Galettes Thon-Tomates

Pour une dizaine de galettes (format petit cordon bleu) :

3 œufs
100 g. de farine
150 g. de thon égoutté (une boite moyenne)
200 g. de coulis de tomates (1 briquette)
150 g. de flocons d’avoine
100 g. de fromage râpé
Sel, poivre, tabasco, sauce worcestershire … ce que vous voulez, mais pas qu’à moitié !

Dans un saladier, tout mélanger.

Dans une poêle chaude et huilée (7/10 sur ma plaque), poser une bonne grosse cuillerée de mélange, l’aplatir grossièrement et laisser cuire gentiment 2 à 4 minutes selon la taille. Mieux vaut ne pas dépasser le gros centimètre en épaisseur, sinon, c’est incuisable. Pour le format, j’ai une vraie référence de gourmet : la taille d’un cordon bleu Père Dodu. Ou le Gaulois si vous faites la collection des magnets des départements 😀

Avec une spatule, retourner la galette et rebelote de l’autre côté.

Elle doit se retourner facilement, sinon, c’est qu’elle manque de cuisson !

Servir chaud, avec de la salade pour la bonne conscience.

Alors ça, c’est facile et rapide. Un truc cependant, faut pas lésiner sur l’assaisonnement, parce que sinon, c’est aussi goûtu que du liège

On peut les cuire à moitié et les congeler une fois refroidies aussi, si jamais une dose, ça fait trop (hahaha, j’y crois tellement fort …).

En très petites galettes, ça peut aussi faire un machin d’apéro sympa, car elles ont eu la bonne idée d’être mangeables à la main !

Edit : On a essayé de les faire dans l’appareil à croque-monsieur avec les plaques du grill, ça marche très bien, ça sent moins dans la pièce et c’est beaucoup moins gras !!

 

Crêpes au jambon

Pour 2 personnes :

4 crêpes (pas sucrées, hein)
6 tranches de jambon
150 g. de fromage râpé
1 briquette (20 cl.) de sauce béchamel

Préchauffer le four à 210°c (th.7).

Beurrer un plat à gratin, assez long pour y caler des crêpes roulées.

Sur chaque crêpe, étaler une noix de béchamel, des petits bouts de jambon et du râpé. Rouler la crêpe, et la poser au fond du plat, et faire pareil avec les autres (à moins que vous n’ayez de furieuses envies d’origami sur les suivantes !). Sur le dessus des crêpes, étaler le reste de béchamel, recouvrir avec le reste de râpé et paf, au four une vingtaine de minutes, le temps que ça soit bien bien doré sur le dessus.

Le plus compliqué, en fait c’est de trouver un plat à la bonne taille, pour que les crêpes s’étalent pas lamentablement à la cuisson et restent bien calées.

Y’a plusieurs niveaux de fâgnâsserie sur ce plat, on peut faire ses crêpes ou les acheter, et on peut aussi faire sa propre béchamel.

C’est pas que je veuille faire de la rétention de recette et ne pas vous dire comment faire une béchamel, c’est pas le genre de la maison !! C’est juste que je la fait toujours au pif :

Du beurre dans une casserole, quand il est fondu, de la farine petit à petit jusqu’à ce que ça fasse une pâte qui « boule », sel, poivre, muscade, puis j’ajoute du lait, toujours sur le feu, jusqu’à obtenir la texture que je veux. C’est guère précis… Du coup, en briquette, euh… c’est bien aussi

Là, les crêpes sont maison (Chandeleur Powa), mais pas la béchamel, c’est donc une version mi-fâgnâsse !

Quand je pense que mon cher et tendre ne connaissait, en matière de crêpes au jambon, que la version surgelée, qui n’a pas plus de rapport avec les vraies que les raviolis frais par rapport à leurs homologues en boîte, je dis « Scandale !!! » … et aussi qu’il doit pas être le seul … Ça n’a tellement rien à voir, et c’est tellement simple (le mode très fâgnâsse vous fera pas risquer une hernie) que franchement, ça serait dommage de passer à côté !!

Ragoût de mignon bébé mouton

Pour 4 personnes (je sais, vu le poids total, ça étonne… mais vous savez, moi aussi, ils me font peur )

1 kg. de gigot d’agneau ou d’épaule (désossé et coupé en petits bouts)
250 g. de bacon fumé haché (ou du jambon de pays)
2 gros oignons doux émincés
100 g. de petits oignons au vinaigre, rincés et égouttés (ça se trouve au rayon des cornichons)
10 cl. de vin blanc
150 g. de pruneaux (coupés en deux)
1 bâton de cannelle (ou une cuillère à café de cannelle en poudre)
1 cuillère à café de gingembre râpé
50 cl. de bouillon d’agneau (dans l’idéal, sinon, bouillon Kub Or, le bouillon qu’il est trop fort !)
Sel, poivre, sucre en poudre, huile d’olive

Dans une cocotte, faire dorer les morceaux d’agneau salés et poivrés dans 2/3 cuillères à soupe d’huile, pendant 3/4 minutes.

Les retirer, les mettre de côté et balancer allègrement le bacon haché dans 2 cuillères d’huile supplémentaires (et dans la cocotte).

Bien remuer et laisser dorer 3/4 minutes aussi. Là, ajouter les oignons, laisser cuire en remuant 4/6 minutes, remettre un peu de sel et de poivre, une petite cuillère de sucre en poudre et remuer encore 2 minutes jusqu’à ce que ça caramélise un peu.

Déglacer avec le vin blanc et remuer en raclant bien le fond de la cocotte avec une cuillère en bois (c’est là qu’il se planque le goût ! Collé dans la cocotte ! Le fourbe!!).

Laisser bouillonner jusqu’à ce que le jus soit épais, et balancer le gingembre, la cannelle, la moitié des pruneaux et le bouillon … et bien sûr la viande . Bien touiller, et dès que ça rebout, couvrir et laisser mijoter à feu doux 1 heure en allant y mettre 2/3 coups de cuillère de temps en temps. Retirer le bâton de cannelle, ajouter le reste des pruneaux et laisser remijoter encore 30 minutes.

Ça se sert bien chaud, comme tout ragoût qui se respecte, par exemple avec des pommes de terre cuites à l’eau et écrasées à la fourchette avec juste un minuscule chouïa de beurre. (C’est à dire 50 g. pour 500 g. de pommes de terre. J’ai une notion du chouïa qui est toute personnelle).

Perso, je kiffe les plats mijotés, que je rassemble sous le doux nom de Râgougnasses, ça peut se préparer à l’avance, c’est goûtu et ça fait du bien par où ça passe. Là, par exemple, j’ai fait la recette et la première moitié de cuisson la veille, pour juste finir avec 45 minutes de cuisson le lendemain. Soooo pratique pour faire l’entrée et le dessert sans speeder en rentrant du boulot. En plus, si les invités sont coincés dans les bouchons, ça supporte 10/15 minutes de cuisson douce en plus . La recette de base est de Gordon Ramsay (oui, j’le kiffe, j’avoue ), un peu modifiée, sinon c’est pas drôle.

Un petit conseil, il vaut mieux émincer les oignons, hacher le bacon, couper les pruneaux et préparer le bouillon avant de s’y mettre, car même s’il y a des petits temps de pause, mine de rien, ça enchaîne pas mal une fois qu’on est lancé, alors autant pas se prendre la tête

 

 

Blette Runner

Pour 2 affamés:

1 blette
1 poireau
2 oignons
1 bouillon cube de volaille + 1 de légumes
2 l. d’eau (ou 1.75 l. d’eau et 0.25 l. de vin blanc)
4/5 vaches qui rient ou kiris ou boursins
Ail, sauce Worcestershire, noix de muscade, curry en poudre … Tout ce qui vous passe par la main! Sauf peut-être le Nutella. Quoique.

Faire bouillir l’eau dans une graaaaaande cocotte en y ajoutant toutes les épices.

Y balancer allègrement la blette lavée et coupée en tronçons grossiers, le blanc du poireau en rondelles, les oignons épluchés et coupés en 4. Laisser cuire 15/20 minutes jusqu’à ce que les légumes soient tous tendres.

Avec un égouttoir, déplacer les légumes dans le bol du robot-mixeur, et hacher tout ça. Rajouter le fromage et remouliner le tout. Après, ajuster la texture en rajoutant petit à petit du bouillon, en remixant à chaque fois.

Servir tout de suite !!

Alors of course, ce n’est qu’une base, on l’a déjà fait avec des épinards, ou deux sacs de salade de mâche… En fait, ça sert à recycler tous les légumes qui traînent. Traditionnellement on met des patates dans toutes les soupes pour l’épaisseur, perso je trouve pas ça aaaabsolument nécessaire, le fait de mixer les légumes égouttés permet de toutes façons d’avoir un machin épais, après, à chacun de voir la texture qu’il veut. Et bien sûr au moment de servir, on peut rajouter une chiffonnade de jambon de pays, des tranches de bacon frits … y’a de quoi s’amuser ! Juste un truc, essayez quand même de noter vaguement ce que vous mettez, parce qu’il n’y a rien de plus rageant de trouver un mix qui déboîte, et de ne plus se rappeler ce qu’on avait utilisé!

J’aurais pu appeler ça « soupe de légumes », mais là l’ingrédient principal, c’est quand même la blette, dont le nom si peu glamour m’a fait pitié chez le maraîcher, et pis mon cher et tendre est si fier de son titre!

Puriche

Pour 4 personnes …
… Ah non, « pour 2 » me dit-on :

200 g. de purée
200 g. de fromage râpé
200 g. de lardons
5 œufs
sel, poivre, muscade
Préchauffer le four à 200°c (th. 6/7).

Dans un saladier, tout mélanger et mettre dans un moule à manqué beurré et fariné s’il n’est pas en silicone.

Cuire 45/50 minutes jusqu’à ce que ce soit bien doré.

Servir chaud, avec une salade pour faire bien.

Pas complexe, hein ! A la base c’est pour accommoder les restes de purée, mais les restes, à la maison, ça n’existe que dans une autre dimension, celle où me projette mon chéri, alias Louis BMX 12 (le digne fiston de son papounet) quand je veux lui faire des plats allégés.

Donc, un sachet individuel de purée fait l’affaire. Comme les poids de tous les ingrédients sont identiques, c’est pas trop bac+12 d’adapter les quantités . Bon, faut éventuellement être sortir la calculette pour les œufs, mais y’a pas de quoi se froisser le neurone

Le goût, c’est pas compliqué, on dirait une quiche. J’insulte personne, je constate . En tout cas, ça dépanne, ça cale et c’est pas pas dégeu !

 

Terrine de canard

Pour une terrine de 8 personnes :

1 canard
300 g de lardons salés
2 échalotes
2 œufs
2 bardes de lard
Thym, sel, poivre, et baies roses entières

Préchauffer le four à 200°C (th.6/7).

Hacher la viande du canard (sauf un filet), les lardons et les échalotes. Si votre boucher est gentil comme le mien, il vous désossera le canard ( <3) et vous n’aurez plus qu’à enlever le principal du gras. Et si vous n’avez pas de hachoir, ou de robot un peu costaud, couper tout en morceaux les plus petits possibles.

Ajouter les œufs, le sel, le poivre et les baies roses et bien mélanger à la mimine (so glam’ !!).

Dans le fond d’une terrine (ou d’un moule à cake qui ne soit pas en silicone), mettre une des bardes, étaler la moitié de la préparation, mettre le filet entier et finir de mettre la préparation. Parsemer de thym, recouvrir de la barde restante.

Mettre le couvercle de la terrine (ou recouvrir le moule à cake d’une feuille d’alu bien serrée) et mettre au bain marie, au four pour 1h30.

Le bain marie sert surtout à capter les bubulles de gras qui sortiront de la terrine pendant la cuisson, pour éviter le cramage du fond du four !

Dès que c’est cuit, poser la terrine à plat, enlever le couvercle et mettre un poids dessus. A la maison, on a mis une feuille d’alu pour que ça reste propre, et un assortiment de boites de conserves et de paquets de sucre (Jengaaa).

Il faut laisser refroidir complètement avant de mettre au frigo pour au moins une journée (une fois les poids enlevés et le couvercle remis!!).

Petite précision, à la sortie du four, on a l’impression que la terrine baigne dans son jus, mais vraiment, genre elle a plus pied, la pauvrette, envoyez-lui Mitch Buchannon!! Pas d’affolement, ce jus formera une couche de beau gras blanc une fois refroidi.

Alors, ouais, la terrine, ça peut faire peur, genre « Après ça, j’ai plus qu’à faire mes bocaux de légumes maison, et on m’appellera madame Ingalls », certes. Mais justement, l’achievment est vraiment là quand on coupe la tranche de SA terrine, et c’est vachement moins skillé que je ne le craignais, de plus ça se prépare à l’avance et… Ben c’est bon sa race. Et pis fallait bien que j’essaye la jolie terrine que Darling m’a offert.


Tourain

Pour 2/3 personnes :

3 oignons
1 cuillère à soupe bombée de farine
1 l. de bouillon de volaille
1 œuf
3 cuillères à soupe de vinaigre
Quelques tranches de gros pain de campagne
Sel, poivre

 

Dans une grande casserole, faire revenir dans de la graisse d’oie ou de canard (ou à défaut, un mélange beurre/huile), les oignons coupés en très petits morceaux. Fariner les oignons, bien remuer, puis ajouter le bouillon.

Saler, poivrer et laisser mijoter une vingtaine de minutes en remuant régulièrement.

Pendant ce temps, préparer les assiettes creuses ou les bols en y posant des tranches épaisses de pain, coupées si nécessaire.

Battre à la fourchette dans un bol l’œuf et le vinaigre. Verser rapidement ce mélange dans la soupe et remuer au fouet 1 minute ou deux, le but étant que l’œuf ne coagule pas en gros bouts.

Répartir tout de suite dans les assiettes et servir rapidement.

C’est très consistant, ça tient au corps, mais le goût est plus fin que ne le laisse supposer l’énoncé de la recette ! C’est un plat d’enfer en tout cas. Par contre, pour une fois, je ne recommanderais pas de céder à la facilité des oignons émincés surgelés, y’a un vrai « plus » à le faire avec de l’oignon frais (et aussi un peu de patience et des lunettes de natation pour ne pas pleurer toutes les larmes de son corps).

Périgourdin, ou gascon, le tourain est une recette ancienne, dont il y a surement autant de variations que de pages web sur les chatons. Celle-ci vient très précisément de Somplessac bas, près de Puylaroque dans le Quercy (faut être précis dans ses sources, surtout quand elles sont de qualité ).

Soupe Brocolis et Chèvre

Pour 2 personnes :

500 g. de fleurettes de brocolis
40 cl. d’eau
1 chèvre
15/20 g d’amandes effilées (2 grosses pincées)
sel, poivre, noix de muscade

 

Dans l’eau portée à ébullition (dans une casserole), jeter les brocolis et les faire cuire 5 minutes (ou 10 s’ils sont surgelés) jusqu’à ce qu’ils soient facilement transperçables avec un couteau.

Les égoutter (en gardant l’eau de cuisson) et les passer au robot. Rajouter au fur et à mesure de l’eau de cuisson jusqu’à obtenir la consistance voulue.

Saler, poivrer, muscader.

Faire griller à sec les amandes et les mettre de côté.

Verser dans des ramequins dans lequel on aura disposé le chèvre (la forme, ici, est faite avec un emporte pièce, mais on peut faire des découpes au couteau), mettre un tour de moulin à poivre et répartir les amandes.

Et servir tout de suite !

Pour le chèvre, mon cher et tendre s’est dévoué, j’en avais ramené 3, pour voir ce qui irait le mieux dans ce plat : résultat des courses, pas du frais, « frais », car pas assez de goût, pas du hardcore non plus, parce que déjà , ça se découpe pas et c’est pas joli (Si. Ça compte). Le mieux, c’est un chèvre de consistance « bûche » (le machin sous vide en supermarché, ça le fait tout à fait).

Soupe de fenouil aux merguez

Pour 3 personnes (en entrée) :

2 bulbes de fenouil
1 branche de céleri
1 gousse d’ail
70 cl. de bouillon de poule (aka un bouillon cube dans le volume d’eau requis)
1/2 boite de haricots blancs (à peu près 150 g. une fois égouttés)
2 merguez
1 feuille de laurier
Huile d’olive, persil, sel, poivre

Dans une GRANDE casserole, verser 2 cuillères à soupe d’huile d’olive, et mettre le fenouil et la branche de céleri coupés en tranches fines, et la gousse d’ail hachée. Faire fondre tout ça à feu moyen pour que ça fonde, mais sans colorer. Ça semble hypra volumineux, mais pas de panique, au final ça aura diminué de moitié !

Au bout de 5 minutes, verser le bouillon, saler, poivre et ajouter la feuille de laurier. En remuant, porter le tout à bloblotage et laisser mijoter 40 minutes en remuant de temps en temps, faut que ça fasse des bulles, mais des petites bubulles kawaï, pas de bulles de cuisson de pâtes !

Laisser refroidir une dizaine de minutes, enlever la feuille de laurier et mixer le tout au robot jusqu’à avoir une belle texture veloutée (perso, ça a pris une bonne minute). C’est le moment de goûter pour ajuster le sel et le poivre.

Trancher les merguez en tranches fines (couteau aiguisé indispensable, sinon, c’est la chienlit !) et les griller à la poêle à feu moyen dans 2 cuillères à soupe d’huile d’olive (ne pas jeter l’huile de cuisson à la fin, surtout!)

Pendant ce temps, remettre la soupe dans la casserole en y ajoutant les haricots égouttés et faire réchauffer jusqu’à ce que les tranches de merguez soient bien grillées (ça va assez vite, attention).

Dès que les merguez sont prêtes, mettre la soupe dans les assiettes, saupoudrer de persil haché (ahhhh, les joies des herbes surgelées Daregal ou Picard…), placer les morceaux de merguez et, avec une cuillère, verser de petites gouttelettes ou de petits filets de l’huile de cuisson des merguez.

Et servir tout de suite !

Alors au départ, le fenouil, je suis pas une super fan, ça sent le comptage laborieux de calories, ou l’accompagnement bonne conscience d’un poisson cuit vapeur, par contre les merguez, je kiffe, et comme j’avais trouvé la recette dans un bouquin de l’inénarrable Gordon Ramsay, j’ai décidé de tenter le coup pour en faire une des entrées de Noël. Mais bon, je voulais la tester avant, c’est chose faite … et elle figurera en bonne place sur le menu.

Le texture est douce, y’a de la consistance grâce aux haricots, et les merguez apportent un plus, à la fois par leur côté épice, et aussi par le croquant obtenu en les grillant par petits morceaux. Bref…. Putain, c’est bon !!

Bon, le seul truc, c’est qu’il faut un robot … Mais si vous voulez pas vous équiper en gros machin blindé d’accessoires, y’a des mixeurs « plongeants » supers qui prennent pas de place et qui feront parfaitement l’affaire. En plus, ça permet quand même de faire pas mal de choses, notamment des smoothies, m’enfin, je dis ça, je dis rien

PS : Y’a qu’à moi que les statues de LOTR donnent envie de chanter « Stop, in the name of love » ???)

 

GI Tarte

Pour 4 convives qui n’ont pas froid aux yeux

1 pâte feuilletée
2  boites de baked beans (format 1/4)
2 œufs
1 boîte de corned beef
Sel, poivre
De la moutarde (ou de la Savora)

En option pour faire stylé : 2 tomates

Préchauffer le four à 210°C (th.7).

Étaler la pâte dans un moule, et étaler selon votre goût une couche plus ou moins fine de moutarde.

Émietter le corned-beef sur toute la tarte.

Dans un petit saladier, battre les œufs et ajouter les haricots (avec la sauce, on égoutte pas, on est des guedins, on a peur de rien). Saler, poivrer, et verser en prenant soin de bien recouvrir la viande.

On peut ajouter quelques tranches de tomates fraîches pour faire zouli, un tour de moulin à poivre et zou, au four pour 40 minutes.

Mon cher et tendre kiffe les beans en boîte, et j’avais une pâte feuilletée qui approchait dangereusement de la date de péremption, d’où cet assemblage pour lequel j’étais moi-même un peu dubitative, et certainement inspirée par des visionnages réguliers de Band of brothers. Mais, j’avoue, ça le fait. Bien sûr faut aimer les baked beans au départ, mais une chose est sure: Après, a plus faim

 

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