Gâteau à la rhubarbe

Pour 6/8 personnes:

750 g. de rhubarbe épluchée et coupée en carrés
300 g. de sucre
300 g. de farine
1 sachet de levure
2 œufs
Cannelle (en option)

Dans un grand saladier, balancer les carrés de rhubarbe et le sucre, bien mélanger et laisser le jus se former (30 minutes grosso modo).

Préchauffer le four à 210°C (th.7).

Ajouter dans le saladier, la farine, la levure et les œufs et bien mélanger. le mélange est assez compact, d’où l’utilité de laisser les fruits rendre plein de jus ! D’ailleurs on peut faire la recette avec d’autres fruits, mais il faut qu’ils soient « à jus », comme des poires bien mûres, des prunes …

Verser le tout dans un moule beurré s’il n’est pas en silicone et enfourner pour 25/30 minutes.

A la sortie, on peut faire genre et saupoudrer de sucre glace.

J’avais longuement cherché une recette de gâteau à la rhubarbe qui me fasse de l’oeil, celle-ci est mon 4ème essai, et ENFIN, j’en tenais une sympa …   c’était presque plus la saison (FUUUUUUUUU !!!!) ! Heureusement y’a le congélo

Gâteau moelleux aux framboises

Pour un gâteau de 6/8 parts :

100 g. de beurre mou
150 g. de sucre
1 sachet de sucre vanillé
3 œufs
100 g. de farine
100 g. d’amandes en poudre
1 sachet de levure
300/350 g. de framboises (ou de mélange myrtilles/framboises)

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Mélanger le beurre aux sucres, puis ajouter les autres ingrédients (sauf les fruits !) dans l’ordre.

Beurrer un moule à gâteau (s’il n’est pas en silicone), y déposer les fruits et recouvrir de la pâte.

Enfourner pour 35 minutes.

Il faut bien laisser refroidir au moins 15 minutes avant de démouler, mais contrairement à ce qu’on pourrait craindre, ça ne part pas en sucette. Les fruits, cuits sans sucre, sont assez acidulés et balancent bien avec le reste du gâteau. Là, je n’avais quasiment que des framboises, et une poignée de myrtilles, mais je le referais probablement en « tout myrtille », ou pourquoi pas avec d’autres fruits.

J’ai trouvé la recette , j’avais vu le visuel, j’ai craqué, je suis faible, je sais pas dire non aux framboises

Vanilla cake

Pour un gros gâteau :

225 g. de beurre bien mou
6 œufs
260 g. de sucre en poudre
350 g. de farine
2 yaourts grecs nature (grosso modo 250 g)
1/2 sachet de levure
3 cuillères à café d’extrait de vanille (aka la dose sa mère)
En option, 1/2 cuillère à café de vanille en grains

 

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Dans un robot, balancer tous les ingrédients et faire vroum-vroumer la bestiole au moins 1 minute.

Quand le mélange est bien lisse, le verser dans un moule genre couronne/kougloff (ou château de sable quand on est une fille faible face au marketing honteux des marchands de moules en silicone ).

Cuire 45/50 minutes, pointe de couteau sèche blablabla.

Démouler au bout de 10/15 minutes.

Alors ça fait un gâteau dense, mais fondant tout de même, hyper moelleux, et au goût de vanille bien prononcé. J’ose pas imaginer le combo de ouf si je servais ça avec la confiture de fraise de môman

Sinon, la recette vient d’un bouquin de Nigella Lawson (c’est autre chose que Maïté, y’a pas à dire), charmante britannique s’il en est, au langage un brin plus châtié que ses confrères, mais au talent indiscutable.

 

 

Tourte Pêche-Abricot

Pour 6/8 personnes :

2 pâtes brisées
1 kilo de pêches et d’abricots au sirop, égouttés (soit une grosse boîte de chaque, grosso modo)
40 g. de maïzena
100 g. de sucre en poudre
1/2 cuillère à café de noix de muscade râpée, ou 1 cuillère à café de mélange pour pain d’épices/spéculoos
1 œuf

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Dans un moule à tarte, étaler la 1ère pâte brisée, et la badigeonner du blanc d’œuf mélangé à un peu d’eau. Dès que le four est chaud, enfourner pour 2/3 minutes, juste le temps que le blanc d’œuf durcisse et « étanchéise » le fond de tarte. Pour faire le décor « gruyère » comme sur la photo, étaler la 2ème pâte, y faire des petits trous (ici avec l’extrémité d’un tube de vanille) et le mettre au frigo à plat, histoire qu’elle soit bien ferme et plus facile à étaler sans qu’elle se déforme.

Dans un saladier, mélanger la maïzena, le sucre et les épices. Y verser les fruits égouttés coupés en grosses lamelles, et mettre le tout dans le fond de tarte précuit. Pour être sûre qu’ils soient bien égouttés, je les avais mis dans une passoire le matin, pour faire le gâteau le soir. En cas de manque de temps, un passage à l’essoreuse à salade fait l’affaire (c’est barbare-land, ici ).

Recouvrir de la pâte restante, bien appuyer sur les bords pour souder le tout, et badigeonner du jaune d’œuf battu avec un peu d’eau.

Enfourner pour 35/40 minutes, la pâte doit être dorée et on doit voir blobloter les fruits à travers les trous.

Servir tiède, parce qu’à la sortie du four, c’est un tantinet chaud bouillant.

C’est probablement la nostalgie du Tang pêche-abricot qui m’a donné envie de combiner les deux fruits, en tout cas c’est très bon, très fruité, faut juste faire attention à pas trop charger en muscade ou épices. Sinon, à la découpe, j’ai été agréablement étonnée, ça se tenait bien, j’anticipais un peu un dégoulinage en règle (merci la maïzena) !

 

Gâteau Nantais

Pour un gâteau de 6/8 personnes:

125 g. de beurre mou
150 g. de sucre en poudre
1 sachet de sucre vanillé
125 g. d’amandes en poudre
3 œufs
40 g. de farine
15 cl. de rhum
100 g. de sucre glace

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Faire une crème avec le beurre mou et les sucres. Ajouter les amandes en poudre, les œufs, la farine et 4 cl. du rhum.

Verser dans un moule à manqué beurre et fariné ou en silicone pas trop grand (le gâteau doit faire 2/2.5 cm. d’épaisseur) et enfourner pour 40/45 minutes. Il doit être bien doré et cuit à cœur (la pointe du couteau, blablabla).

Dès qu’il sort du four, le démouler et verser dessus 6 cl. de rhum. Le plus simple c’est d’y aller à la petite cuillère pour bien répartir sur toute la surface du gâteau.

Dans un bol, faire un glaçage avec le sucre glace et le reste de rhum. On doit avoir une pâte épaisse, qui coule un peu mais qui ne dégringole pas du gâteau non plus. Pour ajuster la consistance, remettre un peu de rhum (c’est vrai, quoi, ça manquait !! ) ou du sucre glace.

Étaler doucement le glaçage sur le gâteau et laisser prendre à température ambiante.

Un gâteau de régime, donc

On peut sans doute le faire avec un autre alcool blanc (poire, calva ou mirabelle par exemple, ça doit le faire), mais bon, comme disait le philosophe : « Donne du rhum à ton homme ».

Pour la petite histoire et parce qu’ici on rigole pas avec la culture pâtissière, ce gâteau date de l’époque où Nantes était le premier port d’échange en France avec les Antilles, d’où la (subtile!!) mise en avant du rhum.

Bon appét’hips !!

 

Gâteau Lyonnais

Pour un gâteau de 6/8 personnes :

200 g. de beurre mou
150 g. de sucre
1 sachet de sucre vanillé
4 œufs
300 g. de farine
1/2 sachet de levure
1 petite boite (2/4) de poires au sirop
1 grosse boite (4/4) d’abricots au sirop
150 g. de pralines roses
Préchauffer le four à 180°c (th.6).

Mélanger le beurre avec les sucres jusqu’à obtenir une crème. Ajouter les œufs, puis la farine et la levure, et bien mélanger.

Dans un moule à manqué beurré ou en silicone, étaler 1/3 de la pâte.

Recouvrir avec les poires coupées en fines lamelles.

Ajouter le 2ème tiers de pâte, et étaler une couche d’oreillons d’abricots.

Étaler avec harmonie les pralines préalablement explosées au casse-noisettes ou au pilon, ou au pic à glace, ou même à la main pour les martialistes avertis.

Pas de panique si ça fait des minis-miettes de pralines, elles vont fondre et colorer la pâte, et les gros morceaux assureront le croquant.

Recouvrir du reste de pâte et au four !!
gateau lyonnais 2
Au bout de 10 minutes, baisser la température à 160°C, puis 15 minutes plus tard, baisser encore à 150°C et laisser 30 minutes. Là, éteindre le four, mais laisser le gâteau dedans sans ouvrir la porte encore 15 minutes.

Une fois sorti, bien le laisser refroidir, et le servir à température ambiante, vaut mieux éviter le frigo qui fait perdre le côté croustillant des pralines.

Bien sûr, on peut utiliser des pralines « de base » marrons, mais avouez que le côté « Y’a des trucs roses dans le gâteau !! », c’est choupi-kawaï en diable.

En tout cas, à table visuellement il claque, et au goût il ne déçoit pas !

Gâteau triple chocolat

Pour 8 personnes :

Le gâteau se compose de trois couches de chocolat :

Couche 1 :
Du Nutella

Couche 2 :

200 g. de chocolat noir
150 g. de beurre
3 œufs
150 g. de sucre
150 g. de farine
1 sachet de levure ou 1 cuillère à café de bicarbonate

Couche 3:

60 cl. de lait
3 cuillères à soupe de cacao non sucré
4 œufs
50 g. de sucre

Préchauffer le four à 200°C (th.6/7).

Faire bouillir le lait avec le cacao non sucré en mélangeant bien, et laisser refroidir.

Dans un moule à manqué en silicone ou dans un moule normal dont le fond sera recouvert d’un papier de cuisson, étaler une bonne grosse couche de Nutella. Si vous utilisez un moule silicone, il faut le mettre dès à présent dans un plus grand plat pour le bain-marie de la cuisson, car après, il va devenir très très peu manipulable. Couche 1, check.

Dans un saladier, fouetter le sucre et les œufs de la couche 2 jusqu’à ce que ce soit bien mousseux. Dans un autre récipient, faire fondre ensemble le chocolat et le beurre au cro-ondes, bien mélanger pour que ce soit lisse et verser ce mélange sur les œufs+sucre. Bien mélanger et ajouter la farine + levure.

Verser gentiment sur la couche de Nutella, étaler pour que ça soit bien lisse. Couche 2, check.

Dans un saladier, mélanger les œufs et le sucre de la couche 3 (la texture n’a rien à voir avec la 2!), et ajouter gentiment sans cesser de remuer le lait chocolaté. Verser geeeeentiment sur le gâteau. On dirait juste un chocolat à boire tellement c’est pas épais ! Mais pas de panique. Couche 3, check.

On fait cuire le tout au bain-marie, et recouvert d’une feuille d’alu pendant 20 minutes à 200°C, puis on baisse sans ouvrir le four à 180°C et on l’y laisse 40 minutes. Bon, ça c’est le temps marqué chez Mirliton, où j’ai trouvé la recette, mais j’ai dû continuer une bonne vingtaine de minutes pour que mon teste-cuisson ressorte sec !! (et j’avais retiré l’alu sur les dernières 20 minutes).

Une fois sorti du four, laisser refroidir au moins 20 minutes et démouler. A la découpe, surprise, y’a eu inversion des couches 2 et 3 !! Sur la photo, ça ne ce voit pas trop, car les 3/4 de mon Nutella sont restés collés au fond du moule (d’où mon conseil de feuille de papier … ), mais de haut en bas, on a le Nutella, la crème chocolatée et le gâteau. Du coup, si vous avez le temps, je préconise un passage au frigo après le démoulage, mais avant de retirer la feuille de papier cuisson, histoire d’avoir un Nutella bien ferme qui fasse joli.

En tout cas, comme dirait un chien marron transgénique « C’est fort en chocolat !! ». Je le referais certainement pour essayer d’avoir une belle couche de Nutella comme sur la recette originale

 

 

Cake Banana Colada

Pour un gros cake :

150 g. de sucre
150 g. de beurre mou
4 œufs
20 cl. de lait de coco (ça se trouve de plus en plus facilement en briquette de 20 cl. justement, rayon « épicerie du monde » )
125 g. de noix de coco râpée
5 cl. de rhum
180 g. de farine
1/2 sachet de levure
2 bananes
Un peu de beurre + 1 sachet de sucre vanillé

Préchauffer le four à 180°c (th.6).

Dans une poêle, faire revenir les bananes coupées en tranches dans le beurre et le sucre jusqu’à ce qu’elles soient bien dorées. Ça, c’est en option, bien sûr, mais ça relève pas mal de goût des bananes, qui ont tendance à être un brin fadoches une fois cuites dans le cake.

Sinon, mélanger tous les ingrédients dans l’ordre de la liste et zou, au four, pour 1 heure. Oui, oui, une heure ! Déjà, le format cake cuit plus longtemps que le format rond, mais la présence du lait de coco oblige à rallonger la cuisson. Pas d’inquiétude, la croûte ne sera pas cramée !

Simple, pas très original, certes (avec de l’ananas frais pour faire Pina Colada si vous préférez), mais goûtu et très moelleux !!

Fondants marron-chocolat

Pour 6/8 personnes

1 grosse boite de crème de marrons (Faugier, What else?)
50 g. de chocolat
80 g. de beurre
4 œufs
2 cuillères à soupe bombées de farine

Préchauffer le four à 150°C (th. 5).

Faire fondre le beurre et le chocolat, et mélanger avec le reste des ingrédients.

Mettre dans dans un moule beurré et fariné si pas en silicone, et zou, au four pour 40 minutes, pointe de couteau blablabla.

Un « classique Marmiton », ajusté d’après les (nombreux) commentaires, et franchement, tip top. L’équilibre marron-choco est exactement celui que Darling voulait, il a fait une belle unanimité !

 

Pudding (aka « oh merde, le pain il est tout sec! »)

Pour 6 personnes

1 baguette bien rassie ou 1/2 paquet de pain de mie sec comme un coup de trique
1/2 l. de lait
3 sachets de sucre vanillé
50 g. de sucre en poudre
5 œufs
2 bouchons de rhum
Des raisins, des pépites de chocolat, 1 poignée de noix de coco râpée, ou tout autre ingrédient sympa qui vous tombe sous la main,

 

Mélanger tous les ingrédients dans un saladier avant d’y ajouter le pain réduit en petits morceaux d’une mimine rageuse. Plus il est sec, plus ça défoule. Si vous voulez mettre du chocolat, attendre le dernier moment pour l’ajouter avant d’enfourner, sinon, le reste, c’est youpi dans le saladier dès le début.

Bien mélanger le tout à la fourchette et laisser trempoter au moins une heure, en allant remettre un coup de fourchette de temps en temps. L’ensemble doit être tout spongieux (c’est tellement classieux, la cuisine !!).

Pendant que ça trempe, préchauffer le four à 180°C (th.6).

Ajouter éventuellement le chocolat en pépite, re-mélanger, et verser le tout dans un moule à cake beurré et fariné s’il n’est pas en silicone.

Enfourner pour 45 minutes, et servir tiède, ou froid (avec de la crème anglaise, ou du coulis de fruits rouges, ça le fait tout à fait). Il vaut mieux attendre le moment de servir pour démouler, parce que ça a quand même une fâcheuse tendance à partir en n’importe quoi si on le démoule chaud …

C’est LA recette de récup’ pour le pain sec. Surtout que de nos jours, ma bonne dame, le pain qu’on nous vend, ben en un jour et demi, il est déjà dur comme un genou de belle-mère, ahalala je vous le dit, moi, de mon temps, on savait faire du pain qui se gardait un minimum !! (c’était mon quart d’heure vieille bique).

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