Gaufres salées (jambon fromage)

Pour 2 personnes qui ont faim

30 cl. de lait

50 g. de beurre

100 g. de farine

3 œufs

120 g. de gruyère râpé

3 tranches de jambon coupées en petits morceaux (le tout étant d’avoir grosso modo 250 g. de « garniture »)

Sel, poivre, sauce Worcestershire ou autres à adapter selon la garniture.

 

Dans une casserole, faire chauffer le lait sans le faire bouillir, et hors du feu, y faire fondre le beurre.

Laisser refroidir tranquilou pendant le moment spéléo du placard consistant à récupérer l’appareil à croque/gaufre.

Dans un saladier, mélanger la farine et les œufs, puis ajouter petit à petit le mélange lait+beurre.

Saler, poivrer, bref assaisonner.

 

Cette recette, récupérée sur le site de Cuisine Actuelle, est une très bonne base pour les gaufres salées, c’est vite fait bien fait, et ça change un peu. Et pis on peut les manger froides, c’est pratique aussi. Et pis j’ai un nouveau gaufrier, faut bien vérifier qu’il fonctionne correctement (excuse bidon, certes, mais bon).

Je la referai avec du poulet je pense, et p’t’être du fromage un peu plus costaud, en conservant 75 g. de gruyère ou d’emmental râpé pour la texture, à voir. En tout cas, je recommande !

 

Muffins Choco-Whisky

Pour une vingtaine de muffins de taille raisonnable :

170 g. de beurre
85 g. de cacao en poudre non sucré
35 cl. de café bien fort ; perso, je fais des expressos (expressi?) , et je rajoute une ch’tiote cuillerée de café soluble, histoire de.
12 cl. de whisky, ici du Talisker pour avoir un goût bien tourbé de derrière les fagots
200 g. de sucre en poudre
150 g. de sucre roux
240 g. de farine
1 sachet de levure ou une cuillère à café de baking powder
1/2 cuillère à café de noix de muscade en poudre
3 œufs
1 cuillère à café d’extrait de vanille
170 g. de chocolat noir coupé en morceaux pour faire des pépites, plutôt petites

Préchauffer le four à 165°C (th. 6/7).

Beurrer et cacaoter le ou les moules si pas en silicone. Je suis plus team caissettes en papier à la maison, parce que ça facilite les fournées successives et que ça limite la vaisselle et que ça facilite la dégustation

Dans une casserole à feu tout doux, faire fondre le beurre, ajouter le café, le whisky et le cacao en poudre en remuant jusqu’à obtenir un beau liquide sans grumeaux. Ajouter les sucres et remuer jusqu’à ce qu’ils soient bien fondus. Enlever du feu et laisser refroidir.

Pendant ce temps, mélanger dans un grand bol la farine, la levure et la muscade. Dans un plus petit bol, battre les œufs avec l’extrait de vanille.

Verser le mélange aux œufs dans la casserole, puis le mélange des ingrédient secs et enfin, les pépites de chocolat. Le mélange est assez liquide, d’où l’importance de faire des petites pépites, sinon c’est direct au fond.

Enfourner pour 30 minutes (muffins) ou 65 minutes (grand gâteau), pointe de couteau blablabla.

J’ai servi le lendemain à température ambiante, mais Darling a goûté tiède, verdict c’est bon aussi mais pas meilleur donc, ne pas se prendre le chou et faire comme on veut/peut.

La recette est librement adaptée d’une recette du New York Times que j’ai adaptée au stock à ma disposition, et à mon goût pour les whiskys très tourbés.

Hors période Koh-Lantesque, ce sont mes collègues qui se dévouent pour tester les gâteaux (sont-ils serviables!), et en l’occurrence ceux de Darling aussi, et ce fut approuvé de part et d’autre.

Attention, gâteau définitivement pour adultes, très peu sucré (je sais qu’il y a 350 g. de sucre, mais la vie de ma mère ça se sent pas), voire un peu amer(« – Non?? – Siii ! »), très costaud en goût, faut des papilles apprivoisées pour apprécier. Une allitération en « p » pour dire que « putain c’est bon !!! »

 

 

Cake Orange-cacao

pour 8/10 personnes (ou 4. Ça dépend des gens, faut pas juger)

150 g. de beurre mou
175 g. de sucre roux
2 bonnes cuillères à soupe de miel
150 g. de farine
1/2 cuillère à café de bicarbonate de soude, ou au pire 1/2 sachet de levure
25 g. de cacao en poudre
2 œufs
2 oranges

Préchauffer le four à 150°C (th.5).

Incorporer le sucre et le miel au beurre mou pour obtenir un mélange crémeux.

Dans un grand bol, mélanger farine, cacao et bicarbonate.

Ajouter 1/3 de ce mélange sec au premier mélange, ajouter un œuf, le 2ème tiers du mélange sec, le deuxième œuf et le reste de mélange sec (c’est plus facile à touiller qu’en mettant tout d’un seul coup).

Rajouter le zeste des 2 oranges et le jus d’une. Siroter direct le jus de la deuxième orange, c’est bon et comme ça y’a pas de gâchis.

Verser le tout dans un moule à cake beurré et fariné si pas en silicone et zou au four pour 45 minutes, pointe du couteau blablabla.

J’ai aussi failli ajouter de la cannelle, mais le mariage orange/cacao se suffit à lui même, et comme dirait Tonton Ben’s, c’est toujours un succès. Le cake obtenu est tout moelleux et pas sec du tout, pas trop sucré non plus et il n’a tellement pas fait long feu  que j’en referais rapidement !

 

 

Gâteau au Nesquik

En cas d’énooooooooooooorme envie pour 8 personnes:

3 oeufs
120 g. de sucre en poudre
120 g. de beurre fondu
8 cuillères à soupe de Nesquik (à peu près 125 g. après pesée et léger abusage sur les dites cuillerées)
150 g. de farine
1/2 sachet de levure

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Dans un saladier, mélanger les jaunes au sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse. Ajouter le beurre fondu, puis le Nesquik, la farine et la levure.

Monter les blancs en neige ferme avec une pincée de sel et les incorporer à la pâte (qui est un peu épaisse quand on abuse du Nesquik ).

Verser dans un moule à manqué beurré et fariné si pas en silicone et zou au four pour 30/35 minutes, la pointe du couteau blablabla.

Cette recette, dégotée sur Face de bouc alors qu’une copine la réalisait, m’a fait de l’œil. En effet la dite amie est Suisse, et qu’elle utilise cet ersatz de chocolat qu’est le Nesquik m’a intrigué. D’autant plus que d’autres cop’s ont confirmé le succès de ce gâteau auprès des enfants…
Ce fut donc rapidement testé, ramené et approuvé ; simple, rapide, et efficace !

Soupe de poisson à l’indienne

Pour 4 personnes :

5 cuillères à soupe d’huile végétale, plutôt neutre
3 grosses cuillères à soupe de graines de moutarde
1 pleine poignée de feuilles de curry, sans les tiges
2 grosses cuillères à café de graines de cumin
1 grosses cuillères à café de garam masala en poudre (rayon trucs du monde, ça se trouve de plus en plus facilement)
1.5 grosses cuillères à café de piment doux en poudre
1 grosses cuillères à café de curcuma en poudre
2 petits piments rouges
1 morceau de gingembre de la taille d’un pouce
6 gousses d’ail
2 oignons
2 poignées de riz basmati
575 ml d’eau
700 g. de poisson blancs coupés en morceaux, format Celebrations grosso modo
1 boite de 400 ml de lait de coco
1 citron vert
1 poignée de coriandre fraîche
Sel, poivre

Émincer finement les oignons, les gousses d’ail, épépiner les piments et les trancher finement, et râper le gingembre. Tout sera mis en même temps dans la mixture, on peut donc tout mettre au fur et à mesure dans un même bol.

Dans une grande sauteuse (très grande, on va tout mettre dedans), faire chauffer l’huile à feu vif puis ajouter les graines de moutarde, les feuilles de curry (entières), le cumin, le piment en poudre, le garam masala et le curcuma. Remuer quelques minutes en passant à feu moyen jusqu’à embaumer toute la pièce. Ajouter le mélange piments, gingembre, ail et oignons.

Remuer jusqu’à ce que les oignons et l’ail soient bien tendres, puis ajouter le riz d’un geste classe, genre la semeuse Larousse, ça fait toujours son petit effet.

Ajouter l’eau, porter à ébullition et laisser blobloter 15 minutes. Ajouter le poisson, et le lait de coco délayé d’un peu d’eau, remuer et saler légèrement.

Couvrir et laisser mijoter encore 10 minutes, et pendant ce temps-là, hacher grossièrement la coriandre et presser le jus du citron. Bien mélanger pour éclater le poisson en petits bouts. Ajuster l’assaisonnement avec sel et poivre.

Juste au moment de servir, ajouter le jus du citron et la moitié de la coriandre, remuer une dernière fois et servir.

Saupoudrer, toujours façon Larousse, le reste de la coriandre sur les bols ou assiettes à soupe et servir tant que c’est chaud (c’est très très chaud d’ailleurs).

Pour les mesures, en vrai, c’étaient des tablespoons et des teaspoons dans la recette originale, si vous avez de quoi les mesurer, sinon, grooosse cuillère à soupe et grooosse cuillère à café ça passe, hein.

Darling aux fourneaux (mâtin, quel homme), ça donne des recettes différentes, notamment plus complexes au niveau des épices . Cette recette, chopée chez Jamie Oliver, est vraiment facile à faire et ne prend pas trop de temps à faire, hormis les divers émincages et râpage. Sur la photo, ça fait plus plat que soupe, ce qui est normal quand on a de très grandes paluches pour mesurer le riz (j’accuse pas, je constate). Pour faire plus soupe, un verre de riz en dosage, ça sera nickel.

En goût, ça déboîte méchamment, c’est épicé mais ça transforme pas la glotte en fontaine ardente pour autant, mais bon, à la maison, on a une faiblesse pour la bouffe indienne, du coup on est peut-être pas 100 % objectifs. En tout cas c’est facile, rapide et ça change, on en refera sans faute (enfin, je le laisserai en refaire sans faute, le renforcement positif, y’a que ça de vrai !)

One Pot Pasta

Pour 3/4 personnes :

350 g. de spaghettis
350 g. de tomates cerises ou grappes
5 gousses d’ail
1 oignon
2 branches de basilic
1 cuillère à soupe de baies roses
Sel, poivre
Huile d’olive, Worcestershire
1.125 l. d’eau (je sais, c’est pas rond, à la base la mesure est en cup)
1 bouillon cube
Parmesan

Dans une grande gamelle (ou une sauteuse, si on veut faire classe), mettre les spaghettis, les tomates coupées en 2 ou 4 selon la taille, l’ail, l’oignon et le basilic émincés, les baies écrasées, l’huile d’olive, la Worcester, le bouillon cube, le sel, le poivre puis recouvrir avec l’eau.

Monter le tout à l’ébullition et laisser cuire 9 à 12 minutes à feu vif en remuant régulièrement.

C’est cuit quand l’eau est presque complètement absorbée et que les pâtes sont al dente. Ajouter le parmesan et servir de suite.

C’est une recette que j’avais perdue et retrouvée, et qui date de 2015. Qui en 2020 parle encore des One Pot Pasta ?  Les gens qui servent encore des verrines à l’apéro ? Tssssss…

Il n’empêche que là, on parle de pâtes, l’un des éléments de la grande trinité culinaire que vénère Darling, et que fuck, ça avait l’air bien bon quand même. Rangeant donc mes a priori et ma morgue dans un coin, j’ai tenté l’affaire en partant d’une compil de recettes … Rahh nooon, c’est pire que tout, en fait ça date de 2014, raah la loooooose. Bref, c’est très bon, c’est très très bon, c’est vite fait, y’a pas de vaisselle, on peut varier les garnitures .. Y’a rien à redire !

 

 

Glace au Nutella

Pour grosso modo  1 l. de glace

1 pot de 400 g. de Nutella

1 pot de 420 g. de lait concentré non sucré

1 briquette de crème fraîche liquide

 

Dans une casserole à feu tout doux, faire tiédir le lait, et y ajouter la crème et le Nutella petit à petit en remuant constamment. Ça se fait quiquille à la cuillère, pas la peine de sortir l’artillerie lourde.

Une fois le mélange bien refroidi, mettre en sorbetière 30 minutes. Perso, elle n’a pas « pris » comme les autres glaces (avec le volume qui augmente et la texture de crème), mais elle s’est très bien comporté à la congélation, donc 1:pas de panique, 2 : ça doit passer sans sorbetière.

 

J’ai un peu adapté la recette filée avec la sorbetière car les quantités ne collaient pas avec les pots. Quelle idée de demander 500 g de lait concentré non sucré, les pots font 420 g. ! Sérieusement… Idem, pour le Nutella, même si bon, là, un pot entamé a peu de chances de s’éterniser :D. Bref, une règle de trois plus tard et un ajustement à la crème fraîche (décidément mon groupe alimentaire préféré), c’était plié !

Ne vous fiez pas à la pâleur du produit, il est foutrement goûtu ❤

 

 

Glace aux bananes rôties

Pour 1 l. de glace

3 bananes bien mûres

20g. de beurre

75 g. de sucre roux

20 cl.de crème fraîche liquide

17.5 cl. de lait

1 cuillère à soupe de sucre

1 cuillère à café d’extrait de vanille

2 cuillères à café de jus de citron

1/2 cuillère à café de sel

1 maousse cuillère à café de confit (ou de confiture) de rhum

 

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Dans un plat à four (idéalement un moule à bord haut type soufflé), découper les bananes en tronçons, et les mélanger avec le sucre roux et le beurre.

Faire cuire 30 minutes en remuant à mi-cuisson.

Laisser refroidir pépouze.

Une fois le mélange refroidi, si vous avez pris un moule haut, changez rien, sinon, transvaser les bananes avec leur jus dans un grand saladier.

Ajouter le reste des ingrédients (crème, lait, sucre, vanille, citron, sel et rhum) et passer le tout au mixeur plongeant (ou dans un robot mixeur, à défaut). Une fois tout bien réduit en purée, mettre à turbiner en sorbetière (25 minutes), puis en Tupperware au congélo avant de déguster.

 

Cette recette (très peu retouchée, j’ai surtout ajouté le confit de rhum) vient du bouquin The perfect Scoop, de David Leibovitz, un garçon hautement fréquentable culinairement parlant. Elle est eeeeeeextrèmement goûtue, on dirait un peu une banane flambée en glace ❤

Il me fallait un truc aux fruits, léger, pour rattraper la Raclette de ce midi, une petite glace, ça passe toujours bien !

Quoi ?!

 

 

 

 

 

 

Glace au thé vert (matcha)

Pour grosso modo 1 l. de glace

40 cl de crème fraîche liquide (15 %)

50 g. de sucre en poudre

3 jaunes d’oeufs

25 cl. de lait

3 cuillères à soupe de matcha (thé vert en poudre)

 

Dans un premier saladier, mélanger au batteur électrique la crème, le sucre et les jaunes d’œufs.

Dans un second, mélanger toujours au batteur électrique le lait et le thé en poudre (il ne doit pas rester un grumeau, d’où l’utilisation du batteur et pas d’un fouet manuel).

Mélanger les 2 mélanges, au batteur, après tout tant qu’il est sorti du placard autant qu’il serve!

Zou on turbine 40 minutes et zou dans un Tupperware et zou au congélo.

 

A priori, on peut le faire sans sorbetière, en allant remuer le mélanger à H+1, H+2 et genre H+4 dans le congélo. Mais sérieusement si vous aimez les glaces (et qu’il vous reste un peu de place dans les placards, mmfff), une sorbetière c’est un très bon achat, très vite rentabilisé. Surtout quand on est nostalgique du Japon (et de la cuisine, bon sang de bonsoir, qu’est-ce qu’on mange biiiiiieeeennn au Japon), parce que la glace au thé vert très peu sucrée et toute onctueuse comme là-bas, dans le commerce j’en ai pas encore trouvé !

Glace simplissime au café

Pour à peu près 1 l de crème glacée :

3 briquettes de 20 cl de crème fraîche liquide (ou 60 cl. de crème fleurette)

1 boite de 400 g de lait concentré sucré (conservé au frigo)

2 cuillères à soupe d’extrait de café

 

Dans un saladier (si possible ayant séjourné un peu au frigo ou au congélo), monter au batteur électrique la crème en chantilly ferme. Toujours au batteur, ajouter petit à petit le lait concentré sucré, puis le café.

Verser en sorbetière pour 20/30 minutes, c’est mangeable à la sortie en version gelatto, et sinon, dans un Tupperware et au congélo.

J’ai trouvé la base de cette recette sur le net il y a déjà quelques années et j’en fais régulièrement, au café, à la vanille (2 cuillères à soupe d’extrait), au chocolat (70 g de cacao en poudre)… C’est hyper simple (pas de crème pâtissière à faire la veille!). Ca peut se faire sans sorbetière a priori (forcément étant équipée, j’ai jamais testé). On peut aussi utiliser du lait concentré non sucré et doser sa sucritude avec du sucre glace (c’est que je fais parfois pour le café). Bref ça se décline très bien, c’est facile, c’est bon, ça a toute sa place ici ^^

 

 

 

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