Roses des sables de môman

Pour pas mal de roses des sables :

200 g. de Végétaline
170 g. de corn flakes
25 cl. de sucre glace
25 cl. de cacao non sucré

Faire fondre la Végétaline dans une grande casserole.

Hors du feu, ajouter les céréales, le sucre et le cacao. Bien mélanger.

Faire des petits tas sur des feuilles de papier cuisson ou d’alu, et laisser refroidir.

Bien sûr, c’est une base, on peut changer les céréales, ajouter des amandes ou des noisettes grillées, des pignons, des morceaux de fruits confits …

Le seul truc, c’est que ça ramollit TRES vite. Y’a deux solutions, soit on les garde au frais, soit on les mange rapido. J’ai tendance à privilégier la 2ème.

 

Truffes de môman

Pour un bon paquet de truffes :

5 jaunes d’œufs
200 g. de sucre en poudre
500 g. de chocolat
200g. de beurre
20 cl. de crème fraîche
1/2 verre d’alcool ou 1 petite tasse de café bien costaud (expresso)
Cacao non sucré

Mélanger les jaunes d’œufs avec le sucré jusqu’à ce que le mélange blanchisse.

Ajouter le beurre (mou), le chocolat fondu, la crème fraîche et le parfum.

Mettre au frigo une nuit.

Le lendemain, former de petites boules et les rouler dans le cacao non sucré.Le plus simple, c’est de mettre du cacao dans un petit sac type congélation et d’y mettre les truffes par 4 ou 5, et de secouer énergiquement…. en ayant bien refermé le sac avant.

Elles se conservent 8 à 10 jours au frais. A ce qu’il parait. J’ai jamais vu qu’il en restait passé 2 jours à la maison. Pour moi ce sont les seules truffes possibles au moment de Noël ❤

 

 

Spritz au chocolat (Bredele)

Pour une trentaine de spritz :

100 g. de beurre
60 g. de sucre en poudre
1 blanc d’œuf
125 g. de farine
1 cuillère à café rase de levure (1/4 de paquet)
25 g. d’amandes en poudre
25 g. de cacao amer non sucré

 

Préchauffer le four à 150°C (th.5).

Dans un saladier, mélanger le beurre mou et le sucre jusqu’à obtenir une crème, rajouter le reste et bien mélanger.

Remplir une poche à douille, former des cercles sur une plaque recouverte de papier cuisson et au four pour 12 minutes.

Laisser refroidir sur grille et conserver dans une boîte en fer.

Alors, je me doute que tout le monde n’a pas de poche à douille, mais y’a une astuce : vous chopez un sac à congélation, vous le remplissez bien avec la pâte, pour qu’il n’y ait pas de poche d’air à l’intérieur et vous coupez un coin au ciseau. Pour éviter les débordements, je conseille chaudement la fermeture hermétique du sachet à l’autre extrémité (noeud ou pince). La pâte à spritz est assez dense, pour pouvoir passer facilement d’un biscuit à l’autre j’avais une paire de ciseaux à portée de main pour couper le flux de pâte entre chaque tournicotis.

Les premiers, faut être honnête, y’a que votre mère qui pourra les trouver beaux, mais le coup de main vient assez vite, faut persévérer 😀

Meringues fondantes au chocolat

3 blancs d’œufs
200 g. de sucre en poudre
75 g. de chocolat râpé (ou du chocolat à p’tit déj, on va pas jouer les diptérosodomites)
1 pincée de sel
1 pincée (ou plus) de cannelle

 

Préchauffer le four à 150°c (th.5).

Monter les blancs en neige avec la pincée de sel.

Toujours au batteur, ajouter le sucre, petit à petit, sinon, ça va faire un gros « vraouppff » et un joli nuage de sucre partout. Oui. C’est du vécu. pareil pour la cannelle.

A la spatule et tout gentiment, ajouter le chocolat.

Avec deux cuillères à soupe, former des bouboules de meringue sur une feuille de papier cuisson et zou, au four pour 15 minutes.

Avec une poche à douille, y’a forcément moyen de faire de zoulies meringues, mais à la cuillère, y’a un p’tit côté « fay mayzon » que j’aime bien. On peut bien sûr les laisser plus longtemps si on veut de la meringue plus ferme, mais là, c’est le but d’avoir des machins tout fondants dedans !

 

Etoiles au chocolat (Bredele)

Pour une petite trentaine d’étoiles :

125 g. d’amandes effilées
60 g. de chocolat noir
75 g. de sucre (+ un peu pour l’étalage)
2 cuillères à café d’eau
1 cuillères à café de rhum (ou autre)

Zéro cuisson !!

Griller les amandes 5 minutes en les remuant constamment dans une poële (sans ajouter de matières grasses). Mixer le tout. Si vous n’avez pas de robot, émincer au plus fin avec un couteau.

Prendre la pâte, en faire une boule et l’étaler sur une planche à découper préalablement recouverte d’un fin fil de sucre (comme quand on farine un plan de travail, mais avec le sucre, en fait), sur une hauteur d’1/2 cm (cartouche GB, pour le repère).

Découper au couteau ou à l’emporte-pièce et laisser « sécher » sur grille au moins une nuit (une dizaine d’heures).

Ça se conserve en boîte métal assez longtemps.

Les Bredele, ce sont les petits biscuits qu’on fait en décembre et en Alsace, traditionnellement en quantité pantagruélique pour les distribuer à Noël. Y’a pléthore de recettes, j’ai pas l’ambition de les faire tous, mais bon.

 

Florentins

Pour une quinzaine/vingtaine de florentins, selon leur taille

75 g. de sucre roux
50 g. de beurre
50 g. de miel
10 cl. de crème fraîche (liquide ou non, pas grave)
150 g. d’amandes effilées
50 g. de fruits secs (ici, des cranberries)
100 g. de chocolat noir (en option!)

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Dans une casserole, à feu vif, faire un caramel avec le beurre, le sucre, la crème et le miel. Compter 5 minutes en remuant constamment avec une cuillère en bois, pour obtenir un caramel mousseux, et arrêter la cuisson dès qu’il commence à se colorer (pour ceux munis d’un thermomètre à sucre, compter 110°C).

Retirer du feu en continuant à remuer, et dès que le caramel est « redescendu » dans la casserole, ajouter les amandes et les fruits secs. Bien mélanger, mais attention à ne pas exploser les amandes, on y va mooooooollo. Déééélicatement.

Après y’a plusieurs possibilités :

– On fait des zoulis petits tas sur une feuille de papier cuisson, on aplatit à la fourchette (la fourchette évite que ça ne colle trop, par rapport à la cuillère)

– On prend des moules à tartelettes ou à minis muffins ou à minis savarins(cf. photo) en silicone dans lequel on met en appuyant un peu une petite cuillère de pâte. Attention, il ne faut pas que ça soit trop haut, sinon, on récupère de gros rochers casse-plombages, c’est 3615AlloDentiste assuré au final.

Dans tous les cas, on enfourne 5 minutes et pis c’est tout.

En option, on peut faire fondre un peu de chocolat noir et le verser sur le dessus des florentins, ou alors leur tremper le fessier dedans, ou, si on a des moules à minis savarins, verser du chocolat dans le trou formé par les moules. Attention à ne pas trop noyer les gâteaux sous le chocolat, sinon, le goût du florentin peut être assez vite masqué.

J’ai mis des cranberries, mais on peut mettre des abricots secs coupés en petits dés, ou même ne pas mettre de fruits secs du tout (plus classique).

Ça donne des petits gâteaux à la texture très caraméleuse, qui collent un peu aux dents mais pas écœurants.

Enfin, attention, un miel tout pougnave, type marque de supermarché donnera un gâteau assez neutre, alors qu’un miel de forêt bien sombre et bien goûtu donnera beaucoup plus de personnalité (ce qui est une manière plus feutrée de dire que le goût de miel te décollera bien la gencive jusqu’aux sourcils ).

Cookies 14 – Kinder Chocolat

Pour une trentaine de cookies

250 g. de chocolat Kinder (20 barres)
200 g. de beurre mou
200 g. de sucre blanc
100 g. de sucre roux
2 œufs
500 gr de farine
1 sachet de levure
Préchauffer le four à 180°c (th.6).

Couper les barres de chocolat Kinder en petits bouts et les mettre au frigo dans un bol, histoire qu’il soient bien durs et ne partent pas en sucette dans la pâte à cookies.

Mélanger le beurre aux sucres jusqu’à obtenir un mélange bien lisse. Incorporer les œufs puis la farine.

Ajouter le chocolat Kinder. Rouler des boules de pâte de la taille d’une noix et les placer , assez espacées, sur une feuille de papier cuisson, ou alors étaler la pâte sur 1/2 cm. d’épaisseur et découper les cookies à l’emporte pièce (mon obsession du moment, j’avoue, des envies de découpages dignes d’un spin-off de Dexter).

Enfourner pour 10 minutes et laisser refroidir sur grille.

Bite me, c’est la 100ème recette !!!!!!

J’en profite pour remercier Darling, mon cher et tendre, qui a tout testé (quelle bravoure!) et ma bande de testeurs adorés qui, semaine après semaine, ont donné leur corps à la science pour me permettre de poster des recettes. Merci les choupis

Et merci à mes sponsors Weight Watchers et Bridelight sans qui je ne serais pas là où j’en suis… oh wait.

Brownisto

Pour grosso modo 16 parts.
Vous je sais pas, mais chez moi, ça veut dire 4, 5 personnes maxi.
C’est qu’ça bouffe un doberman.

270 g. de chocolat
170 g. de beurre
200 g. de sucre
4 œufs
200 g. de farine
1 groooosse cuillère à soupe de crème fraîche. Ou 2, tiens, soyons fous.
8 Balisto (miel amande) Autrement dit, 1 paquet, sur lequel on en prélève un comme dîme pour le cuistot. Non mais.
Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Faire fondre le chocolat et le beurre, à la casserole ou au cro-ondes.

Dans un saladier, fouetter les œufs et le sucre, ajouter le mélange de chocolat fondu, la farine, la crème et les Balistos coupés au couteau en 5/6 morceaux chacun.

Verser dans un moule carré (à peu près 25 cm. de côté) beurré et fariné.

Et zou, au four pour 25 minutes.

Le moule carré (ou rectangle), utilisé traditionnellement pour les brownies, permet une découpe en carrés plutôt qu’en parts, ce qui déjà, change un peu, et surtout, vu la texture du bouzin, permet de servir autre chose qu’une purée de gâteau infâme. Pour ma part, je détourne mon plat à gratin en pyrex

Cookies 13 – Chocolat craquelé

Pour 64 cookies (pour une fois, c’est précis)

120 g. de beurre mou
300 g. de sucre roux
2 œufs
1 cuillère à café d’extrait de vanille (ou 2 sachets de sucre vanillé comptés dans le poids de sucre roux)
250 g. de chocolat à pâtisserie
1 sachet de levure chimique
50 g. de cacao en poudre non sucré
180 g. de farine
8 cl. de lait

Sucre en poudre, sucre glace
Mélanger le beurre mou avec le sucre roux. Une fois le mélange bien lisse, ajouter les œufs, la vanille, le chocolat préalablement fondu, la farine, la levure, le cacao et le lait (en mélangeant bien entre chaque ingrédient rajouté).

Séparer la pâte en 4 gros tas sur 4 feuilles de film alimentaire, les envelopper et les mettre au frais au moins 30 minutes.

Pendant ce temps, préchauffer le four à 180°C (th.6).

Couper chaque portion de pâte à cookies en 16 (si ça n’est pas assez ferme pour être découpé, remettre au frais; la consistance doit être au moins celle d’une pâte à truffes). D’où le chiffre précis de 64 cookies au final !!

Rouler chaque morceau et les passer un à un dans le sucre en poudre, puis le sucre glace. Ne pas hésiter à y aller franco sur le sucre glace, mes premières fournées étaient assez peu « blanchies », visuellement ça rendait carrément moins bien… on voit bien les différentes fournées sur la photo!

Cuire chaque fournée 13 minutes, et après comme d ‘hab, zou sur une grille. Les cookies doivent craqueler mais rester moelleux une fois refroidis.

Petit Brun

Pour un gâteau qui tue :

2 paquets de Petit Brun
1 mug de café serré

Crème au beurre :
250 g. de beurre bien mou
130 g. de sucre en poudre
2 œufs
200 g. de chocolat noir

Préparer la crème au beurre comme dans le Gâteau After Eight:

Mélanger le beurre bien mou avec le sucre, et une fois le mélange homogène, ajouter les œufs et le chocolat fondu.

Verser le café chaud dans une assiette creuse, et y tremper une partie des gâteaux un à un, pour ensuite les disposer sur le plat de service. On confectionne ainsi la première couche, qui donnera la forme finale.

Étaler dessus une couche généreuse de crème au beurre, et recommencer jusqu’à épuisement des munitions.

Finir par une couche de crème au beurre sur laquelle on peut faire des zigouigouis à la fourchette pour faire joli

Mettre au frais jusqu’au moment de servir (2 heures au minimum histoire que tout ça se tienne un minimum, sinon, c’est purée de biscuits mous assurée!!)

Quelques astuces pour optimiser cette recette :

Il faut bien compter ses gâteaux pour pas se retrouver avec un truc bancal au final, mais il faut prévoir tout de même quelques victimes qui ne se remettront pas du trempage.

A propos du trempage, la température du café joue beaucoup sur la solidité du gâteau au montage, trop froid les biscuits ne s’imbibent pas, et le gâteau sera un peu sec, trop chaud, ben… on peut pas les tremper sans se cramer les doigts. Pas la peine non plus de leur filer un vrai bain de siège, un pli- plouf rapide suffit.

On ne fait guère plus classique que cette recette, énormément de familles en ont une variante et pour cause : la recette originale s’appelle « Gâteau de famille » et était imprimée sur les paquets de biscuits Thé brun. Là c’est bien évidemment la version de ma mère, et bien évidemment c’est la meilleure !  Si l’histoire de cette recette  vous intéresse, allez sur le blog Une pincée d’épicurisme !

 

 

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