Batcake – cake aux Batnas

1/2 paquet de Batnas (27/28 autrement dit)
10 cl. de lait
125 g. de beurre
3 œufs
140 g. de sucre roux
150 g. de farine
1/2 sachet de levure

Préchauffer le four à 180°c.

Dans une casserole, faire fondre les Batnas (dépiautés!! et coupés en deux) avec le beurre et le lait.

Dans un saladier, mélanger tout le reste (en commençant par les œufs + sucre bien battus).

Ajouter le mélange de Batnas fondus dans le saladier, bien remélanger et mettre dans un moule à cake beurré et fariné s’il n’est pas en silicone.

Zou, au four 40/45 minutes (pointe du couteau blablabla, ressort sèche blablabla).

Point d’extrait de chauve-souris ou de justicier masqué dans ce gâteau qui est aussi bon que son nom est capillotracté. C’est une variation autour du cake au carambar, après une cure de zan au taff qui m’a donné envie de faire un gâteau au réglisse. Je ne trouvais que des recettes avec de la poudre de réglisse ; dans la série « ingrédient chiant à trouver », ça se posait là, tout de même. Du coup, paf ! Une recette avec des bonbons, sur un site plein de bonnes trouvailles, ça m’allait beaucoup mieux !

J’ai fait l’essai depuis avec des Regliss’Mint, mais le goût se perd plus à la cuisson.

Parfait aux 2 chocolats

Pour 8 personnes :

100 g. de chocolat noir
150 g. de chocolat au lait
30 cl. de crème fleurette (rayon frais, en flacon type Yop, pas loin des crèmes fraîches)
5 jaunes d’œufs
150 g. de sucre en poudre
10 cl. d’eau

 

C’est un dessert glacé à préparer la veille, ou le matin pour le soir. Alors niveau ingrédients, c’est pas compliqué, mais pour la réa, faut y aller youpi, et va falloir pas mal de matos (4 saladiers, 1 casserole, 1 batteur électrique et pas mal de cuillères).

On ajuste le boxer et/ou le soutien-gorge, on respire un grand coup et on s’y met:

Dans une casserole, préparer un sirop avec le sucre et l’eau, jusqu’à ce que le mélange soit mousseux, mais surtout pas coloré (l’idéal, c’est d’avoir un thermomètre à sucre : 110°C au compteur et on arrête).

Pendant que le sirop chauffe, au batteur électrique, dans un saladier qui supporte la chaleur (un cul de poule en inox, pour moi), on fouette les jaunes d’œufs jusqu’à ce qu’ils soient mousseux et lisses en surface.

Dès que le sirop est à température, on le verse sur les jaunes sans arrêter de battre au fouet jusqu’à ce que le mélange soit épais et ait triplé de volume. Et là, c’est pas fini, on continue encore 5 minutes, le temps que ça refroidisse sans retomber. D’habitude c’est à la St Valentin qu’on change de main, là, va falloir être ambidextre pour pas cramper. Le mélange doit être épais et brillant.

Quand c’est près, on rince les batteurs, et on fait fondre les chocolats dans des saladiers séparés (assez grands, vu qu’on va y ajouter le reste des préparations un peu plus tard). Vu que je fais fondre mon choco au cro-ondes, là il a fallu éviter l’inox (on en est à 3 saladiers, St Lave-vaisselle, priez pour nous).

Dès que les chocolats sont fondus et bien lisses, on les mets de côté, on prend le 4ème et dernier saladier, et on y passe la crème fleurette au batteur électrique jusqu’à ce qu’elle forme des becs, un peu comme des blancs en neige souples. Pour être sûr de pas se planter, l’idéal c’est de mettre le saladier et la crème jusqu’au dernier moment au frigo, si c’est froid, ça prend mieux.

Quand c’est près, on répartit le mélange jaunes d’œufs/sirop dans les 2 saladiers où se trouvent les chocolats, on mélange bien jusqu’à ce que ça soit parfaitement homogène, puis on ajoute la crème fouettée, de même, séparée de façon équitable entre les 2 saladiers. D’abord à la barbare sur les premières cuillères, puis plus délicatement, pour obtenir une belle texture onctueuse.

Dans un moule à cake (tapissé de film alimentaire s’il n’est pas en silicone), on étale soigneusement la mousse de chocolat noir et on place au congélo (bien à plat!!) pour 1h30/2h. Puis, on étale par dessus la mousse de chocolat au lait et retour au congélo pour minimum 8 heures, toujours à plat, sauf si vous voulez exposer votre dessert dans une galerie d’art moderne.

Sortir 2 minutes avant de servir, démouler puis couper de belles tranches à l’aide d’un couteau passé sous l’eau chaude. Attention, ça n’est pas ferme comme une glace, même en sortant du congélo, ça reste assez malléable.

J’avoue que la quasi-simultanéité des préparations m’a un peu stressée, mais au final, ça en jette. L’avantage de devoir faire ce gâteau à l’avance, c’est que vous avez le temps de redonner un aspect normal à votre intérieur, paske quand j’ai mis le bouzin au congélo, on aurait dit que j’avais fait péter une grenade à fragmentation dans la cuisine. La recette vient d’un bouquin de Gordon Ramsay, mon chouchou à la bouche pleine de jurons.

Quand on a un moule à motifs, comme ici, c’est pas mal de remplir les motifs d’une couleur de mousse, de bien lisser et essuyer le reste, avant de continuer le remplissage avec l’autre mousse. Ça s’appelle la cerise sur le gâteau, ce qui est plutôt balaise pour un gâteau sans fruits

Bon, c’est plus tendu que le gâteau au yaourt ou le cake aux carambars, mais avec ça, vous épatez la copine/la belle-mère/les potes. Et ça déboîte plus que sévère, faut avouer.
Et pis c’est pour Noël, quoi !

 

 

Tarte d’hiver (Mince Pie maison)

2 pâtes brisées
2/3 pommes selon leur taille, plutôt acidulées
2/3 poires selon leur taille
180 g. de cassonade
125 g. de beurre
180 g. de raisins secs blonds
90 g. de raisins secs de Corinthe (les bruns, hein, par opposition aux blonds)
90 g. d’écorces d’orange confite coupées en petits dés
2/3 cuillères à soupe de jus de citron (un bon « pschitt » de la petite bouteille jaune magique)
2 cuillères à café de cannelle en poudre
1 cuillère à café de noix de muscade râpée
12.5 cl. de jus de pomme
6 cl. de cognac

 

Dans une casserole, mélanger tout sauf le cognac (euh… et les pâtes brisées), porter à ébullition en remuant constamment puis baisser un peu le feu et laisser blobloter 30 minutes en remuant de temps en temps. Ça sent bon, mais d’une force ! Une fois hors du feu, ajouter le cognac et bien mélanger. On doit obtenir une sorte de mélasse épaisse.

Laisser tiédir et pendant ce temps, préchauffer le four à 180°C (th. 6). L’idéal, c’est même de pouvoir faire le mélange aux fruits quelques heures avant, voire la veille, car le mélange, froid, risque moins de rendre la pâte du dessous toute ramollo.

Étaler la première pâte dans un moule à tarte, ne pas couper les bords tout de suite, la remplir du mélange aux fruits.

Couper la 2ème en bandes d’1 cm d’épaisseur grosso modo pour les assembler en croisillons. Si ça vous semble compliqué, mater les travaux manuels de votre petit frère/cousin/voisin de CP. En fait c’est faisable. Si, si. Si vraiment ça vous semble insurmontable (pffff, j’te jure), enlever une bande sur deux et les poser juste à 90° sur les autres (c’est juste *soupir*, m’enfin, je dis ça, je dis rien). Par contre, vaut mieux faire ça sur le papier cuisson, et après, remettre au frigo 15 minutes, histoire que ça soit bien ferme, comme ça, on retourne d’un geste vif, précis et gracieux l’ensemble des bandelettes d’un coup sur la pâte, et hop.

Appuyer sur le bord de la tarte pour souder les bandes au tour, badigeonner les bandes d’un jaune d’œuf battu dans 2 cuillères à soupe de lait et enfourner pour 40/45 minutes. Attention à ce que les bandes ne crament pas trop, si ça commence à trop foncer, recouvrir le tout d’une feuille d’alu.

Cette tarte apporte beaucoup de réconfort (ça va de paire avec les calories) en ces temps glacés où l’extérieur en général devient inhospitalier et où la plénitude ne peut se trouver qu’au fond du canapé devant un bon jeu/film/JT de TF1 (nan, j’déconne). On peut jouer sur les épices, sur du « tout pomme », ou du « tout poire », mettre de l’abricot sec à la place de l’orange, etc, etc.

Et oui, on trouve des garnitures en pot toutes faites (chez marks & Spencer pour pas les citer), mais c’est quand même carrément pas pareil.
Une bonne recette d’hibernation !

 

 

Tarte aux Carambars + Combo pâte à tarte rapide aux petits suisses

Pour 8 personnes :

Version sans combo :
1 pâte brisée toute faite
1 paquet de carambars
(350 g.)
25 cl de crème fraîche
3 œufs
1 très grosse cuillère de farine
Préchauffer le four à 180°C (th. 6).

Précuire la pâte 5/10 minutes en la plaçant dans un moule à tarte avec son film et en la lestant de noyaux d’abricots ou de haricots secs.

Dans une casserole, faire fondre à feu moyen les Carambars sans leurs papiers, avec la crème, en remuant constamment. Attention, le Carambar est fourbe, il ramollit rapidement mais mets du temps à se dissoudre dans la crème fraîche, préférant former une bouboule infâme qui, remuée trop vigoureusement, éclabousse de la crème fraîche un peu partout dans la cuisine. Prévoir donc de la délicatesse, ou un tee-shirt de rechange (le tee-shirt est ma seule option).

Une fois les Carambars fondus (le mélange est liquide et assez peu épais), retirer la casserole du feu et ajouter la farine, puis les œufs. Remuer jusqu’à obtenir une consistance bien homogène. On peut fouetter les œufs dans un bol avant de les verser, pour gagner du temps.

Verser dans le fonds de tarte et remettre au four pour 25 minutes.

Version Co-co-co-combo :
La même chose, mais avec une pâte maison, genre j’me la pète.

3 petits suisses (surtout pas de 0 % par contre)
Leur poids en farine (180 g.)
La moitié de leur poids en beurre mou (90 g.)

Travailler le tout pour obtenir une belle boule de pâte lisse et laisser reposer une heure au frigo.

Étaler au rouleau et mettre dans un plat à tarte beurré et fariné. A partir de là, reprendre la recette telle quelle.

Là, j’ai pas eu le temps de mettre la pâte au frigo, donc, la pâte n’était pas assez ferme pour être étalée au rouleau… Mais quand on a pas de temps, on a de la ténacité, donc zou, la boule de pâte au milieu du plat à tarte et paf, étalage direct dans le plat à la mimine. Ça demande un peu de patience pour aboutir à un truc étalé de façon homogène dans le moule, mais ça passe.

Ça donne une pâte assez légère, et fraîche en goût, qui équilibre bien les garnitures très sucrées. Et c’est très rapide à faire !

Ce qui m’a surpris avec cette tarte, c’est que malgré le peu de farine, la texture n’est pas « flan » du tout, et le dessus croustille légèrement ; le goût est certes fort, mais pas écœurant du tout (d’un autre côté, on étaient 10 dessus, les parts étaient assez petiotes), bref, un potentiel de COTY.

Brownisto

Pour grosso modo 16 parts.
Vous je sais pas, mais chez moi, ça veut dire 4, 5 personnes maxi.
C’est qu’ça bouffe un doberman.

270 g. de chocolat
170 g. de beurre
200 g. de sucre
4 œufs
200 g. de farine
1 groooosse cuillère à soupe de crème fraîche. Ou 2, tiens, soyons fous.
8 Balisto (miel amande) Autrement dit, 1 paquet, sur lequel on en prélève un comme dîme pour le cuistot. Non mais.
Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Faire fondre le chocolat et le beurre, à la casserole ou au cro-ondes.

Dans un saladier, fouetter les œufs et le sucre, ajouter le mélange de chocolat fondu, la farine, la crème et les Balistos coupés au couteau en 5/6 morceaux chacun.

Verser dans un moule carré (à peu près 25 cm. de côté) beurré et fariné.

Et zou, au four pour 25 minutes.

Le moule carré (ou rectangle), utilisé traditionnellement pour les brownies, permet une découpe en carrés plutôt qu’en parts, ce qui déjà, change un peu, et surtout, vu la texture du bouzin, permet de servir autre chose qu’une purée de gâteau infâme. Pour ma part, je détourne mon plat à gratin en pyrex

Vieux beurré breton (aka le gâteau pléonasme)

400 g. de beurre bien mou (oui, je sais, ça fait peur. Mais attendez de voir la suite)
320 g. de sucre
500 g. de farine
4 jaunes d’œufs (+1 pour dorer)

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Dans un grand saladier, mettre tout en vrac et travailler à la mimine jusqu’à obtenir une belle pâte lisse (d’où l’intérêt du beurre bien mou). Inutile de préciser qu’il vaut mieux retirer ses bagues / chevalières / alliances / Power rings AVANT de s’y mettre.

Étaler à la main dans un moule à tarte beurré et fariné, pour obtenir un truc d’au moins 2 cm. d’épaisseur. Ici, mieux vaut éviter le moule silicone qui risque de faire perdre du croustillant au gâteau.

Bien lisser à la main (il ne s’étalera pas à la cuisson, donc, faut pas lésiner) et décorer avec une fourchette en formant des croisillons.

Mélanger le jaune d’œuf restant avec un peu d’eau et badigeonner allègrement, puis enfourner pour 10 minutes. Au bout de ces 10 minutes, baisser le four à 160°C (th.5/6)) et finir la cuisson pendant 20/25 minutes.

On peut le servir tiède ou froid.
Bon, alors certes, hein, c’est pas trèèèèèès diététique. Mais c’est bon.

Un truc très important, c’est la qualité du beurre. Selon que vous preniez un premier prix qui n’a plus vu de vache depuis ses vies antérieures, ou un chouette beurre en baratte de chez le fromager, votre gâteau change du tout au tout. Si vous prenez du mauvais beurre, tant pis pour vous  !!

 

Cake à la presque crème pâtissière

1 yaourt nature
1/2 pot d’huile
2.5 pots de farine
1 pot de sucre
2 œufs
1 sachet de levure chimique
1 sachet de préparation pour crème pâtissière
Préchauffer le four à 180°C (th.6).
Tout mélanger.
Mettre dans un moule.
Cuire 30 minutes.

Trooooooop dur !!

Bon, bien sûr, la base est celle d’un gâteau de yaourt, juste un peu ajustée à cause de la présence de la préparation pour crème pâtissière. Les sachets de préparation, ça se vend notamment chez Leader Price pour 0.4548 euros 6 sous, et sinon, on peut le remplacer par des préparations pour pudding (vanille a priori, mais le reste serait à tenter).

Le goût est assez sympa, la texture sans surprise, mais agréable et ça se démoule assez bien pour qu’on puisse utiliser des moules funs

Mais dans un souci d’honnêteté intellectuelle, ce gâteau étant fait avec de la fausse crème pâtissière, j’ai mis un faux Mon Petit Poney

 

Flan pâtissier de fâgnâsse

Pour un flan de 6/8 personnes

1 pâte brisée (toute faite, c’est tout de même une recette fâgnâsse)
6 danettes vanille
4 œufs
3 cuillères à soupe de crème fraîche épaisse
Préchauffer le four th.7 (210°C).

Précuire la pâte 10 minutes en la lestant de noyaux d’abricots (ou de perles en céramique, quand on a l’équipement dit du « tac tac tavu »).

Pendant la précuisson, mélanger les œufs, la crème et les danettes.

Verser le mélange (qui ressemble quand même férocement …. à de la danette sans rien dedans…) dans la pâte et zou au four pour 20/30 minutes.

Le dessus doit être un peu ferme, mais pas d’illusion, ça fait quand même fleubeugeule, fleubeugeule si on remue un peu trop le tout (je sais, c’est pas classieux, mais j’espère que c’est parlant, je suis ouverte à toute proposition de transcription du phénomène du fleubeugeule, fleubeugeule).

Bien laisser refroidir et mettre au frigo jusqu’au moment de servir (perso, je les ai fait la veille).

Pour être honnête, la consistance est pas tout à fait celle du flan de pâtisserie, ça fait plus crème aux œufs d’après ma douce moitié, mais le goût est sympa et ça ferait un excellent dessert pour l’été, car peu sucré et très frais.  Et pis c’est pas compliqué ^^

Petit Brun

Pour un gâteau qui tue :

2 paquets de Petit Brun
1 mug de café serré

Crème au beurre :
250 g. de beurre bien mou
130 g. de sucre en poudre
2 œufs
200 g. de chocolat noir

Préparer la crème au beurre comme dans le Gâteau After Eight:

Mélanger le beurre bien mou avec le sucre, et une fois le mélange homogène, ajouter les œufs et le chocolat fondu.

Verser le café chaud dans une assiette creuse, et y tremper une partie des gâteaux un à un, pour ensuite les disposer sur le plat de service. On confectionne ainsi la première couche, qui donnera la forme finale.

Étaler dessus une couche généreuse de crème au beurre, et recommencer jusqu’à épuisement des munitions.

Finir par une couche de crème au beurre sur laquelle on peut faire des zigouigouis à la fourchette pour faire joli

Mettre au frais jusqu’au moment de servir (2 heures au minimum histoire que tout ça se tienne un minimum, sinon, c’est purée de biscuits mous assurée!!)

Quelques astuces pour optimiser cette recette :

Il faut bien compter ses gâteaux pour pas se retrouver avec un truc bancal au final, mais il faut prévoir tout de même quelques victimes qui ne se remettront pas du trempage.

A propos du trempage, la température du café joue beaucoup sur la solidité du gâteau au montage, trop froid les biscuits ne s’imbibent pas, et le gâteau sera un peu sec, trop chaud, ben… on peut pas les tremper sans se cramer les doigts. Pas la peine non plus de leur filer un vrai bain de siège, un pli- plouf rapide suffit.

On ne fait guère plus classique que cette recette, énormément de familles en ont une variante et pour cause : la recette originale s’appelle « Gâteau de famille » et était imprimée sur les paquets de biscuits Thé brun. Là c’est bien évidemment la version de ma mère, et bien évidemment c’est la meilleure !  Si l’histoire de cette recette  vous intéresse, allez sur le blog Une pincée d’épicurisme !

 

 

Gâteau Pommes-Prunes

3 pommes
60 g. de sucre en poudre
1 bon kilo de quetsches (ou un mix quetsches-mirabelles, quand on a picoré dans les quetsches prévues pour le gâteau, hum…)
40 g. de semoule (précuite, si possible)
1 sachet de sucre vanillé
Cannelle, selon le goût
Préchauffer le four à 220°C (th. 7/8).

Passer les pommes épluchées et coupées en quartier au robot (ou les râper).

Ajouter les 2/3 du sucre, le sucre vanillé, la semoule et la cannelle. Ce mélange va servir de base au gâteau. Étaler au fond d’un moule beurré et fariné, ou mieux, dans des ramequins individuels (parce que c’est proprement indémoulable !! Là, j’ai utilisé un moule à fond amovible).

Recouvrir des oreillons de quetsches (et/ou des autres prunes), saupoudrer du reste de sucre et enfourner pour 30 minutes.

Se sert tiède ou froid.

Alors, le mélange mirabelles-quetsches a bien plu, mais j’avoue que visuellement, les quetsches claquent plus, parce qu’elles colorent de rouge la pâte de pommes. La prochaine fois, j’essayerais de pas boulotter à l’avance la moitié des fruits …

Et sinon, j’attire l’attention du lectorat sur le fait que c’est diablement léger comme gâteau : pas de beurre, pas d’œuf, très peu de sucre … mais du goût quand même !

 

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