Charlotte aux fraises

Pour une charlotte pour 4 personnes

1 boite de boudoirs
250 g. de fraises
75 g. de sucre en poudre
4 petits suisses (soit 240 g. ou du fromage blanc)
2 g. d’agar-agar (gélifiant en poudre) ou 3 feuilles de gélatine alimentaire (trouvables au rayon d’aide à la pâtisserie, avec les sachets de coco en poudre, la levure, tout ça tout ça)
Du rhum (♫ des femmes ♫ etc)

Dans un assiette creuse, verser l’équivalent d’un demi-verre d’eau chaude, 25 g. de sucre et du rhum (la dose de rhum, c’est selon votre goût, perso, j’y vais franco).

Dans un grand bol, mélanger le reste du sucre (50 g.) avec les petits suisses. Une fois bien mélangé, ajouter l’agar-agar dissous dans 1/4 de verre d’eau chaude, ou les feuilles de gélatines égouttées (y’a toutes les instructions sur les sachets).

Recouvrir le fond et les parois d’un moule à charlotte (ou à défaut, d’un moule à gâteau petit et assez haut… ou au pire d’un moule à cake) préalablement recouvert de film alimentaire, des boudoirs trempés un à un dans le sirop sucre+eau+rhum.

Étaler la moitié des fraises coupées grossièrement, puis recouvrir de la moitié du mélange aux petits suisses, d’une couche de boudoirs trempés et rebelote.

Si possible, mettre sur le dessus du moule un truc assez plat sur lequel on pourra poser un poids, et mettre au frigo au minimum deux heures, au mieux une nuit. L’idéal, c’est de choper une petite assiette qui se glisse pile dans le haut du moule, dessus on pose une canette et ça fait l’Amérique.

Hum, et quand on la sort du frigo trop tôt, forcément c’est moins glam’ …

Charlotte 2

Bien sûr, on peut en faire des individuelles, ça évite de tels affaissements …
Ça vous montre au moins ce qu’il ne faut pas faire !!

 

Cake glacé au citron

Pour un cake et son glacage:

225 g. de beurre
225 g. de sucre en poudre
225 g. de farine
1 sachet de levure
4 œufs
2 citrons
85 g. de sucre en poudre (pour le glaçage)
Préchauffer le four à 180°C (th. 6).

Travailler le beurre bien mou (s’il ne l’est pas assez, 20 secondes au cro-ondes et on en parle plus) avec le sucre en poudre jusqu’à ce que le mélange soit bien crémeux, et ajouter les œufs entiers un à un.

Incorporer délicatement la farine, la levure et le zeste d’un des citrons (si vous n’avez pas de zesteur -han!-, passez-le sur une râpe à fromage sans aller jusqu’à attaquer le blanc – trop amer).

Une fois le tout bien mélangé, verser dans un moule à cake chemisé. Quézako ? C’est un moule à cake dont l’intérieur est recouvert de papier cuisson plié, de façon à pouvoir être démoulé sans retourner le moule. Pas de panique, hein, on chope à la fois une grande feuille de papier et sa respiration, on cale la dite feuille au fond du moule et l’un après l’autre, on cale un doigt dans un angle du fond du moule et on plie de manière à faire pas trop le dawa. Sinon, y’a la méthode avec découpage. Mais c’est tellement facile que c’est de la triche. Un vrai cheat-code culinaire. La honte, quoi.

D’habitude, je casse pas les pieds avec le chemisage (après tout, on peut le faire à chaque fois), mais là, le glaçage qu’on va mettre sur le gâteau casse très facilement, du coup, c’est vraiment mieux d’en passer par là. Mais si l’aspect final vous importe peu, mettez la pâte dans le moule beurré et fariné et pis c’est tout .

Pendant les 45/50 minutes de cuisson du cake, on en profite pour mélanger le jus des citrons (celui qui a servi au zeste, et l’autre) avec les 85 g. de sucre réservés pour ça.

Dès que le cake est sorti du four, on joue à Basic Instinct dessus. Commencez pas à croiser les jambes de manière lascive, il faut juste piquer le dessus à répétition avec un cure-dents (le pic à glace laissant de trop gros trous). Là, on verse le sirop de citron dessus doucement, pour que ça imprègne bien. On laisse refroidir, et dès que possible, on le met au frigo, pour que le glaçage prenne bien. De toutes façons, les gâteaux aux agrumes, c’est meilleur froid

Cette recette est tellement facile que c’est mon cher et tendre qui l’a fait, et vachement bien en plus. C’est qu’il a un très bon professeur, faut dire. Huhuhu. Pardon.

 

Marbré Italien

Pour un marbré de 6/8 personnes

3 œufs
150 g de sucre
7 cl de lait
180 g de farine
1/2 sachet de levure chimique
5 cl d’huile
2 cuillères à soupe de cacao non sucré
Un peu d’extrait de vanille liquide ou un arôme « incolore » (amandes amères, rhum, malibu …)

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Séparer les blancs des jaunes et les battre séparément avec 75 g de sucre chacun. Les blancs doivent former une meringue brillante et très ferme, et les jaunes être très mousseux. L’idéal, c’est de passer le mélange jaune+œufs au batteur, après tout, quitte à l’avoir sorti, autant le rentabiliser.

Ajouter au mélange des jaunes le lait, la farine, la levure et l’huile. Le mélange étant très collant, je vous conseille d’y aller à la fourchette plus qu’au fouet, sinon, vous allez ramer. Incorporer gentiment les blancs en neige et verser la moitié de la pâte dans un 2ème saladier. Pas la peine de peser, on y va au pif, si c’est pas égal, y’a vraiment pas mort d’homme.

Dans un des saladiers, mettre le cacao sucré et re-mélanger. Si la pâte chocolatée vous semble vraiment plus épaisse que l’autre, ajouter une ou deux cuillères de lait en mélangeant trèèès délicatement. Ce n’est vraiment à faire que si les textures des deux pâtes sont trop différentes.

On prépare un moule beurré et fariné (ou en silicone) et là, commence le fun. On s’arme de cuillères à soupe et de patience.

Au milieu du plat, on verse une cuillère à soupe bien maousse de pâte chocolat. Une fois qu’elle s’est bien répandue, on verse par dessus, bien centrée, une cuillère à soupe de pâte nature. Et on recommence depuis le début du paragraphe jusqu’à épuisement des munitions. Selon la taille de la cuillère (même si rien n’empêche d’y aller 3 cuillerées par 3 cuillerées), on met entre 15 et 45 minutes à monter les pâtes avec un effet de stries plus ou moins serré.

Zou 25 minutes au four et on laisse refroidir avant de manger ^^

Cette recette vient d’un blog culinaire, Papilles & Pupilles, sur lequel vous trouverez les étapes détaillées en images… et accessoirement des recettes sympas.

Si les blancs en neige vous gonflent, y’a aussi la solution fâgnâsse. On fait une pâte de gâteau au yaourt toute simple, qu’on sépare en deux et blablabla. Simplement, le principal intérêt de ce gâteau c’est son look, et sur une base de gâteau au yaourt, ça ne rend pas tout à fait aussi bien, question de texture de pâte sans doute, qui ne se « déforme » pas de la même façon.

 

Granny Award

4 pommes (golden de préférence)
60 g. de beurre mou
100 g. de sucre roux
100 g. de sucre en poudre
1 œuf
160 g. de farine
1 cuillère à café de bicarbonate de soude (ou, au pire, 1 sachet de levure chimique)
1 pincée de cannelle
125 g. de raisins secs
125 g. de noix hachées

Pelez et couper en gros morceaux les 4 pommes et les passer à la casserole (niark) avec un peu d’eau au moins 20 minutes jusqu’à ce qu’elles soient bien compotées (on doit pouvoir les éclater à la fourchette, et d’ailleurs on va pas se gêner pour le faire en laissant tout de même des p’tits morceaux par-ci par-là), et mettre de côté.

Préchauffer le four à 135°C (th. 4).

Bien mélanger le beurre et les sucres. Ajouter l’œuf, puis la farine, le bicarbonate et la cannelle.

A cette pâte très compacte (très. compacte.), ajouter la compote de pommes. Une fois que la pâte est bien homogène, on se retrouve avec un gloubi boulga assez liquide dans lequel on jette avec désinvolture les raisins et les noix.

Re-mélanger et mettre dans un moule beurré et fariné (si le moule n’est pas en silicone) et enfourner 1 heure. Ben oui, le four est pas super chaud, du coup ça cuit très longtemps.

On obtient une sorte de barre Grany moelleuse géante, avec une texture très sympa. La prochaine fois j’essaye en ajoutant de la noix de coco (genre 80 g. de coco râpée, en enlevant 60 g. de farine) ou peut être en mettant des amandes à la place des noix … En attendant, il va déjà falloir finir celui-ci, parce que ça nourrit son homme, mine de rien

 

 

Gâteau After Eight

Pour le gâteau :

1 yaourt nature
4 pots de farine (ou 3 de farine et 1 de maïzena, pour alléger un peu)
2 pots de sucre
1/3 pot d’huile végétale neutre
1 pot de sirop de menthe (le vert, pas le menthe glaciale, qui est incolore)
1 sachet de levure chimique
2 œufs

Pour la crème au beurre au chocolat  (recette môman) :

125 g. de beurre
65 g. de sucre
1 œuf
100 g. de chocolat noir

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Mélanger tous les ingrédients du gâteau et mettre dans un moule beurré et fariné s’il n’est pas en silicone et enfourner pour 35 minutes.

Le dessus du gâteau est doré très foncé (marron, quoi), ce qui n’est pas super élégant par rapport à l’intérieur qui, lui, reste d’un joli vert alien tout ce qu’il y a de plus chimico-kawaï, d’où l’importance de le dissimuler sous une crème au chocolat (excuse à deux balles).

Donc, pendant que le gâteau cuit, on prépare la crème au beurre en mélangeant le beurre bieeeeen mou avec le sucre jusqu’à obtenir une crème homogène. Là, ajouter l’œuf et bien mélanger, puis, incorporer le chocolat préalablement fondu au micro-ondes (les carrés bien étalés sur une assiette, on y va à coups de 20 secondes jusqu’à ce que le chocolat soit bien lisse). Le chocolat chaud doit permettre d’homogénéiser la crème, s’il restait de micro-bouts de beurre.

Une fois le gâteau sorti du four, on le coupe en deux dans l’épaisseur et, dès qu’il a un peu refroidi, on le torche de crème au beurre dedans, dessus, sur les côtés, gaiement.

Le tout au frigo, le temps que la crème au beurre se raffermisse en peu et miam.

On peut bien sûr servir le gâteau sans crème (mais quel dommage!!) ou varier les sirops pour varier les goûts, mais peu sont aussi prononcés que le sirop de menthe; javais essayé avec de la grenadine, c’était pas fifou.

Parce que la crème aussi se parfume à l’envie, il faut juste faire attention à ne pas mettre un arôme trop liquide (par exemple, si vous voulez une crème au café, il vaut mieux ne mettre qu’une tasse d’expresso, mais la booster au café instantané, plutôt que de mettre 2 tasses).

 

Cake au chocolat

200 g. de chocolat noir
150 g. de beurre
150 g. de sucre
100 g. de farine
5 blancs d’œufs

Préchauffer le four à 180°C (th. 6).

Mélanger le beurre mou et le sucre jusqu’à obtenir un mélange homogène.

Ajouter le chocolat préalablement fondu au micro ondes, puis la farine et enfin les blancs montés en neige.

Au début la pâte est assez compacte, du coup ça sert à rien de s’escrimer à incorporer délicatement les blancs dès le départ, perso, le premier tiers j’y vais comme une brute et une fois que la pâte est plus souple, là j’y vais mollo

Verser dans un moule à cake beurré et fariné s’il n’est pas en silicone et enfourner pour 40 minutes (pointe de couteau dans le gâteau pour vérifier qu’il soit cuit, comme d’hab’).

Cake à la Danette

« ♫ On se lève tous pour le cake, le cake ♫ »

Pour un cake bien ventru

  • 2 Danettes au choix
  • 3 oeufs
  • 1 pot de sucre semoule
  • 1 sachet de sucre vanillé
  • 1 pot d’huile (neutre, type tournesol)
  • 1 pot de lait
  • 1 sachet de levure
  • 3 pots de farine (ou 2 pots de farine + 1 pot de maïzena)

Préchauffer le four à 180°C (th. 6)

Mélanger dans l’ordre d’apparition à l’écran tous les ingrédients.

Verser dans un moule à cake beurré et fariné s’il n’est pas en silicone.

Cuire 45 minutes, jusqu’à ce qu’une pointe de couteau ressorte sèche.

Laisser refroidir un peu avant de démouler et servir tiède ou froid.

Pas bien compliqué !! Même si j’enrage de ne pas avoir trouvé de Danette Pistache pour tester, le résultat est assez concluant !    :3

On peut bien évidemment mixer les Danettes, vu qu’il en faut 2, je pense essayer chocolat-café … Un fois que j’aurais pu essayer pistaaaaaaache !!

Edit : J’ai essayé Pistache, c’était très « mouif »; il faut prendre des crèmes fortes en goût !

Gâteau aux mirabelles

Pour un petit gâteau de 4 personnes :

  • 2 oeufs
  • 50 g de sucre roux
  • 1 sachet de sucre vanillé
  • 40 g d’huile neutre , type isio 4 ou de tournesol (ou de beurre fondu)
  • 4 cuillères à soupe de lait
  • 125 g. de farine
  • 1/2 sachet de levure
  • 30 mirabelles dénoyautées (ou 250 g. d’autres prunes dénoyautées)

Pour le dessus du gâteau, 1 cuillère à soupe de sucre roux et un peu de cannelle en poudre

Préchauffer le four à 18 °C (Th. 6).

Battre les oeufs et les sucres. Ajouter l’huile, le lait, puis la farine et la levure.

Une fois obtenu un mélange bien homogène, verser dans un moule à manqué (beurre et fariné si ce n’est pas un moule en silicone).

Planter dedans les mirabelles. Pas d’inquiétude, il n’y a pas beaucoup de pâte et les fruits dépassent de plus de moitié, mais ça ira mieux en cuisant .

Saupoudrer de sucre roux et de cannelle (mollo sur la cannelle, les prunes c’est pas méga violent en gout, ça a vite fait de se faire couvrir par une épice mal dosée), et enfourner pour 25 minutes.

Si comme moi vous utilisez des fruits surgelés et que vous préférez les utiliser encore froids pour pas en faire de la purée, rajouter facilement 5 minutes à la cuisson. Pour vérifier si c’est bon, une pointe de couteau doit ressortir sèche si elle est plantée au milieu du gâteau.

Gâteau moelleux à l’orange

  • 3 oranges
  • 175 g de farine
  • 150 g de sucre en poudre
  • 100 g de beurre
  • 3 oeufs
  • 85 g de sucre glace
  • 1/2 paquet de levure

Préchauffer le four à 165 °C (th. 5/6).

Mélanger le beurre mou au sucre jusqu’à obtenir une pâte homogène.

Ajouter les oeufs, puis la farine et la levure.

Râper les zestes des 3 oranges et les ajouter au mélange, avec le jus d’une seule orange (on garde le jus des 2 autres pour faire un sirop plus tard).

Une fois le mélange bien homogène, on verse dans un moule à cake, et zou, au four pour 40 minutes (le gâteau doit être bien doré).

A peu près 10 minutes avant la fin de la cuisson, faire chauffer le jus des oranges restantes avec le sucre glace dans une casserole en remuant constamment jusqu’à ébullition, puis mettre de coté le sirop obtenu.

Dès que le gâteau est sorti du four, piquer le dessus avec un cure-dents puis verser le sirop délicatement pour bien imbiber la bête.

On peut le servir tiède ou froid, mais surtout, il faut attendre avant de démouler que le sirop soit bien réparti dans le gâteau et qu’il ne soit plus que tiède, sinon, ça risque de finir en purée infâme !

Comme à chaque fois avec des agrumes, on peut varier, là par exemple, j’ai utilisé 2 grosses mandarines et une orange. Et il ne faut pas hésiter à jouer sur la dose de sucre selon le goût désiré, on peut mettre jusqu’à 150 g, si on a vraiment un bec sucré !

Gâteau Cocotte à l’ananas

Pour 4 personnes

  • 100 g. de beurre
  • 100 g. de sucre
  • 2 oeufs
  • 100 g. de farine
  • 1/2 sachet de levure
  • 1/2 boite d’ananas au sirop ou un petit ananas (Victoria) frais
  • Caramel

Première chose à savoir : il faut une cocotte-minute pour faire ce truc. Si vous n’en avez pas, demandez à votre mère de vous prêter la sienne, elle sera toute z’émue à l’idée de vous voir faire des bons plats tradi type Petit salé aux lentilles. La détrompez pas tout de suite, c’est plus gentil.

Beurrer un petit moule à gâteau (il devra tenir dans le panier de la cocotte, je prends un moule à gâteau de Savoie, 15 cm de diamètre et 10 cm de haut, grosso modo).

Égoutter les ananas.

Dans un saladier, travailler le beurre et le sucre jusqu’à obtenir une pâte homogène. Ajouter les oeufs, puis la farine. Le mélange doit être roots, mais ne pas avoir de gros grumeaux du genre « han j’ai trop la flemme de remuer mon fouet ou ma fourchette » pour autant.

Dans le moule, verser l’équivalent de 2 cuillères à soupe de caramel (pas de recette, ça s’achète en bouteille tout fait, on va pas se compliquer la vie, non plus) et le répartir dans tout le fond du moule.

Verser la moitié de la pâte, planter dedans la moitié des morceaux d’ananas, verser le reste de la pâte, planter le reste de fruit et lisser le tout à la cuillère. Recouvrir le moule d’un film alimentaire (du cellofrais quoi) pour éviter que la condensation ne transforme le gâteau en bob l’éponge durant la cuisson, et cuire 35 minutes dans la cocotte à partir du sifflet (si vous comprenez pas ce que je dis, demandez à votre mère, elle sera ravie). Si c’est trop compliqué, dites-le, je mettrais des tips dans les commentaires

Dès que la cuisson est terminée, retirer le film et démouler le gâteau. Il est petit, semble assez mou, mais dès qu’il est tiède, il peut être mangé et sincèrement c’est une tuerie intersidérale.

On peut bien sûr le faire avec des pommes à la place de l’ananas, les poires, vaut mieux éviter, j’ai essayé, les fruits rendant trop de jus, ça avait viré au blob fruité.

 

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