Cookies 20 – Coco et chocolats

Pour une trentaine de gros cookies bien dodus :

230 g. de beurre mou
100 g. de sucre en poudre
150 g. de sucre roux
2 œufs
1 cuillère à café d’extrait de vanille
250 g. de farine
30 g. de Van Houten (cacao non sucré en poudre)
1 cuillère à café de bicarbonate et 1/2 cuillère à café de levure (ou 1 sachet de levure complet si vous n’avez pas de bicarbonate)
150 g. de noix de coco râpée
250 g. de chocolat blanc (pâtissier, ça tient mieux en cuisson et les plaques sont plus épaisses)

 

Préchauffer le four à 180°c (th.6).

Dans un petit saladier, mélanger la farine, le bicarbonate, la levure et le cacao.

Dans un grand saladier, battre le beurre bien mou avec les sucres jusqu’à ce que ce soit lisse, puis ajouter les œufs, l’extrait de vanille, le mélange à base de farine, la noix de coco et le chocolat blanc coupé en gros morceaux (j’ai juste coupé les gros carrés de chocolat pâtissier en 2, j’aime pas les « petites » pépites ).

A l’aide d’une cuillère à soupe, faire des boules de la taille d’une grosse noix, et les disposer sur une plaque recouverte de papier cuisson en les aplatissant un peu. Attention, ça se laisse un peu aller en cuisant, il faut bien les espacer !

Cuire 10 à 14 minutes selon la taille, et les disposer sur une grille pour qu’ils refroidissent. Ils sont un brin molassons en sortant du four, faut y aller doucement.

Dans la recette originale (Martha Stewart, what else?), il y a aussi 180 g. de noix grossièrement hachées. J’ai voulu tenter sans, je trouvais qu’il y avait déjà pas mal de goûts différents dans ces cookies. Là pour le coup ils sont délicieux et très fondants, mais si vous aimez le croquant dans les cookies, les noix sont vos amies, « il faut les aimer r’aussi » (air connu – pardon ). En tout cas on ne les engloutit pas à la chaîne, là j’en avais fait des un peu gros, personne n’en a mangé plus de 3. D’affilée, s’entend.

Cookies 19 – Abricot & chocolat blanc

Pour 24 cookies :

125 g. de beurre mou
120 g. de sucre en poudre (en mixant sucre roux et sucre blanc si on veut)
1 œuf
200 g. de farine
1/2 cuillère à café de bicarbonate de soude ou 1/2 sachet de levure chimique
150 g. d’abricots secs coupés en petits morceaux
150 g. de chocolat blanc coupé en morceaux (du Copaya pour le petit goût de coco en plus)

Préchauffer le four à 160°C (th. 5/6).

Mélanger le beurre mou et le sucre jusqu’à obtenir une crème. Ajouter l’œuf, puis la farine et le bicarbonate.

Incorporer les abricots et le chocolat, faire des petites boules de la taille d’une grosse noix (ou d’une noisette tchernobylienne) et les poser sur une plaque recouverte de papier cuisson. Attention, ça s’étale pas mal !!

Cuire 12/13 minutes (les cookies seront encore mous à la sortie du four mais vont durcir rapidement).

Ils sont pas mal tièdes, mais meilleurs froids, car plus goûtus !  La qualité des abricots secs est importante, trop durs vous auriez l’impression de machouiller des bouts de cartons, ceux que j’avais chopé étaient très moelleux, et ça rendait tip-top une fois cuits.

Attention de ne pas confondre Copaya et Coraya, je garantis pas le succès avec des cookies au surimi !!

Parfait aux 2 chocolats

Pour 8 personnes :

100 g. de chocolat noir
150 g. de chocolat au lait
30 cl. de crème fleurette (rayon frais, en flacon type Yop, pas loin des crèmes fraîches)
5 jaunes d’œufs
150 g. de sucre en poudre
10 cl. d’eau

 

C’est un dessert glacé à préparer la veille, ou le matin pour le soir. Alors niveau ingrédients, c’est pas compliqué, mais pour la réa, faut y aller youpi, et va falloir pas mal de matos (4 saladiers, 1 casserole, 1 batteur électrique et pas mal de cuillères).

On ajuste le boxer et/ou le soutien-gorge, on respire un grand coup et on s’y met:

Dans une casserole, préparer un sirop avec le sucre et l’eau, jusqu’à ce que le mélange soit mousseux, mais surtout pas coloré (l’idéal, c’est d’avoir un thermomètre à sucre : 110°C au compteur et on arrête).

Pendant que le sirop chauffe, au batteur électrique, dans un saladier qui supporte la chaleur (un cul de poule en inox, pour moi), on fouette les jaunes d’œufs jusqu’à ce qu’ils soient mousseux et lisses en surface.

Dès que le sirop est à température, on le verse sur les jaunes sans arrêter de battre au fouet jusqu’à ce que le mélange soit épais et ait triplé de volume. Et là, c’est pas fini, on continue encore 5 minutes, le temps que ça refroidisse sans retomber. D’habitude c’est à la St Valentin qu’on change de main, là, va falloir être ambidextre pour pas cramper. Le mélange doit être épais et brillant.

Quand c’est près, on rince les batteurs, et on fait fondre les chocolats dans des saladiers séparés (assez grands, vu qu’on va y ajouter le reste des préparations un peu plus tard). Vu que je fais fondre mon choco au cro-ondes, là il a fallu éviter l’inox (on en est à 3 saladiers, St Lave-vaisselle, priez pour nous).

Dès que les chocolats sont fondus et bien lisses, on les mets de côté, on prend le 4ème et dernier saladier, et on y passe la crème fleurette au batteur électrique jusqu’à ce qu’elle forme des becs, un peu comme des blancs en neige souples. Pour être sûr de pas se planter, l’idéal c’est de mettre le saladier et la crème jusqu’au dernier moment au frigo, si c’est froid, ça prend mieux.

Quand c’est près, on répartit le mélange jaunes d’œufs/sirop dans les 2 saladiers où se trouvent les chocolats, on mélange bien jusqu’à ce que ça soit parfaitement homogène, puis on ajoute la crème fouettée, de même, séparée de façon équitable entre les 2 saladiers. D’abord à la barbare sur les premières cuillères, puis plus délicatement, pour obtenir une belle texture onctueuse.

Dans un moule à cake (tapissé de film alimentaire s’il n’est pas en silicone), on étale soigneusement la mousse de chocolat noir et on place au congélo (bien à plat!!) pour 1h30/2h. Puis, on étale par dessus la mousse de chocolat au lait et retour au congélo pour minimum 8 heures, toujours à plat, sauf si vous voulez exposer votre dessert dans une galerie d’art moderne.

Sortir 2 minutes avant de servir, démouler puis couper de belles tranches à l’aide d’un couteau passé sous l’eau chaude. Attention, ça n’est pas ferme comme une glace, même en sortant du congélo, ça reste assez malléable.

J’avoue que la quasi-simultanéité des préparations m’a un peu stressée, mais au final, ça en jette. L’avantage de devoir faire ce gâteau à l’avance, c’est que vous avez le temps de redonner un aspect normal à votre intérieur, paske quand j’ai mis le bouzin au congélo, on aurait dit que j’avais fait péter une grenade à fragmentation dans la cuisine. La recette vient d’un bouquin de Gordon Ramsay, mon chouchou à la bouche pleine de jurons.

Quand on a un moule à motifs, comme ici, c’est pas mal de remplir les motifs d’une couleur de mousse, de bien lisser et essuyer le reste, avant de continuer le remplissage avec l’autre mousse. Ça s’appelle la cerise sur le gâteau, ce qui est plutôt balaise pour un gâteau sans fruits

Bon, c’est plus tendu que le gâteau au yaourt ou le cake aux carambars, mais avec ça, vous épatez la copine/la belle-mère/les potes. Et ça déboîte plus que sévère, faut avouer.
Et pis c’est pour Noël, quoi !

 

 

Cookies 11 – Chocolat blanc

Pour une pleine poignée de cookies :

1 boite de lait concentré (non sucré) (410 g.)
500 g. de chocolat blanc (pâtissier si possible, chez Nestlé ils font ça très bien)
45 g. de beurre
1 œuf
300 g. de farine
1/2 sachet de levure
250 g. de fruits secs (ici, moitié myrtilles, moitié cranberries)

C’est en fait une variation des cookies 4 (au lait concentré sucré), mais sans sucre et avec des fruits … Mais c’est pas pour autant que c’est léger !!

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Dans une casserole, à feu doux, faire fondre le beurre et le chocolat dans le lait concentré.

Hors du feu, ajouter la farine, la levure, les fruits et l’œuf battu.

Une fois la pâte un peu refroidie, faire des petits tas sur une plaque recouverte de papier cuisson avec deux cuillères à soupe, assez espacés, et enfourner pour 7 minutes, pas plus.

Laisser refroidir sur grille, ils sont mous en sortant du four
… ils seront moelleux une fois refroidis. Tout est une question de nuance

Ils se gardent fastoche 1 semaine dans une boite métal, askip.

 

 

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