Gâteau à l’amûûr et à la crème

Pour 4/6 personnes :

90 g. de sucre
100 g. de farine
60 g. d’amandes en poudre
4 œufs
150 g. de crème fraiche épaisse
15 cl. de crème liquide
250 g. de mûres
Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Mélanger dans l’ordre tous les ingrédients, sauf les mûres.

Dans un moule beurré et fariné (si pas en silicone), déposer les fruits, recouvrir de la pâte et enfourner pour 30/35 minutes.

Bien laisser refroidir avant de démouler (sinon, c’est un coup à jouer au puzzle avec les morceaux de fond de gâteau), et mettre au frais jusqu’au moment de servir.

On peut donc le préparer un peu à l’avance, mais attention, les fruits rouges, une fois cuits, ça se garde pas super bien (pas plus d’une journée et demi).

C’est pas mal du tout, beaucoup plus dense qu’un clafoutis et très frais. Et puis, de toutes façons, un gâteau avec autant de crème ne peut qu’être bon (Objectivité, quand tu nous tient ).

J’ai trouvé cette recette dans un Mode z’et Travaux qui traînait dans la salle d’attente de mon toubib, ce qui m’a permis de prendre une photo de la page avec mon portable pour récupérer la recette et pouvoir par là-même me prendre pour une espionne en pleine mission avec le thème de Mission Impossible en OST. On s’amuse d’un rien, que voulez-vous …

 

 

Irish Porter Cake (avé de la Guiness)

Pour un cake de 6/8 personnes :

125 g. de beurre mou
125 g. de sucre roux
225 g. de farine
1 sachet de levure
1 cuillère à café d’épices à pain d’épices (ou de mélange « 4 épices »)
1 œuf
15 cl. de Guiness (ou d’une autre bière brune, mais irlandaise si possible, sinon, le titre ne veut plus rien dire)
1 œuf
160 g. de mélange de raisins secs, blonds z’et bruns
40 g. d’écorce d’orange confite, coupé en petits dés

Option glacage :
60 g. de sucre glace
Eau + un tout petit peu de bière si vous n’avez pas déjà sifflé le reste de la bouteille, à doser délicatement jusqu’à obtenir la consistance voulue

Préchauffer le four à 180°c (Th.6).

Mélanger tous les ingrédients dans l’ordre d’apparition, sauf l’œuf et la bière, mélangés au préalable dans un bol, et donc ajoutés ensemble, juste avant les fruits.

Verser dans un moule à cake beurre et fariné et mettre au four pour 1h30. Ça semble long … ça l’est, surtout quand on a faim, mais faut ce qu’il faut ! Au bout de 30/45 minutes de cuisson, ne pas hésiter à recouvrir le cake d’un papier d’alu, pour qu’il ne vire pas couleur charbon.

On peut démouler assez rapidement, le bestiau a de la tenue, et glacer éventuellement.

Quand même, un gâteau, avec une telle dose de bière … Fallait être irlandais pour oser !! En tout cas, ça donne un cake parfumé, avec juste une pointe d’amertume grâce à la bière, à refaire sans attendre la Saint Patrick ! (car oui, c’était ça l’excuse à deux balles pour un gâteau houblonné : la Saint Patr-hips !!) …
J’ai trouvé la recette ici, mais j’ai doublé le poids de fruits (cf. photo du dessous, ça fait pas semblant niveau garniture du coup ),  y’a plein d’autres choses très sympas à glaner sur ce site d’ailleurs.

Irish poretr cake 2

Clafoutis de fin de mois

Pour 6 personnes :

4 œufs
130 g. de sucre
50 cl. de lait
120 g. de farine
1 cuillère à café de vanille liquide et/ou 1 cuillère à soupe de rhum

 

Préchauffer le four à 200°C (th.6/7).

Fouetter les œufs et le sucre, puis ajouter le lait, puis la farine et enfin le(s) arôme(s). Attention, c’est comme une pâte à crêpes, faut pas lésiner sur le fouet pour anéantir les grumeaux !!

Verser le tout dans un moule beurré et fariné si pas en silicone et enfourner pour 30 minutes, jusqu’à ce que le gâteau soit bien doré et que la pointe du couteau … euh… comme d’hab.

Ça se sert très frais, la texture en est d’autant plus agréable (pour un truc froid, on peut dire qu’il a pas fait long feu !! … Pardon).

D’habitude, je prépare mes pâtes à gâteau avec une fourchette plutôt qu’un fouet (question d’habitude), mais là, le fouet est vraiment utile, comme pour toutes les pâtes liquides, ça évite la luxation du coude!

Je précise en passant que ce n’est pas ma pâte à clafoutis « pour fruits », celle-ci doit traîner quelques pages plus loin, là, c’est prévu pour s’auto-suffire … Et ça marche !

 

Fondant au chocolat

Pour 6 personnes :

200 g. de lait concentré sucré
4 œufs
40 g. de farine
200 g. de chocolat noir
100 g. de beurre

 

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Faire fondre le chocolat et le beurre, bien les mélanger et mettre de côté (comme souvent, ton cro-ondes est ton ami).

Dans un autre saladier, fouetter les œufs avec le lait concentré sucré, puis la farine petit à petit. Ajouter le mélange beurre+chocolat fondu et verser dans un moule beurré et fariné (si pas en silicone).

Enfourner pour 30 minutes, la pointe du couteau sera encore un peu humide (c’est un fondant, pas un sablé ), mais la texture sera ferme.

Ça se sert tiède ou froid, avec de la crème anglaise ou de la chantilly, ou encore de la glace à la vanille, si on veut.

Y’a pas, le lait concentré sucré, ça démonte bien les papilles ! C’est très fort en chocolat, mais bon, j’utilise du 70 %, il sera probablement plus « doux » avec un chocolat moins fort… D’un autre côté, si on aime pas le chocolat, c’est pas dans ce style de recette qu’il faut se lancer

 

 

Amandier

Pour 6 personnes (ou mon pôpa + Darling, ça revient au même) :

100 g. de beurre fondu
200 g. de sucre
200 g. d’amandes en poudre
4 œufs
1 gros bouchon de rhum

Préchauffer le four à 200°C (th. 6/7).

Tout mélanger avec vigueur et entrain, verser dans un moule beurré et fariné (si pas en silicone) et enfourner pour 25 minutes.

Alors là. J’avoue. C’te tuerie !!

J’avais vu la recette sur pas mal de blogs cuisine, et j’ai retrouvé l’originale chez Sucrissime (rien que le nom, ça donne envie).

La préparation a pris moins de temps que le préchauffage du four, n’a sali qu’un saladier et une fourchette, la cuisson est rapide, ça embauche l’appart … Un pur COTY (Cake Of The Year, et non pas un hommage au président favori d’OSS 117 ).

 

 

Gâteau chocolat-confiture

Pour 6/8 personnes:

120 g. de beurre
120 g. de chocolat noir
300 g. de confiture au choix (ici, orange, mais tout s’y prête, cerise, abricot, framboise…)
120 g. de sucre en poudre (variable suivant la confiture)
2 œufs
1/2 sachet de levure
100 g. de farine.

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Dans une casserole, à feu tout doux, faire fondre le beurre et le choco en remuant à l’aide d’une cuillère en bois (pour pas flinguer la casserole). Dès que c’est bon, retirer du feu, et ajouter un à un les autres ingrédients en remuant bien à chaque étape.

Verser dans un moule beurré et fariné si pas en silicone et enfourner pour 40/45 minutes.

C’est très vite près, ça salit très peu de vaisselle, et c’est méchamment bon. C’est une recette de Nigella Lawson, aka la bonnasse d’Albion. Et c’est boooon, pas du tout collant (j’avais un peu peur à cause de la confiture), de texture plutôt légère, et très chocolaté. Par contre il a eu une facheuse tendance à dégonfler du milieu à la cuisson, du coup sur la recette je ne conseille qu’un demi sachet de levure (au lieu du sachet de levure complet de la recette originale), ça devrait résoudre le problème .

Là j’ai fait orange, pour rester classique, mais je pense que pas mal de confitures différentes vont y passer. Attention par contre, faut pas hésiter à passer sur 60/80 g. de sucre en cas de confiture moins amère ou acidulée. Essai refait avec Framboise, Poire et Cerises, les 3 étaient top !

Tarte fondante à la banane

Pour 6/8 personnes:

Garniture :
3 bananes
1 boite de lait concentré sucré (397 g.)
2 œufs
Un peu de beurre et de sucre pour dorer les bananes

Pâte à tarte (option « j’ajoute du chocolat, ça peut pas faire de mal ») :
3 petits suisses
180 g. de farine
90 g. de beurre mou
1 groooosse cuillère à soupe de cacao non sucré
1 cuillère à café d’épices à spéculoos

En cas de fâgnâsserie, on peut utiliser une pâte feuilletée ou sablée. Mais la pâte aux petits suisses, ça se prépare rapido, et avec l’option choco/épices, la tarte prend vraiment une autre dimension.

Donc, pour les courageux, préparer la pâte à tarte aux petits suisses comme pour la tarte aux carambars, en y ajoutant le cacao et les épices.

Mettre au frais pour une heure au moins.

Pendant ce temps, faire revenir les bananes coupées en tranches dans un peu de beurre et de sucre, histoire de rehausser leur goût.

Les laisser refroidir pendant que la pâte … ben … refroidit, elle aussi

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Étaler la pâte dans un moule beurre et fariné, et la précuire 6/8 minutes. Pas de panique, elle tient très bien, ne s’affale pas lors de la précuisson, et ne colle pas au moule.

Mixer les œufs, les bananes et le lait concentré. Sans robot, c’est tout à fait faisable avec une fourchette et de l’huile de coude. Mais, comme dirait mon cher et tendre, un appart sans robot, c’est juste pas possible. Pas sûre qu’on parle bien de la même chose, mais bon.

Verser la mixture dans le fond de tarte et remettre au four pour 30 minutes. Le dessus doit être bien doré.

On peut la servir fraîche, ou à température ambiante. En tout cas l’alliance banane-choco, c’est un classique (ce qui peut se traduire également par un « comment c’est bon sa race !!! »), et la p’tite note des épices ajoute un vrai plus ! Si vous n’avez pas d’épices à spéculoos, un mélange cannelle/gingembre, ça le fait aussi.

Ricciarelli aux fraises

Pour 16 bidules qui riment avec raviolis :

300 g. d’amandes entières (ou effilées si vraiment vous trouvez pas)
200 g. de sucre en poudre
2 blancs d’œufs
150 g. de fraises
Le zeste d’une orange
Sucre glace

Préchauffer le four à 150°C (th. 5/6).

Passer au robot ou au hachoir les amandes, de façon à avoir des bouts assez conséquents mélangés à de la presque poudre. Ça a pas l’air clair, dit comme ça, mais en le faisant, ça le devient ^^.

Ajouter délicatement la moitié du sucre, le zeste d’orange et les fraises coupées en petits morceaux. Dois-je préciser qu’il faut les équeuter ? C’est précisé dans la recette originale , mais franchement c’est prendre les gens pour des quiches …

Dans un autre saladier, battre les blancs en neige fermes. Ajouter petit à petit l’autre moitié de sucre, toujours au batteur, jusqu’à obtenir une belle meringue lisse et brillante.

Incorporer dééééélicatement le mélange aux amandes à la meringue, et déposer de petits tas sur une plaque recouverte de papier cuisson à l’aide de 2 cuillères à soupe. Attention, ça va s’étaler un peu à la cuisson. Saupoudrer d’un peu de sucre glace

Enfourner pour 18/22 minutes (les riccia…ricina, les trucs doivent être dorés, mais pas cramés).

Dès la sortie du four, remettre une couche de sucre glace et attendre un peu avant de les déposer sur une grille, pour qu’ils finissent de refroidir peinards.

Attention, tant que c’est tiède, c’est immangeable à la main, ça part en vrille. Ce problème passager peut se régler, en cas de fringale ou de cher et tendre peu patient, à l’aide d’une cuillère.

Sinon, c’est juste délicieux, ça croque grâce aux morceaux d’amandes, c’est frais grâce à l’orange et c’est goutû grâce aux fraises. Parfait pour l’été !

Muffins Guimauve-Tagada

Pour une pleine plâtrée de minis muffins :

1 yaourt nature
4 pots de yaourt de farine
2 pots de yaourt de sucre
1/3 de pot d’huile
1 pot de sirop de guimauve
1 sachet de levure chimique
2 œufs
1 gros sachet de fraises Tagada (en se méfiant des contrefaçons)

 

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Tout mélanger gaiement, sauf les Tagadas.

Mettre dans des moules à minis muffins, et/ou des petites caissettes en papier (à 3 francs 6 sous dans n’importe quel bazar qui possède un rayon cuisine), installés sur une plaque pour faciliter la manip’ qui suit :

Cuire 10 minutes, sortir un peu la plaque, et poser doucement une Tagada sur chaque mini-muffin.

Ré-enfourner pour 4 minutes (attention, la Tagada part vite en vrille).

C’est une variante de la recette du gâteau After Eight , qui m’a été imposée par la vue d’un sirop à la guimauve.
Nan, mais sérieux.
A la guimauve, quoi !!
Bleu ciel pétant, jolie bouteille, j’ai pas pû résister. Bien sûr, le bougre a viré au vert au contact du jaune d’œuf, mais le goût est bien là. Quant aux Tagadas … Ma foi, c’est comme le Nutella, il ne faut jamais dire « Pourquoi? », mais « Pourquoi pas ? ».

J’évite à vos mirettes délicates la vue des premiers essais, avec Tagada incrustée au coeur de la pâte, ou posée dès le début de cuisson. Disons que le plan de travail ressemblait à un hôpital pour Monstroplantes déviants. Heureusement, mon cher et tendre ne recule devant rien pour ne pas gâcher. C’est d’ailleurs lui qui a eu l’idée du posage en fin de cuisson : mon héros !

La bouteille m’a fait de l’œil dans une boutique « Du bruit dans la cuisine » , mais vous pouvez aller direct sur le site du distributeur.

Sinon, la même chose avec du sirop de fraise, ça doit le faire aussi, mais bon. Guimauve. GUIMAUVE.

 

 

Brownie marbré coco-chocolat

Pour 16 brownies (1 gâteau coupé en 4 X 4)

Pâte coco :
100 g. de lait concentré sucré (8 cl.)
60 g. de noix de coco râpée
1 cuillère à coupe de sucre
1 blanc d’œuf
un peu d’extrait de vanille liquide

Pâte choco :
160 g. de chocolat
115 g. de beurre
120 g. de sucre en poudre
3 œufs
un peu d’extrait de vanille liquide
1/2 sachet de levure chimique
100 g. de farine

Préchauffer le four à 180°C (th.6).

Dans un grand bol, mélanger les ingrédients de la pâte coco.

Dans un saladier, mélanger le beurre et le chocolat fondu (le tout au cro-ondes par 20 secondes en remuant entre deux, c’est vite torché!)..

Ajouter le reste des ingrédients de la pâte choco dans l’ordre en remuant bien à chaque fois, la pâte doit être lisse.

Dans un moule assez petit (le brownie, c’est 20 X 20 cm, par exemple), recouvert de papier sulfurisé, étaler 1/3 de la pâte choco. Déposer des tas de pâte coco (les 2/3 du bol) en les espaçant bien, à l’aide d’une cuillère. Recouvrir du reste de pâte choco, lisser et fignoler en parsemant de petits bouts de pâte coco. Touillasser le tout avec une baguette par d’élégants mouvements de bas z’en haut pour accentuer le côté marbré.

Enfourner pour 30/35 minutes, la pointe du couteau doit ressortir sèche, mais il ne faut pas la planter au centre, ni sur les bords, en gros il doit être cuit, certes, mais trop non plus .

Laisser refroidir 15 minutes avant de démouler, puis, une fois refroidi, couper le brownie en parts égales (sauf si vous voulez montrer de façon non équivoque vos préférences parmi vos convives ).

Martha Stewart est carrément moins funky que Gordon Ramsay, mais y’a pas, pour les gâteaux, elle poutre sévère

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