Bredele

Pour une quarantaine de biscuits (variable selon la taille):

200 g. farine
150 g beurre ramolli et coupé en morceaux
150 g. de sucre
100 g. de poudre d’amandes
1 cuillère à café de cannelle moulue
1 sachet de sucre vanillé
1 œuf

 

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Mettre les ingrédients dans un saladier, dans leur ordre d’apparition à l’écran, en pétrissant au fur et à mesure.

Laisser reposer 1 h.

Étaler sur 5 mm d’épaisseur, faire des découpes à l’emporte-pièce ou au couteau, et cuire sur une feuille de papier cuisson, par fournées de 13 minutes.

Laisser refroidir sur grille, et les conserver, le cas échéant, dans une boite métallique.

Attention à la cuisson ! En une minute, les biscuits peuvent passer de dorés à « Oh, t’en as fait au chocolat ? »

Cette recette, récupérée sur un « torchon-recette » (une de mes nombreuses faiblesses) à Strasbourg, m’a vraiment épaté, surtout le dosage de cannelle, qui est tip-top. Et bien sûr, le fait qu’on sente bien le beurre est un vrai plus de mon point de vue. Et je suis toujours preneuse de recettes qui me permettent de sortir mes emporte-pièces du tiroir

 

 

Vanilla cake

Pour un gros gâteau :

225 g. de beurre bien mou
6 œufs
260 g. de sucre en poudre
350 g. de farine
2 yaourts grecs nature (grosso modo 250 g)
1/2 sachet de levure
3 cuillères à café d’extrait de vanille (aka la dose sa mère)
En option, 1/2 cuillère à café de vanille en grains

 

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Dans un robot, balancer tous les ingrédients et faire vroum-vroumer la bestiole au moins 1 minute.

Quand le mélange est bien lisse, le verser dans un moule genre couronne/kougloff (ou château de sable quand on est une fille faible face au marketing honteux des marchands de moules en silicone ).

Cuire 45/50 minutes, pointe de couteau sèche blablabla.

Démouler au bout de 10/15 minutes.

Alors ça fait un gâteau dense, mais fondant tout de même, hyper moelleux, et au goût de vanille bien prononcé. J’ose pas imaginer le combo de ouf si je servais ça avec la confiture de fraise de môman

Sinon, la recette vient d’un bouquin de Nigella Lawson (c’est autre chose que Maïté, y’a pas à dire), charmante britannique s’il en est, au langage un brin plus châtié que ses confrères, mais au talent indiscutable.

 

 

Petits Rouquins

Pour une vingtaine de petits gâteaux:

80 g. de beurre
80 g. de sucre roux
5 cl. d’eau
220 g. de farine
1/2 sachet de levure (ou 1/2 cuillère à café de bicarbonate)

Dans une casserole, faire fondre le beurre et le sucre dans l’eau. Porter à ébullition et laisser refroidir tranquillou en remuant de temps en temps.

Dans un saladier, mélanger la farine et la levure. Y incorporer petit à petit le beurre+sucre fondus en mélangeant à la main (pour les pressés, vous voyez maintenant pourquoi fallait laisser refroidir ) jusqu’à obtenir une belle boule de pâte.

Mettre la pâte au moins 1 heure au frigo.

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Etaler la pâte sur 3/4 mm d’épaisseur, découper à l’emporte pièce ou avec un verre, ou au couteau et enfourner sur une feuille de papier cuisson pour 15 minutes. Attention, si comme moi vous utilisez du sucre TRES foncé, à ne pas les laisser cramer. C’est d’ailleurs à cause de mon sucre très très foncé, voire ultra-méga-roux que j’ai préféré appeler ces biscuits des « petits rouquins », au lieu du basique « petits bruns » (pardon )

J’oubliais !! Pour ceux qui sont en hyper-ventilation depuis le début de la recette, les découpe-cookies star wars, c’est

Sablés funky

Pour une quarantaine de petits sablés

160 g. de beurre mou
160 g. de sucre
2 œufs
380/400 g. de farine
1/2 cuillère à café de levure
1 cuillère à café d’extrait de vanille ou 2 cuillères à soupe de cacao ou 1 cuillère à café d’extrait d’amandes ou le zeste (fin!) d’une orange ou d’un citron

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Tout mettre dans un saladier et pétrir gaiement jusqu’à obtenir une pâte souple et pas collante sur les didis (sinon, rajouter un peu de farine).

Là, soit on étale la pâte au rouleau et on découpe, soit on façonne des p’tites galettes à la main, soit on utilise un moule à shortbread ou à spéculoos, soit … on utilise sa presse à biscuits (MOUHAHAHA POWAAAAAAAAA ), et on enfourne sur une feuille de papier cuisson pour 9 à 12 minutes selon l’épaisseur des machins.

Ils ne doreront pas, ou très peu, alors attention à ne pas les laisser cramer ! Ils doivent être encore souples sur le dessus en sortant du four.

On peut les aromatiser facilement. Attention, si l’arôme est liquide, il faudra probablement remettre un peu de farine pour garder une bonne texture de pâte. C’est le cas ici, où j’ai mis une cuillère à café d’arôme banane, puis j’ai divisé la pâte en deux, et j’ai « coloré » une des moitiés avec une cuillère à soupe de cacao non sucré.

En dehors du fait que je poussais des gloussements hystériques dignes d’un savant fou en faisant mumuse avec mon joli joujou à faire de jolis biscuits, j’avoue que le goût est sympa et surtout, ils sont d’une texture très douce et pas sableuse du tout, ça se mange tout seul

Parfait aux 2 chocolats

Pour 8 personnes :

100 g. de chocolat noir
150 g. de chocolat au lait
30 cl. de crème fleurette (rayon frais, en flacon type Yop, pas loin des crèmes fraîches)
5 jaunes d’œufs
150 g. de sucre en poudre
10 cl. d’eau

 

C’est un dessert glacé à préparer la veille, ou le matin pour le soir. Alors niveau ingrédients, c’est pas compliqué, mais pour la réa, faut y aller youpi, et va falloir pas mal de matos (4 saladiers, 1 casserole, 1 batteur électrique et pas mal de cuillères).

On ajuste le boxer et/ou le soutien-gorge, on respire un grand coup et on s’y met:

Dans une casserole, préparer un sirop avec le sucre et l’eau, jusqu’à ce que le mélange soit mousseux, mais surtout pas coloré (l’idéal, c’est d’avoir un thermomètre à sucre : 110°C au compteur et on arrête).

Pendant que le sirop chauffe, au batteur électrique, dans un saladier qui supporte la chaleur (un cul de poule en inox, pour moi), on fouette les jaunes d’œufs jusqu’à ce qu’ils soient mousseux et lisses en surface.

Dès que le sirop est à température, on le verse sur les jaunes sans arrêter de battre au fouet jusqu’à ce que le mélange soit épais et ait triplé de volume. Et là, c’est pas fini, on continue encore 5 minutes, le temps que ça refroidisse sans retomber. D’habitude c’est à la St Valentin qu’on change de main, là, va falloir être ambidextre pour pas cramper. Le mélange doit être épais et brillant.

Quand c’est près, on rince les batteurs, et on fait fondre les chocolats dans des saladiers séparés (assez grands, vu qu’on va y ajouter le reste des préparations un peu plus tard). Vu que je fais fondre mon choco au cro-ondes, là il a fallu éviter l’inox (on en est à 3 saladiers, St Lave-vaisselle, priez pour nous).

Dès que les chocolats sont fondus et bien lisses, on les mets de côté, on prend le 4ème et dernier saladier, et on y passe la crème fleurette au batteur électrique jusqu’à ce qu’elle forme des becs, un peu comme des blancs en neige souples. Pour être sûr de pas se planter, l’idéal c’est de mettre le saladier et la crème jusqu’au dernier moment au frigo, si c’est froid, ça prend mieux.

Quand c’est près, on répartit le mélange jaunes d’œufs/sirop dans les 2 saladiers où se trouvent les chocolats, on mélange bien jusqu’à ce que ça soit parfaitement homogène, puis on ajoute la crème fouettée, de même, séparée de façon équitable entre les 2 saladiers. D’abord à la barbare sur les premières cuillères, puis plus délicatement, pour obtenir une belle texture onctueuse.

Dans un moule à cake (tapissé de film alimentaire s’il n’est pas en silicone), on étale soigneusement la mousse de chocolat noir et on place au congélo (bien à plat!!) pour 1h30/2h. Puis, on étale par dessus la mousse de chocolat au lait et retour au congélo pour minimum 8 heures, toujours à plat, sauf si vous voulez exposer votre dessert dans une galerie d’art moderne.

Sortir 2 minutes avant de servir, démouler puis couper de belles tranches à l’aide d’un couteau passé sous l’eau chaude. Attention, ça n’est pas ferme comme une glace, même en sortant du congélo, ça reste assez malléable.

J’avoue que la quasi-simultanéité des préparations m’a un peu stressée, mais au final, ça en jette. L’avantage de devoir faire ce gâteau à l’avance, c’est que vous avez le temps de redonner un aspect normal à votre intérieur, paske quand j’ai mis le bouzin au congélo, on aurait dit que j’avais fait péter une grenade à fragmentation dans la cuisine. La recette vient d’un bouquin de Gordon Ramsay, mon chouchou à la bouche pleine de jurons.

Quand on a un moule à motifs, comme ici, c’est pas mal de remplir les motifs d’une couleur de mousse, de bien lisser et essuyer le reste, avant de continuer le remplissage avec l’autre mousse. Ça s’appelle la cerise sur le gâteau, ce qui est plutôt balaise pour un gâteau sans fruits

Bon, c’est plus tendu que le gâteau au yaourt ou le cake aux carambars, mais avec ça, vous épatez la copine/la belle-mère/les potes. Et ça déboîte plus que sévère, faut avouer.
Et pis c’est pour Noël, quoi !

 

 

Cake à la presque crème pâtissière

1 yaourt nature
1/2 pot d’huile
2.5 pots de farine
1 pot de sucre
2 œufs
1 sachet de levure chimique
1 sachet de préparation pour crème pâtissière
Préchauffer le four à 180°C (th.6).
Tout mélanger.
Mettre dans un moule.
Cuire 30 minutes.

Trooooooop dur !!

Bon, bien sûr, la base est celle d’un gâteau de yaourt, juste un peu ajustée à cause de la présence de la préparation pour crème pâtissière. Les sachets de préparation, ça se vend notamment chez Leader Price pour 0.4548 euros 6 sous, et sinon, on peut le remplacer par des préparations pour pudding (vanille a priori, mais le reste serait à tenter).

Le goût est assez sympa, la texture sans surprise, mais agréable et ça se démoule assez bien pour qu’on puisse utiliser des moules funs

Mais dans un souci d’honnêteté intellectuelle, ce gâteau étant fait avec de la fausse crème pâtissière, j’ai mis un faux Mon Petit Poney

 

Café crème

Pour une trentaine de biscuits

200g. de farine
40 g. de maïzena
60g. de lait en poudre
1/2 sachet de levure
100 g. de beurre fondu
60 g. de sucre en poudre
60 g. de crème liquide (à peu près 10 cl., 1/2 briquette quoi)
2 cuillères à soupe de café instantané
Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Dans un petit bol, faire chauffer un peu la crème liquide, juste ce qu’il faut pour y dissoudre le café instantané (20 secondes au cro-ondes, et c’est plié).

Mélanger dans un grand saladier tous les ingrédients, en finissant par les ingrédients « secs » (farine, maïzena, levure et lait en poudre). Ne pas trop travailler la pâte, il faut juste qu’elle soit homogène.

Étaler au rouleau pour obtenir une pâte de 0.5 cm. d’épaisseur (comme une cartouche Gameboy). Comme la pâte colle un peu, et que j’avais pas envie de fariner à outrance, j’ai mis une feuille de papier cuisson sur ma planche avant de rouler.

Découper en carrés, ou faire mumuse avec des emporte-pièces (téma mon emporte-pièce de la mort, azy! =>)Emporte pièce

Et mettre au four sur une feuille de papier cuisson pour 10 minutes, pas plus.

Vu que la pâte est foncée au départ, c’est pas évident de jauger la cuisson à l’œil, les bords doivent commencer à dorer, mais s’ils se colorent trop, ils perdent pas mal en goût.

Laisser refroidir sur une grille, et si vous mangez pas tout tout de suite, vous pouvez les conserver dans une boîte en fer (ou de l’alu).

Ils sont pas très intenses en goût (même si on peut certainement le doper un peu en mettant 3 cuillères de café), mais la texture est très chouette et c’est très rapide à faire, ça fait un très bon accompagnement pour le kawa du matin !

Moelleux Pomme-Poire

Pour un gâteau de 8 parts :

400 g. de compote pomme-poire
100 g. de sucre
100 g. de beurre
3 œufs
150 g. de farine

En option : 1 pomme ou 1 poire ou un ♫ scoubidou-bidou-wah  ♫

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Mélanger le beurre mou avec le sucre, puis ajouter les œufs, la farine et la compote (et le fruit coupé en fines lamelles, si vous voulez).

Dans un moule à manqué et zou, au four pour 40 minutes.

Mettre au frais dès que possible, je sais pas si parce que j’avais fait ce gâteau en plein cagnard, mais le gâteau était nettement plus appréciable à sa sortie du frigo ! En tout cas il se démoule parfaitement une fois froid.

Je l’ai fait avec une compote très finement mixée, ce qui a donné un gâteau à la pâte assez lisse (certains des testeurs émérites ont même cru à un clafoutis !), je le referais probablement avec de la compote plus roots, voire de la compote maison (genre, pas peur, pas mal, 300 g de fruits et 100 g de sucre, une casserole et quelques courbatures au poignet feront l’affaire).

Bien sûr et comme d’hab, on peut varier, l’appât du gain jamais démenti des marqueteux fait qu’on peut trouver moultes variations au niveau des compotes, ça fait autant de gâteaux à faire !!

 

Gâteau au Kawa

Pour un gâteau de 6/8 personnes

  • 4 oeufs
  • 100 g. de sucre blanc
  • 150 g. de sucre roux
  • 200 g. de farine
  • 1 sachet de levure
  • A peu près 25 cl de café bien serré (3 expressos, pour les gens avec l’équipement ad hoc) + 2 bonnes cuillères de café instantané, ou 1 cuillère à soupe d’extrait de café
  • 10 cl. d’huile

Préchauffer le four 180 °C. / Th. 6.

Préparer le café, y ajouter le café soluble et laisser tiédir.
Battre 1 oeuf entier avec les 3 jaunes et le sucre jusqu’à obtenir un mélange mousseux.
Ajouter le café et l’huile.
Bien mélanger.
Ajouter la farine et la levure.
Battre les 3 blancs restants en neige et les incorporer.
Verser dans un moule beurré et fariné, ou un moule Superman (Courtesy of Kamui robotics).
Cuire 45 minutes. Démouler tiède.

A éviter de servir avec du thé, ça friserait la provocation.

Ce gâteau fait partie de la très sérieuse catégorie « YOLO moule déco », car il n’y  a pas tant de recettes que ça qui supportent les moules tarabiscotés 😀

 

Propulsé par WordPress.com.

Retour en haut ↑