
Laisser reposer 10/15 minutes, l’avoine absorbe l’humidité de la pâte et c’est plus facile pour faire des boulettes. Boulettes que l’on aplatira sur une plaque recouverte de papier cuisson et sur lesquelles on mettra la ch’tite noix qui fait joli.
Zou au four pour 15 minutes, ça ne va pas dorer des masses, mais au toucher, ça doit être ferme. Laisser refroidir sur grille si possible.

C’est moelleux, c’est goûtu, la 2ème fournée a pas fait long feu à la maison! Je voulais faire des cookies pour remercier quelqu’un, et cette personne étant vegan, ça m’a fait chercher un peu des recettes sympas. C’est souvent comme ça que j’essaye un nouvel ingrédient, une nouvelle façon de faire, en voulant faire plaisir à quelqu’un que j’aime bien (and I think it’s beautiful).
Une copine qui ne pouvait pas manger de gluten m’a fait tester les autres farines, des potes pisco-végé m’ont permis de me mettre sérieusement à cuisiner le poisson, alors que je n’osais pas trop m’y coller, et là, ma tatoueuse préférée à qui je voulais ramener des cookies m’a fait utiliser du beurre de cahouètes alors que c’est pas un ingrédient avec lequel je suis super confortable, pour un résultat vraiment chouette. Merci à nos proches qui nous font découvrir des trucs, culinairement, mais pas que (c’était mon moment bisounours du jour/de la semaine/du mois), cœur sur vous tout ça tout ça ❤

Muffins Choco-Whisky

Pour une vingtaine de muffins de taille raisonnable :

170 g. de beurre
85 g. de cacao en poudre non sucré
35 cl. de café bien fort ; perso, je fais des expressos (expressi?) , et je rajoute une ch’tiote cuillerée de café soluble, histoire de.
12 cl. de whisky, ici du Talisker pour avoir un goût bien tourbé de derrière les fagots
200 g. de sucre en poudre
150 g. de sucre roux
240 g. de farine
1 sachet de levure ou une cuillère à café de baking powder
1/2 cuillère à café de noix de muscade en poudre
3 œufs
1 cuillère à café d’extrait de vanille
170 g. de chocolat noir coupé en morceaux pour faire des pépites, plutôt petites

Préchauffer le four à 165°C (th. 6/7).

Beurrer et cacaoter le ou les moules si pas en silicone. Je suis plus team caissettes en papier à la maison, parce que ça facilite les fournées successives et que ça limite la vaisselle et que ça facilite la dégustation

Dans une casserole à feu tout doux, faire fondre le beurre, ajouter le café, le whisky et le cacao en poudre en remuant jusqu’à obtenir un beau liquide sans grumeaux. Ajouter les sucres et remuer jusqu’à ce qu’ils soient bien fondus. Enlever du feu et laisser refroidir.

Pendant ce temps, mélanger dans un grand bol la farine, la levure et la muscade. Dans un plus petit bol, battre les œufs avec l’extrait de vanille.

Verser le mélange aux œufs dans la casserole, puis le mélange des ingrédient secs et enfin, les pépites de chocolat. Le mélange est assez liquide, d’où l’importance de faire des petites pépites, sinon c’est direct au fond.

Enfourner pour 30 minutes (muffins) ou 65 minutes (grand gâteau), pointe de couteau blablabla.

J’ai servi le lendemain à température ambiante, mais Darling a goûté tiède, verdict c’est bon aussi mais pas meilleur donc, ne pas se prendre le chou et faire comme on veut/peut.

La recette est librement adaptée d’une recette du New York Times que j’ai adaptée au stock à ma disposition, et à mon goût pour les whiskys très tourbés.

Hors période Koh-Lantesque, ce sont mes collègues qui se dévouent pour tester les gâteaux (sont-ils serviables!), et en l’occurrence ceux de Darling aussi, et ce fut approuvé de part et d’autre.

Attention, gâteau définitivement pour adultes, très peu sucré (je sais qu’il y a 350 g. de sucre, mais la vie de ma mère ça se sent pas), voire un peu amer(« – Non?? – Siii ! »), très costaud en goût, faut des papilles apprivoisées pour apprécier. Une allitération en « p » pour dire que « putain c’est bon !!! »

 

 

Cake Orange-cacao

pour 8/10 personnes (ou 4. Ça dépend des gens, faut pas juger)

150 g. de beurre mou
175 g. de sucre roux
2 bonnes cuillères à soupe de miel
150 g. de farine
1/2 cuillère à café de bicarbonate de soude, ou au pire 1/2 sachet de levure
25 g. de cacao en poudre
2 œufs
2 oranges

Préchauffer le four à 150°C (th.5).

Incorporer le sucre et le miel au beurre mou pour obtenir un mélange crémeux.

Dans un grand bol, mélanger farine, cacao et bicarbonate.

Ajouter 1/3 de ce mélange sec au premier mélange, ajouter un œuf, le 2ème tiers du mélange sec, le deuxième œuf et le reste de mélange sec (c’est plus facile à touiller qu’en mettant tout d’un seul coup).

Rajouter le zeste des 2 oranges et le jus d’une. Siroter direct le jus de la deuxième orange, c’est bon et comme ça y’a pas de gâchis.

Verser le tout dans un moule à cake beurré et fariné si pas en silicone et zou au four pour 45 minutes, pointe du couteau blablabla.

J’ai aussi failli ajouter de la cannelle, mais le mariage orange/cacao se suffit à lui même, et comme dirait Tonton Ben’s, c’est toujours un succès. Le cake obtenu est tout moelleux et pas sec du tout, pas trop sucré non plus et il n’a tellement pas fait long feu  que j’en referais rapidement !

 

 

Gâteau au Nesquik

En cas d’énooooooooooooorme envie pour 8 personnes:

3 oeufs
120 g. de sucre en poudre
120 g. de beurre fondu
8 cuillères à soupe de Nesquik (à peu près 125 g. après pesée et léger abusage sur les dites cuillerées)
150 g. de farine
1/2 sachet de levure

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Dans un saladier, mélanger les jaunes au sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse. Ajouter le beurre fondu, puis le Nesquik, la farine et la levure.

Monter les blancs en neige ferme avec une pincée de sel et les incorporer à la pâte (qui est un peu épaisse quand on abuse du Nesquik ).

Verser dans un moule à manqué beurré et fariné si pas en silicone et zou au four pour 30/35 minutes, la pointe du couteau blablabla.

Cette recette, dégotée sur Face de bouc alors qu’une copine la réalisait, m’a fait de l’œil. En effet la dite amie est Suisse, et qu’elle utilise cet ersatz de chocolat qu’est le Nesquik m’a intrigué. D’autant plus que d’autres cop’s ont confirmé le succès de ce gâteau auprès des enfants…
Ce fut donc rapidement testé, ramené et approuvé ; simple, rapide, et efficace !

Biscuits très chocolat

Pour une vingtaine de biscuits (selon la taille):

100 g. de beurre
125 g. de sucre
50 g. de Van Houten (cacao en poudre non sucré)
200 g. de farine
1 œuf

 

Mélanger le beurre bien mou avec le sucre, puis ajouter le reste des ingrédients un à un. Le mélange obtenu est très sableux, il faut le travailler avec les mimines pour obtenir une à-peu-près bouboule de pâte.

Mettre la dite bouboule au frigo pour 2 heures (ou plus, hein, ça va pas se mettre à muter au bout de 2 heures et 5 minutes ).

Préchauffer le four à 180°C (th.6), étaler la bouboule à 1/2 cm. d’épais (une cartouche de DS, en gros), se lâcher avec les emporte pièces divers et variés et enfourner pour 13/15 minutes (ils doivent être fermes au toucher dans le four, mais pas durs).

Laisser refroidir sur grille, et s’il vous en reste, il parait que ça peut se garder 1 semaine dans une boîte hermétique. Il parait, parce que perso, y’en a pas qui ont survécu plus de 24 h.

C’est très chocolaté, assez peu sucré, ça va très très bien avec le café et surtout, ça supporte la cuisson sans déformation, donc, on peut s’amuser à faire des cookies Vador pour un anniversaire VIP, par exemple, et tout à fait au hasard.

biscuits choco 2

La recette vient d’un bouquin de chez Larousse , alors bien sûr, il y a pléthore de variations sur des sablés au chocolat, j’ai simplement pris celle où il y avait la plus grande proportion de cacao… Et je ne regrette pas !!

Irish Cheesecake

Pour 6/8 personnes:

La croûte:
175 g. de sablés au chocolat
55 g. de beurre

La garniture:
225 g. de chocolat noir pâtissier (Nestlé corsé ici)
225 g. de chocolat au lait (Côte d’Or, toujours   )
55 g. de sucre roux
350 g. de brousse (ou d’un autre fromage frais)
45 cl. de crème fraîche
3 bonnes cuillères à soupe de Bailey’s
Tapisser le fond d’un moule à gâteau avec du papier cuisson et beurrer légèrement les parois (un moule à fond amovible peut sauver la mise).

Mettre les biscuits dans un sac bien épais (à congélation par exemple), et laisser libre cours à la rage qui étreint tout mortel devant un redémarrage intempestif de Windows au milieu d’une vidéo pour les réduire en miettes, à la main ou au rouleau à pâtisserie (en roulant une bouteille dessus, ça marche aussi).

Dans une casserole, faire fondre le beurre destiné à la croûte et y verser les miettes des gâteaux, et mélanger.

Étaler le mélange au fond du moule et mettre au frigo pendant la préparation de la garniture.

Faire fondre les 2 chocolats ensemble selon sa méthode préférée (pour moi, c’est micro-ondes par tranche de 20 secondes jusqu’à obtention de la texture désirée), et laisser refroidir.

Dans un saladier, mélanger le sucre et la brousse bien égouttée jusqu’à obtenir un joli mélange, puis ajouter la crème et le Bailey’s. Attention, avec du Philadelphia ou du Kiri, on peut obtenir une belle pâte bien lisse, alors qu’avec la brousse, il va rester des petits « grains » blancs comme on voit sur la photo, c’est plus acidulé, perso je préfère, mais ça fait un peu plus roots comme aspect qu’avec un fromage frais bien lisse, choisis ton camp camarade !

Ajouter le chocolat, bien mélanger, verser sur la croûte et remettre au frigo pour au moins 2 heures.

Bien sûr, ça se sert très frais, hein.

Je suis pas über fan des cheese-cakes, c’est souvent étouffant/écœurant/bourré de gélatine (nan, et pis c’est soooooooo 2009, j’veux dire), mais là, y’avait de l’alcool et c’était dans un bouquin de recettes irlandaises que m’a offert une autochtone récente, du coup, forcément, j’ai testé.

Bien m’en a pris, ça déboîte !! La brousse est juste acidulée comme il faut pour contrebalancer les quelques 450 g de chocolat (oui, c’est moins impressionnant quand on marque 225 g, puis 225 g. mais les maths sont implacables, ça fait presque une livre de chocolat dans ce gâteau), c’est frais et pas écœurant du tout, le p’tit goût de Bailey’s fait claper les lèvres quand on goûte, c’est un vrai feckin’ good oirish cake

 

 

 

Baumkuchen

Pour 8 personnes:

10 oeufs (seriously)
300 g. de pâte d’amande blonde (ou rose, mais autant éviter la verte)
10 cl. de crème liquide
170 g. de beurre mou
200 g. de sucre en poudre
1 bonne cuillère à café d’extrait de vanille
le zeste d’une orange
150 g. de farine
100 g. de maïzena
1 sachet de levure
1 pot de marmelade d’orange fine

Pour la couverture:
200 g./ de chocolat noir
50 g. de beurre
5 cl. de rhum (épicé si possible)
25 g d’amandes effilées grillées, en option

Préchauffer le four en mode grill uniquement (c’est le dessin avec juste un zig-zag en haut du carré), plutôt chaud (220°C pour moi).

Prévoir un moule à gâteau pas trop large et plutôt haut de bords, à fonds amovible si possible, le graisser et recouvrir le fond d’une feuille de papier cuisson.

Dans un grand saladier, mettre la pâte d’amandes hachée (ou passée à la râpe à fromage à gros trous), et la crème liquide petit à petit en mélangeant bien pour obtenir une pâte homogène. Ne pas utiliser la choupi spatule mimi en plastique, elle n’y résisterait pas, là il faut du matériel carcéral, minimum.

Ajouter au fur et à mesure le beurre, le sucre, les jaunes d’œufs, l’extrait de vanille, le zeste d’orange, la farine, la levure et la maïzena.

Même en changeant de bras régulièrement, le claquage guette, il est temps de monter les blancs en neige en laissant le fouet électrique faire tout le boulot, puis de les incorporer délicatement à la pâte.

Dans une petite casserole, faire tiédir la marmelade pour faciliter son étalage au pinceau.

Se prévoir une heure tranquille, et c’est parti:

Mettre une fine couche de pâte au fond du moule, mais vraiment fine, genre moins de 5 mm, et enfourner pour 4 minutes ou moins, selon votre four, jusqu’à ce que le dessus soit bien doré et souple quand on appuie le doigt dessus.

Ça vous a plu? Tant mieux, parce qu’on va refaire ça une quinzaine de fois, en mettant de temps en temps (toutes les 2/3 couches) un badigeon de marmelade d’orange. Le temps de cuisson tend à diminuer au fur et à mesure des couches puisque le dessus du gâteau se rapproche des résistances du grill.

Une fois tout bien cuit, sortir le gâteau du four, le démouler après quelques minutes de repos et préparer la couverture au chocolat en mélangeant tout dans une petite casserole à feu doux.

Laisser tiédir la couverture, car plus épaisse, elle tiendra mieux sur les cotés du gâteau, et l’étaler sur tout le gâteau. Ajouter éventuellement les amandes grillées effilées et dès que c’est suffisamment refroidi, balancer au frigo pour une nuit, car c’est carrément meilleur le lendemain de la cuisson que le soir même.

Cette recette de Jamie Oliver vient de son livre de Noël, mais on peut la retrouver en V.O. ici. Comme toujours, c’est impeccable, mais la vache, c’est sportif à préparer comme pâte, un gâteau toutes les semaines, et on finit comme le lanceur de javelot d’Asterix  , mais ça vaut les courbatures qui en résultent.

C’est très moelleux et pas étouffe-protestant du tout, contrairement à ce que le mode de cuisson et le poids en pâte d’amandes peuvent laisser craindre.

A propos de la pâte d’amandes, dans la recette originale c’est du marzipan, ce qui est un peu différent de notre pâte d’amandes à la française, du coup, il faut essayer de prendre une bonne pâte d’amandes avec un faible pourcentage de sucre… de toutes façons, il faut toujours prendre des ingrédients de qualité, sinon, à quoi bon se prendre le chou à cuisiner.

 

 

Muffins XXL Chocolat-Poire

Pour 8 big muffins:

1 yaourt nature
2 yaourts de farine
1 yaourt de sucre en poudre
3/4 de pot d’huile neutre
3 oeufs
1 sachet de levure
200 g. de chocolat noir
8 petites poires

Moules en papier ad hoc ou coupes à dessert passant au four

Préchauffer le four à 180°C (Th. 6).

Mélanger tous les ingrédients sauf les poires.

Avec un évidoir ou un couteau fin, creuser le fessier des poires pour enlever les pépins en laissant bien la tige. Peler l’extérieur des poires.

Remplir les moules à muffins à moitié et enfoncer les poires bien droites (sinon, elles basculeront à la cuisson). Selon la qualité des moules en papier, il faudra peut-être les poser dans un moule à muffins classique pour que ça ne parte pas en sucette.

Saupoudrer d’un peu de sucre en poudre et enfourner pour 25/30 minutes.

Une recherche d’image de gâteau aux poires pour la reprise de Koh-lanta plus tard, j’avais mon idée pour le soir, mais pas la recette. Une base de gâteau au yaourt plus tard, c’était plié.

Attention, si les poires ne sont pas bien mûres, il vaut mieux les pocher un peu, j’avais espéré que les miennes, qui étaient un peu trop fermes, s’attendrissent à la cuisson, mais que nenni !!

En tout cas visuellement, ça claque, gustativement, ça suit, mais c’est pas facile à manger proprement

J’avais trouvé les moules en papier en solderie, mais ça peut certainement se décliner dans un grand moule carré ou rectangle en répartissant bien 4 ou 6 poires.

Cookies 23 – Chocolat Orange

Pour une vingtaine de cookies :

50 g. de beurre
200 g. de chocolat noir
2 œufs
1 cuillère à café d’épices à spéculoos ou de 4 épices
150 g. de sucre roux
2 oranges
75 g. de farine
1/2 cuillère à café de levure chimique (1/4 de sachet)
Préchauffer le four à 180°C (th. 6).

Dans une casserole, faire fondre doucement le beurre et le chocolat et mettre de côté.

Battre les 2 blancs en neige ferme et mettre de côté aussi.

Toujours au batteur électrique, fouetter les 2 jaunes d’œufs avec le sucre roux, le zeste des 2 oranges et 4 cuillères à soupe de jus d’orange jusqu’à obtenir un beau mélange mousseux.

Ajouter à la fourchette les épices, la farine et la levure et y allant franchement, puis le mélange choco/beurre. Passer à la spatule pour incorporer délicatement les blancs.

Faire des tas de la valeur d’une grosse cuillère à café de pâte sur une plaque à pâtisserie recouverte de papier cuisson, attention, ça s’étale un peu au posage, ça continuera au cuisage !!

Cuire pour 10 minutes, il doivent avoir l’air un peu « bulleux » (cf. photo), mais rester souple au toucher.

Laisser refroidir sur grille.

Le fait de savoir que ce n’est bientôt plus la pleine saison des agrumes m’a fait tester cette recette, à peine trouvée dans un obscur magazine anglais par ailleurs assez décevant (en fait c’est une excuse bidon, j’ai vu « orange », j’ai vu « chocolat », j’ai fait « slurp » et j’ai acheté ce qu’il fallait). Et je sais que le mélange choco-orange plait bien au bureau, donc… (ça c’était l’excuse bidon n°2, mais ils ne m’en voudront pas, j’espère) aussitôt ramenés, aussi mangés, donc je dirais qu’a priori ça se garde une semaine en boîte métal, mais que je n’en sais rien   En tout cas, ils étaient très bien, moelleux et fondants, avec un vrai bon goût d’orange. A vrai dire je ne suis pas sûre que les épices soient d’une utilité folle, je réessayerais sans et je mettrais à jour si nécessaire.

 

 

Gâteau Chocolat-Framboises

250g. de chocolat noir
250g. de beurre
4 œufs
150g. de sucre
70 g. de farine
250 g. de framboises
Préchauffer le four à 180°C (Th.6).

Faire fondre le chocolat, à la casserole, au cro-ondes ou au bain marie. Y ajouter le beurre coupé en petits morceaux et mélanger jusqu’à ce que le beurre soit fondu.

Ajouter les œufs un à un, le sucre, la farine et bien mélanger.

Dans un moule beurré et fariné, verser la moitié de la pâte. Disposer les framboises et recouvrir du reste de pâte et hop, au four pour 30 minutes. Il doit être légèrement humide au centre, pour être bien moelleux.

Il faut attendre 10 minutes mini pour démouler sur le plat de service et laisser le gâteau tiédir au moins 1 heure avant de le servir. Par contre, pas de frigo juste avant de le servir, sinon, ça vire à la brique au beurre !

Cette recette, trouvée chez « Du miel et du sel » (http://www.dumieletdusel.com/archive…/14196664.html) est comme d’habitude une vraie réussite. Ça explose de chocolat et de framboises, c’est que du bon. J’avais peur qu’on ne sente pas trop les fruits, mais l’équilibre est parfait, c’est onctueux, riche et acidulé juste comme il faut. Ça tient au corps, en tout cas, il vaut mieux servir de petites parts, et après tout, si y’en a à qui ça ne suffit pas, les deuxièmes services, ça sert à ça aussi. J’ai bien dû en faire une dizaine de fois, ça fonctionne toujours du feu de Dieu.

 

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