Pommes de 7 heures

Pour 6 personnes :

Une douzaine de pommes (ici, Pink Lady)
Du beurre
Du sucre
De la patience
Beurrer et sucrer une grosse cocotte pour le four (ou un plat avec un couvercle).

Préchauffer le four à 120°C (th.4), tout doux.

Éplucher et couper en lamelles les pommes et les étaler au fur et à mesure dans le plat en intercalant par-ci, par-là avec du beurre en petits morceaux et un voile de sucre en poudre.

Il faut soigner un peu la première couche de pommes, car elle sera sur le dessus quand on servira le dessert !

Une fois qu’on en a fini de l’épluchage et de l’empilage, on met ou four pour 7 heures, comme le titre l’indique. A la fin de la cuisson, ça aura perdu facilement les 3/4 de son volume, donc, pour pas avoir une galette à servir, essayer de prendre un plat assez haut pour anticiper la descente .

Le démoulage est un peu périlleux, j’ai découpé un carton épais à la taille de la cocotte pour « accompagner » la descente, ça m’a évité le pire je pense ! Et bien sûr, pour servir, de la crème fraîche d’Isigny bien épaisse. Sans, c’était bien aussi, mais la crème sublime décidément tout (impartialité, quand tu nous tient).

Oui, c’est long, c’est trèèès long, mais ça sent bon tout l’aprèm et en goût, c’est assez indescriptible, j’en referais à coup sûr.

J’ai profité d’un vendredi où je ne travaillais pas pour lancer ça, j’avoue que l’épluchage et le lamellage, c’est un peu fastidieux, mais après, c’est comme pour la Teurgoule, y’a plus rien à faire qu’à renifler de temps en temps en salivant d’anticipation, c’est quand même pas désagréable ! Le normand est patient !

Sinon, j’ai trouvé la recette chez Du miel et du sel (http://www.dumieletdusel.com/archive…/13192535.html), et comment dire … ben comme d’hab’, c’était super (et bien plus détaillé qu’ici )

Gâteau Chocolat-Framboises

250g. de chocolat noir
250g. de beurre
4 œufs
150g. de sucre
70 g. de farine
250 g. de framboises
Préchauffer le four à 180°C (Th.6).

Faire fondre le chocolat, à la casserole, au cro-ondes ou au bain marie. Y ajouter le beurre coupé en petits morceaux et mélanger jusqu’à ce que le beurre soit fondu.

Ajouter les œufs un à un, le sucre, la farine et bien mélanger.

Dans un moule beurré et fariné, verser la moitié de la pâte. Disposer les framboises et recouvrir du reste de pâte et hop, au four pour 30 minutes. Il doit être légèrement humide au centre, pour être bien moelleux.

Il faut attendre 10 minutes mini pour démouler sur le plat de service et laisser le gâteau tiédir au moins 1 heure avant de le servir. Par contre, pas de frigo juste avant de le servir, sinon, ça vire à la brique au beurre !

Cette recette, trouvée chez « Du miel et du sel » (http://www.dumieletdusel.com/archive…/14196664.html) est comme d’habitude une vraie réussite. Ça explose de chocolat et de framboises, c’est que du bon. J’avais peur qu’on ne sente pas trop les fruits, mais l’équilibre est parfait, c’est onctueux, riche et acidulé juste comme il faut. Ça tient au corps, en tout cas, il vaut mieux servir de petites parts, et après tout, si y’en a à qui ça ne suffit pas, les deuxièmes services, ça sert à ça aussi. J’ai bien dû en faire une dizaine de fois, ça fonctionne toujours du feu de Dieu.

 

Teurgoule

Pour 6/8 personnes grosso modo:

2 l. de lait entier (cru si possible)
150 g. de riz rond
180 g. de sucre en poudre
une pincée de sel
2 cuillères à café rases de cannelle en poudre
Préchauffer le four à 150°C (Th.5).

Dans un plat en terre (j’avais pas la bonne contenance, j’ai utilisé une cocotte émaillée, ça le faisait tout à fait), verser tous les ingrédients secs, bien mélanger et verser délicatement le lait dessus. Il faut qu’il y ait au moins 5 cm de disponibles entre le haut du plat et le niveau de lait pour éviter les débordements pendant la cuisson.

Mettre au four pour une heure, puis baisser la température à 110°C (th.3/4) pour au moins 5 heures (Ouais le faible coût des ingrédients est presque compensé par la facture d’électricité ^^). Une croûte épaisse et très brune va se former pendant la cuisson, c’est pas grave si elle est moche : on ne la mange pas

L’intérieur ne doit plus être totalement liquide mais attention, le mélange va s’épaissir très vite en refroidissant, donc pas la peine d’attendre d’avoir une texture dense pour arrêter la cuisson.

A la sortie du four, donc, on enlève la croûte et on remélange un peu le tout. Ça se sert chaud, tiède ou froid, au choix, perso, je préfère tiède.

Alors certes, c’est long comme pas permis en cuisson, mais la préparation, honnêtement, c’est 3 minutes montre en main et avec un bras attaché dans le dos. C’est parfait à lancer en début d’aprèm pour le soir, là j’en avais fait 3 litres, du coup j’ai fait cuire 7 heures 30 au total plutôt que 6, pile poil pour le dessert du soir !

La Teurgoule c’est un grand classique normand, du coup pour la recette, je me suis adressée au bon dieu plutôt qu’à ses saints, j’ai été voir directement sur le site de « la Confrérie de la Teurgoule et de la Fallue de Normandie » http://www.teurgoule-normandie.confr…/recettes.html . Je crois qu’en France on a quand même les confréries les plus foldingues qui soient, et tant mieux

Pour le lait cru, ça se trouve parfois en grande surface, et sinon chez tout fromager qui se respecte, et pour ce type de recette, ça fait la différence (comme souvent, moins y’a d’ingrédients, plus la qualité est importante).

Cette recette a été validée par un des gentils testeurs, normand de son état, et par l’ensemble des testeurs présents. Darling a bien kiffé et je dois en refaire « juste un litre » un de ces soirs, c’est dire. Pour ceux qui se disent que c’est juste du riz au lait, franchement essayez, c’est comme les raviolis frais et ceux en boîte, ça n’a juste aucun rapport !

Reine de Saba Custom

Pour un gâteau de 6/8 personnes, facile:
80 g. de farine
125 g. de beurre mou
125 g. de chocolat noir râpé
125 g. de sucre en poudre
3 œufs
1/2 étui de crêpes dentelles

Pour la meringue :
2 blancs d’œufs
180 g. de sucre en poudre
7.5 cl. d’eau

Préchauffer le four à 180°C (Th.6).

Mélanger la farine, le beurre, le chocolat, le sucre et les jaunes d’œufs. Incorporer les blancs montés en neige.

Dans un moule beurré et fariné si pas en silicone, verser les 3/4 de la préparation. Émietter grossièrement les crêpes et les verser sur toute la surface du gâteau. Recouvrir du reste de pâte et zou, au four pour 25 minutes.

Sortir le gâteau du four, et mettre le four en position grill, genre 200°C (th.7). Si le moule est à charnière, laisser le gâteau dedans, sinon, le démouler et le mettre sur une plaque pouvant aller au four.

Pendant que le grill chauffe, monter les blancs en neige prévus pour la meringue dans un grand saladier résistant à la chaleur. Dans une casserole, préparer un sirop avec le sucre et l’eau, et le monter à 120°C. En cas de pénurie de thermomètre à sucre, compter 5/6 minutes de cuisson une fois que ça bouillonne copieusement.

Verser doucement le sirop dans les blancs montés, tout en continuant d’œuvrer du batteur électrique avec énergie. Le tout va à peu près doubler de volume. Continuer à battre jusqu’à ce que le bord extérieur du saladier soit revenu à température (on doit pouvoir toucher les parois sans souci), ça prend bien 5/6 minutes.

Étaler la meringue sur le dessus du gâteau. Si c’est dans un moule à charnière, pas de souci, on en colle partout, façon enduit. Sinon, faire une bande de papier cuisson qui fasse le double de la hauteur du gâteau, et en corseter le gâteau, pour permettre de mettre la même hauteur de meringue partout.

Bien lisser le dessus et éventuellement, faire des décos. Ici, je les ai fait avec une cuillère à café, en enfonçant un peu la cuillère de biais et en la ressortant d’un geste vif pour créer les picots. On peut faire les essais qu’on veut, il suffit de relisser le dessus si on se plante . On peut aussi faire une grande spirale sur tout le dessus avec une baguette, c’est free-style.

Passer sous le grill 3 à 5 minutes, juste pour dorer le dessus de la meringue, sortir du four et enlever le tour de papier ou la charnière au bout de quelques minutes.

Je suis partie sur la base du gâteau de la Reine de Saba de belle-môman, qui est un basique sûr pour les gâteaux au chocolat, mais en ajoutant les crêpes dentelles parce que je voulais du croquant, et la meringue, parce que.

On obtient donc un gâteau au chocolat à mettre le Dr DuKon sous Prozac, ce qui en soi est déjà bien, mais également qui claque à l’œil (le deuxième effet Kiss Cool de la meringue) et qui est juste tip top bon

 

 

 

Tarte à la rhubarbe

Pour une tarte pour 6 personnes:

1 pâte sablée
750 g. de rhubarbe en tronçons
125 g. de sucre
2 œufs
15 cl. de crème fraîche
1 grosse poignée de poudre d’amandes (grosso modo 50 g).
Le matin pour le soir, ou 2 heures avant si vous êtes pressés, mélanger la rhubarbe à 50 g. du sucre et laisser poireauter (un comble pour un fruit).

Ça va rendre plein de jus un peu trouble, du coup, vu qu’on prépare une tarte et pas une soupe, on met la rhubarbe à égoutter au moins 30 minutes avant de la servir. Attention à ne pas perdre le jus, par exemple en égouttant au dessus d’un grand bol, et le mettre au frigo, ça va super bien avec du Perrier ou pour donner un p’tit goût sympa aux cocktails (c’est acidulé et très très frais), ou juste dans de l’eau, c’est top aussi.

Préchauffer le four à 180°C (th.6) pendant l’égouttage, optimisation à fond, vive le Taylorisme en cuisine (si tu as la réf de l’image, félicitations, tu as très bon goût) !

Dans un saladier, mélanger les œufs, le reste de sucre et la crème fraîche.

Installer la pâte sablée au fond du moule beurré et fariné, et saupoudrer de la poudre d’amandes, qui empêchera la pâte de finir en éponge ramollo.

Verser gentiment sur la rhubarbe la préparation aux œufs et enfourner pour 30/35 minutes.

Laisser tiédir dans le moule, puis mettre au frais jusqu’au moment de servir.

Cette recette, comme souvent les « classiques » vient du blog « Du miel et du sel« , qui a toujours des recettes impeccables. D’ailleurs, je dois poster cette recette depuis perpet, je fais au moins 4 tartes par saison, la rhubarbe c’est carrément sous-évalué, c’est super bon, surtout quand il fait chaud, ce qui tombe bien, vu qu’on ne la récolte pas en novembre

Banoffee Pie

Pour une tarte de 6/8 personnes :

1 pâte sablée
1 pot de confiture de lait (fait maison bien sûr, on voit ça à la fin pour ceux qui connaissent pas)
2/3 bananes
Un peu de beurre
Un chouia de sucre
200 g. de chocolat
100 g. de crème fleurette
Cuire la pâte à blanc (autrement dit, vide avec juste des noyaux d’abricots ou des haricots secs pour lester) comme indiqué sur le paquet. La plupart du temps, c’est 15/20 minutes dans un four préchauffé à 210°C (Th. 6/7).

Étaler avec amour et une cuillère la confiture de lait dans le fond de tarte (faut-il le préciser, en ayant enlevé les noyaux ou les haricots ).

Couper les bananes en tranches et les faire revenir 5/8 minutes dans une poêle beurrée, avec du sucre. C’est pas obligatoire, mais ça relève vraiment le goût des bananes.

Disposer les bananes sur le caramel.

Faire chauffer la crème fleurette dans une casserole, et y jeter le chocolat coupé en morceaux. Retirer du feu et remuer gentiment jusqu’à ce que tout soit fondu (ça prend pas très longtemps normalement, mais faut pas hésiter à remettre un peu sur le feu si ça rame).

Verser le chocolat bien partout sur la tarte, pour l’étaler plus facilement, car la banane posée sur du caramel est joueuse, et n’aime pas trop qu’on lui joue de la spatule au-dessus de la tête pour étaler du chocolat, donc déééélicatement.

Laisser refroidir. Ou pas. Et servir avec de la crème chantilly. Ou pas. Dans le « vrai » Banoffee, y’a de la chantilly en plus, mais perso, je préfère comme ça !

Pour la confiture de lait, c’est ultra fastoche : On prend une boîte de lait concentré sucré (taille normale, 395 g et des brouettes), on la plonge dans l’eau dans une cocotte minute, on pose sur le feu, et quand ça sifflote, on attends 30 minutes, puis on sort le pot (attention, c’est très chaud) et on le laisse refroidir tranquillou. Au bout d’une demi-heure environ, on peut l’ouvrir, et là, magie, on a plus du lait concentré sucré, mais du Dulce di leche, sauf que ça coûte environ 4 fois moins cher . Si on a pas de cocotte-minute, ce qui peut arriver même chez des gens très bien, on peut le faire à la casserole, environ 1h45 de cuisson, en remettant un peu d’eau de temps en temps pour que la boîte reste recouverte.

Au cours d’une discussion de haute volée philosophique sur le web de la toile du net, une (très) charmante personne m’a envoyé un lien vers un site, et en me baladant dessus, je suis tombée sur cette recette (http://lamourdanslassiette.blogspot….-chocolat.html), qui me criait à travers l’écran « Essaye-moi, j’suis trop goûtue sa mère et en plus j’ai du chocolat ». Y’a plein d’autres recettes sur ce blog, qui tiennent le même discours, d’ailleurs

 

 

Gâteau Mojito

Pour un cake de 6/8 personnes :

250 g. de farine
1/3 sachet de levure (ou 1/2 cuillère à café de baking powder)
2 œufs
180 g. de sucre en poudre
20 cl. de lait
12.5 cl. d’huile de tournesol (ou une autre huile « neutre »)
2 citrons verts
1/2 boite de menthe ciselée surgelée (ou 1 petit bouquet de menthe fraiche pour les plus courageux)
2 bouchons de rhum

Préchauffer le four à 180 °C (Th.6).

Mélanger la farine et la levure.

Dans un deuxième saladier, mélanger les œufs, le sucre, le lait, l’huile et le rhum.

Ajouter le deuxième mélange au premier et bien remuer jusqu’à obtenir une pâte lisse.

Râper le zeste des 2 citrons verts (ou mieux, en faire de fines lanières au zesteur) et les ajouter à la pâte, avec la menthe.

Dans un moule à cake beurré et fariné si pas en silicone, et hop, au four pour 45/50 minutes. Le dessus doit être bien doré et l’intérieur doit être bien sec (pointe du couteau tout ça, tout ça).

Bien sûr, servir ce cake chaud serait un hérésie, il se sert à température ambiante ou frais sorti du frigo !!

On retrouve bien le goût du Mojito (Bonheur et joie, félicité et gueule de bois), j’en referais sûrement cet été car la menthe donne vraiment un grande fraîcheur au tout, perso j’ai adoré, et je pense que mes copines buveuses de cocktails vont kiffer

 

 

 

Baba colada

1 Baba au rhum
1 Ananas
Un peu de sucre roux
60 g. de noix de coco râpée

Pour le sirop:

15 cl. de jus d’ananas
15 cl. de rhum
15 cl. de lait de coco

Faire un baba avec la recette des petits babas Noël (oui, ça s’appelle une « variation », également appelée « une note de fâgnâsse »).

Pendant la cuisson, tailler l’ananas en petits morceaux et les faire revenir à la poêle avec le sucre. On peut enlever le jus dégagé à la cuisson et le garder pour le sirop, d’ailleurs !

Une fois le baba refroidi, l’imbiber du sirop (après l’avoir goûté, on est jamais trop prudent!! )

Répartir dessus l’ananas et saupoudrer la coco râpée.

… Et servir frais !

Alors certes, c’est pas une « vraie » nouveauté, mais l’idée de caler un cocktail en gâteau me tentait depuis quelque temps, et le baba s’y prête vraiment bien !! Prochaine étape : le Gâteau Mojito

 

Gâteau aux noix – 2

200 g. de noix grossièrement concassées (autrement dit éclatées à coup de pilon, fourchette, tronçonneuse… au choix!)
200 g. de sucre
60 g. de farine
3 œufs
90 g. de beurre fondu
1 cuillère à soupe de rhum
Préchauffer le four à 150°C (th.5).
Tout mélanger dans l’ordre et mettre dans un moule à brownie (comme sur la photo), ou un moule à tarte beurré et fariné, zou au four pour 50 minutes.

Encore un gâteau aux noix, certes, mais celles-ci sont concassées, et pas en poudre (l’excuse à deux balles pour faire de la récidive grenobloise …). Et puis elle est simple, et moi j’aime bien les recettes simples mélange-cuit-mange

On obtient un gâteau moelleux et légèrement croustillant, un peu « macaroné » sur le dessus, d’après mes parents, car il faut bien l’admettre, je me suis pas foulée, j’avais envoyé cette recette à Môman, elle l’a faite tout de suite et Pôpa a même pensé à faire une photo (si Darling est un Warhammer-guy, Pôpa est plus maquette de bateau), du coup, je le referais aussi plus tard, mais là, je la joue ultimate fâgnâsse

Cookies 22 – Chocolate fudge

Pour une trentaine de cookies :

750 g. de sucre
2 sachets de sucre vanillé
110 g. de cacao en poudre non sucré
3 ou 4 blancs d’œufs
150 g de chocolat en petits morceaux

Préchauffer le four à 180°C.

Mélanger les sucres et le cacao, au fouet pour éliminer tous les minis grumeaux du cacao.

Ajouter 3 blancs d’œufs et remuer loooongtemps. On doit obtenir une texture entre celle du Nutella à température ambiante et du Play-Doh (c’est-y pas technique, comme vocabulaire culinaire, ma bonne dame). Ajouter si nécessaire un 4ème blanc d’œuf.

Ajouter le chocolat en morceaux et faire des petits tas (… des petites flaques?) sur une plaque recouverte de papier cuisson. Attention, à la cuisson, ça va carrément s’étaler puis gonfler, il faut bien espacer et ne pas faire de grosses doses de pâte (1/2 cuillère à soupe de pâte, donne au final un cookie un peu plus grand qu’un Hello), à la maison, avec la première fournée, on a eu un grand cookie de 30 cm par 40, pas vraiment présentable (mais tout à fait mangeable).

A la sortie du four, laisser les cookies refroidir complètement sur les feuilles de cuisson avant de les décoller, sinon, c’est la bouillie assurée.

L’avantage de cette recette, c’est qu’elle est rapide, et qu’elle nécessite très peu d’ingrédients. Le goût est très fudge (d’où le nom, hein), et se rapproche assez des macarons au chocolat, mais sont un peu plus roots. A priori, ça se garde plutôt bien, mais on a jamais moyen de vérifier à la maison

 

 

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